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20 ans d’Euros de jeunes : les joueurs U16 (Euros 2012-2014), espoirs et déboires

Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vi

Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Après une analyse par pays (voir ICI), nous examinons les meilleurs joueurs de ces Euros U16. Dans cette dernière salve, les éditions 2012 à 2014 (la première salve est à consulter ICI, la deuxième ICI, la troisième ICI), avant des études similaires sur les U18 et les U20.

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Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).

Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2012 à 2014.

Le cinq majeur 2012 Photo : FIBA Europe

2012

Podium : 1e – Turquie, 2e – France, 3e – Serbie

Okben Ulubay (MVP, Turquie, 1996, 2,00m, ailier)

Photo : FIBA Europe

11,3 points, 5,1 rebonds, 2,0 passes, voilà des chiffres bien pâles pour un MVP. Mais il a mené ses coéquipiers au titre européen en étant meilleur marqueur turc. Formé à l’Anadolu Efes, il y a joué jusqu’en 2016, tout en alternant avec le Pertevniyal Istanbul (la « réserve » de l’Anadolu Efes, évoluant en deuxième division). Il part ensuite pour Belediye, équipe turque de première division, où ses 12,9 points en 15 matchs le font remarquer du Darussafaka, où il passe un an et demi sans grand relief (4,9 points en 2017-18) avant de connaître une année blanche. Il s’est engagé cette saison avec le FMP Belgrade, où il tourne à 5,8 points en Ligue Adriatique.

Jan Wimberg (Allemagne, 1996, 2,04m, ailier/ailier-fort)

Photo : FIBA Europe

12,6 points, 7,9 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Formé à Oldenburg, il y joue jusqu’en 2017, sans dépasser les 1,0 point en BBL (la première division allemande), tout en évoluant principalement avec l’équipe 2 d’Oldenburg en Pro B (l’équivalent de notre NM1). Il joue les deux saisons suivantes en BBL, à Oettinger puis Bremerhaven (environ 4,5 points de moyenne au total). Cette saison, il est à Chemnitz, en Pro A (l’équivalent de la Pro B française), où il tourne à 10,6 points dans l’équipe en tête du championnat.

Marko Arapovic (Croatie, 1996, 2,06m, ailier-fort)

19,0 points, 7,7 rebonds, 2,9 passes. Il est formé au Cibona Zagreb et en part en 2014 pour le Cedevita de la même ville. Il y progresse régulièrement avant de connaître un coup d’arrêt sous la forme d’une blessure au genou qui ruine sa saison 2017-18. Il est toutefois signé par le Galatasaray (Turquie) à l’été 2018. Il y passe une saison à 7,7 points (championnat turc et Eurocup confondus) avant de se blesser à nouveau au genou à l’intersaison. Actuellement en convalescence.

Étienne Ory (France, 1996, 1,78m, meneur)

Photo : FIBA Europe

9,2 points, 3,1 rebonds, 4,4 passes sur le tournoi. Une carrière gâchée par les blessures : déjà sur le flanc pendant une saison au Centre Fédéral, il rejoint toutefois le centre de formation de Paris-Levallois avant de partir en 2016 à Vichy-Clermont, en Pro B, où il ne joue que 12 matchs de championnat, entre blessure au dos et kyste au tibia. Ce dernier problème va empêcher le meneur de jeu de jouer pendant deux ans et demi : il a refoulé les parquets pour la première fois il y a quelques jours avec les Canonniers de Metz, en NM2.

Federico Mussini (Italie, 1996, 1,90m, meneur-arrière)

14,6 points, 3,8 rebonds, 2,1 passes. Formé à Reggio Emilia, il y progresse régulièrement (8,2 points en Eurocup en 2014-15) puis part deux ans aux États-Unis à St-John’s. Il revient à Reggio Emilia en 2017 avant d’être transféré à Trieste (deuxième division) en cours de saison. Il retourne dans son club formateur la saison suivante. Cette année, il joue à Pesaro (Lega A, première division), où il produit 10,6 points, ses meilleurs chiffres à ce niveau de compétition.

Les Français

Antoine Wallez (1996, 2,04m, ailier-fort)

Photo : FIBA Europe

10,8 points, 4,4 rebonds, 0,7 passe. Formé au Mans, il est prêté à Boulogne-sur-Mer (Pro B) puis à Denain. Il y progresse mais part toutefois en NM1 à Angers la saison dernière, où il passe un cap. De retour cette saison en Pro B à Évreux, où il produit 8,0 points par match.

Lucas Dussoulier (1996, 2,00m , ailier)

8,2 points, 3,9 rebonds, 1,1 passe. Formé à l’Élan Béarnais, il n’arrive pas à s’imposer en Jeep Élite et part s’aguerrir en Pro B, à Charleville-Mézières, en 2016. Après une deuxième saison réussie (12,3 d’évaluation), il rejoint Quimper (Pro B) où il joue toujours, en se montrant l’un des meilleurs JFL de Pro B.

