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Quand Heiko Schaffartzik parle musique, cinéma, littérature et… basket

L’histoire d’amour entre Nanterre 92 et l’Europe qui a démarré en 2013 avec l’Euroleague, et qui a été récompensée avec la victoire en EuroChallenge, se poursuit dans l’anonyme Fiba Europe Cup. Les garçons de Pascal Donnadieu en sont à un parfait 9/9. Hier soir, ils ont vaincu les Biélorusses de Tsm

L’histoire d’amour entre Nanterre 92 et l’Europe qui a démarré en 2013 avec l’Euroleague, et qui a été récompensée avec la victoire en EuroChallenge, se poursuit dans l’anonyme Fiba Europe Cup. Les garçons de Pascal Donnadieu en sont à un parfait 9/9. Hier soir, ils ont vaincu les Biélorusses de Tsmoki-Minsk, 94-85. Heiko Schaffartzik a contribué à cette victoire avec 9 points dont 2 paniers à trois-points.

Il y a quelques jours, nous vous parlions de l’Allemand, vainqueur du concours à trois-points du All-Star Game, de sa capacité à s’exprimer en français après un an et demi dans notre pays et de son adaptabilité. Nanterre 92 vient de mettre en ligne une vidéo pleine de punch et d’images d’archives qui permet de mieux connaître Heiko et de confirmer que ses centres d’intérêts ne se limitent pas au basket.

Il y indique avoir appris l’anglais enfant lors du séjour familial à San Diego et de retour à Berlin il a fréquenté une école bilingue. C’est un touche-à-tout du sport : basket, foot, baseball, hockey, il a tout essayé…

Rap, Beatles et Opéra

La musique est aussi chez lui une passion. Il joue de la guitare, du piano, il aime le rap, la hip-hop allemand et américain et tout autant les Beatles, les Rolling Stones, Bruce Springsteen, Creedence Clearwater Revival, Whitney Houston, Michael Jackson, l’opéra. Il adore aussi la littérature et parler cinéma avec ses équipiers Chris Warren et Mykal Riley.

« Ça me plait de travailler très dur, » dit-il. « Je ne sais pas pourquoi. Je sais que mon père travaille très dur, ma mère travaille très dur. Tout le monde dans ma famille fait quelque chose qui lui plait. C’est plus facile de travailler dur si on le fait dans un métier que l’on aime. Moi, c’est le basket »

A propos de basket, voici ce qu’il dit des deux championnats qu’il a fréquentés :

« La plus grande différence entre la Bundesliga et la Pro A c’est que les joueurs sont plus athlétiques en France et le jeu est plus organisé en Allemagne. Les Français ont des rôles très importants dans les équipes, ce sont des go to guy alors qu’en Allemagne ce n’est pas comme ça dans beaucoup d’équipes. »

Un vrai régal ce portrait de ce shooteur fou à la tête bien faite.

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