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Les travaux d’Hercule de Sandrine Gruda

De Los Angeles où elle fête le titre WNBA aves ses équipières des Sparks, Sandrine Gruda revient sur son été très dense qui inclus une quatrième place aux JO de Rio avec les Bleues.

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De Los Angeles où elle fête le titre WNBA aves ses équipières des Sparks, Sandrine Gruda revient sur son été très dense qui inclus une quatrième place aux JO de Rio avec les Bleues.

« J’ai fait la préparation olympique, les Jeux, puis je suis rentrée en France et le jour de mon arrivée, je suis allée chercher mon visa à l’ambassade des Etats-Unis. J’ai eu quatre jours, tout le monde me regardait avec des gros yeux, ‘Mais qu’est ce que tu fais, c’est pas possible, c’est inhumain’ », rappelle-t-elle au Point via l’AFP.

La Martiniquaise ne se montre absolument pas déçue par son faible temps de jeu en playoffs (un total de 17 minutes avec aucun tir tenté, un lancer sur deux et cinq rebonds) et elle rejoint maintenant l’équipe turque de Fenerbahçe qui a déjà entamé le championnat national et qui jeudi sera à Schio pour le compte de l’EuroLeague. Sandrine ne fait pas mystère de ses ambitions :

« Gagner, gagner, gagner. Chaque année j’ai gagné quelque chose, tout le monde ne peut pas dire la même chose que ce soit dans le foot, le basket ou le volley ».

Sandrine Gruda a déjà remporté deux fois l’épreuve européenne reine (2013 et 2016 mais sans participer au Final Four). Le 2 novembre elle recevra la visite de ses compatriotes de Lattes-Montpellier qui sont engagées dans le même groupe que le Fener.

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