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Aaron Jackson : « Il y a moins de pression pour ce Final Four »

Le Final Four d’Istanbul approche à grands pas et le tenant du titre, le CSKA Moscou, y arrive comme candidat à sa propre succession. Mais les joueurs moscovites sont également conscients que rien ne sera facile.

Le Final Four d’Istanbul approche à grands pas et le tenant du titre, le CSKA Moscou, y arrive comme candidat à sa propre succession. Mais les joueurs moscovites sont également conscients que rien ne sera facile.

En tout état de cause, le meneur vétéran, Aaron Jackson estime que cette édition 2017 est rendue plus facile par le titre de l’an passé.

« Il y a moins de pression », avoue-t-il sur le site de l’Euroleague. « Honnêtement, on a brisé la malédiction l’année passée. On sait ce qu’il faut faire pour gagner d’abord. Et puis, on arrive dans ce Final Four en ayant gagné l’an passé. On sait ce qu’on ressent quand on gagne, donc il y a de l’excitation pour essayer de retrouver cette sensation. »

Pour cela, il faudra passer l’obstacle de l’Olympiakos. L’Efes Istanbul de Thomas Heurtel n’y est pas parvenu, se cassant les dents sur les Reds lors d’une cinquième manche fatale au Pirée.

« C’est une équipe très physique. Ils peuvent nous bousculer sur les ailes, mais on sait aussi qu’avec le staff qu’on a, on aura forcément des avantages à jouer également. Le coaching staff fait beaucoup de vidéos et va nous préparer des systèmes pour affronter leur défense. On doit croire en ce que le coach va nous proposer, même si on sait qu’Olympiakos est une grosse défense. »

« On ne l’appelle pas Kill Bill par hasard »

Deux fois vainqueur d’Olympiakos en saison régulière, le CSKA Moscou ne sait que trop bien que ça ne leur garantit rien.

« On espère qu’on pourra reproduire ce qu’on avait offensivement face à eux, lors de ces deux matchs. On les connait très bien mais le Final Four est une autre paire de manches. C’est un match sec. »

Surtout, il faudra surveiller Vassilis Spanoulis comme le lait sur le feu…

« On ne l’appelle pas Kill Bill par hasard. C’était vraiment superbe de le voir jouer face à Efes. Il est probablement un des meilleurs joueurs en Europe. Beaucoup veulent nous faire croire qu’il est moins bon mais il est toujours là pour les grands matchs. C’est un défi de jouer face à lui. On a mis en place plusieurs choses pour le ralentir. »

Les demi-finales auront lieu le 19 mai prochain. Plus qu’une semaine d’attente !

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