Cyrille Eliezer-Vanerot (1996, 1,96m, ailier)

6,0 points, 4,4 rebonds, 0,9 passe. Encore un dont la progression a été freinée par de grosses blessures. Formé au Paris-Levallois, il y a loupé la plus grande partie de la saison dernière suite à une fracture du pied. Il est parti au Portel cette saison afin d’essayer d’y retrouver ses sensations. 5,3 points jusqu’ici.

Lenny Charles-Catherine (1996, 1,94m, arrière-ailier)

5,8 points, 2,4 rebonds, 0,9 passe. Formé à Nancy, il part en 2015 en Pro B à Poitiers, sans grande réussite (3,5 points). Il revient à Nancy mais se blesse gravement au genou en décembre 2016. On ne l’a plus revu sur un parquet professionnel depuis.

Le cinq majeur 2013 Photo : FIBA Europe

2013

Podium : 1e – Espagne, 2e – Serbie, 3e – Grèce (France 5e)

Stefan Peno (MVP, Serbie, 1997, 1,95m, meneur)

Photo : FIBA Europe

Auteur de 9,3 points, 7,1 rebonds et 4,6 passes, il échoue à faire gagner la Serbie en finale malgré 10 points et 10 rebonds. À 14 ans, après ses premiers pas à l’OKK Belgrade, il est signé par Barcelone, qui le fait principalement jouer dans son équipe junior et sa réserve (qui évolue entre LEB Oro et LEB Silver, équivalant à nos Pro B et NM1). Ne perçant pas, il part en 2017 rejoindre l’Alba Berlin. Il s’y impose comme un joueur précieux (8,2 points et 5,5 passes en BBL la saison passée) mais, victime d’une grosse blessure au genou, il est out depuis février dernier.

Milos Glisic (Serbie, 1998, 2,05m, ailier-fort)

14,0 points, 7,6 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi, avec un an d’avance. Formé au Partizan Belgrade entre 2011 et 2016 (27,0 points et 13,2 rebonds en Espoirs en 2015-16). Quitte le Partizan pour Vrsac puis, en cours de saison 2017-18, pour le KK Dynamic, équipes évoluant en Ligue Adriatique 2 (la Pro B de cette ligue). Plutôt brillant la saison passée : 14,4 points, 7,8 rebonds. N’a pas joué au niveau professionnel en ce début de saison.

Xabier Lopez-Arostegui (Espagne, 1997, 2,00m, arrière-ailier)

12,0 points, 5,0 rebonds, 3,3 passes. À la Joventut Badalone depuis 2011, il évolue toujours dans l’équipe catalane de Liga ACB. Prêté ponctuellement à Prat, qui joue en LEB Oro (deuxième division). Progresse régulièrement d’année en année. Cette saison, vaut 6,5 points et 4,0 rebonds en Liga ACB, 11,3 points et 2,3 rebonds en Eurocup.

Sviatoslav Mykhailiuk (Ukraine, 1997, 2,00m, arrière)

Photo : FIBA Europe

25,2 points, 8,0 rebonds, 3,4 passes. Parti aux États-Unis en 2014, il passe quatre ans à la fac de Kansas (14,6 points en 2017-18). Drafté en 47e position par les Lakers, il commence la saison à Los Angeles avant d’être transféré à Detroit, aux Pistons, en cours de saison. Il y joue toujours : 4,2 points en 14,6 minutes.

Georgios Papagiannis (Grèce, 1997, 2,17m, pivot)

Photo : FIBA Europe

14,3 points, 10,4 rebonds, 0,8 passe. Formé à Peristeri puis au Panathinaïkos, il est drafté en 2016 par les Phoenix Suns (13e place). En deux saisons de NBA, il joue au total 39 matchs pour les Sacramento Kings et les Portland Blazers, pour 4,1 points (plus une trentaine de matchs de G-League). De retour au Pana, il produit cette saison 9,2 points et 5,0 rebonds en championnat grec, 5,3 points et 3,2 rebonds en Euroleague.

Les Français

Stéphane Gombauld (1997, 2,02m, ailier-fort)

Photo : FIBA Europe

16,0 points, 8,8 rebonds, 0,8 passe. À sa sortie du Centre Fédéral, le grand espoir de sa génération rejoint l’Asvel. Après un an à surtout jouer avec les Espoirs, est prêté à Saint-Chamond (Pro B). Une première saison à cet échelon plutôt prometteuse (8,1 points, 4,9 rebonds) mais non confirmée les deux années suivantes à Lille puis Chartres. Cette saison, à Blois, il retrouve des sensations : 14,6 points et 6,2 rebonds pour 18,4 d’évaluation.

Luc Loubaki (1997, 1,90m, arrière-ailier)

Photo : FIBA Europe

9,9 points, 5,2 rebonds, 1,9 passe. Sorti du Centre Fédéral en 2015, il intègre le centre de formation d’Orléans. Une première saison prometteuse (33 matchs, 10 minutes, 2,8 points) mais non confirmée les trois suivantes (une à Orléans, deux à Monaco). En cours de saison dernière, rejoint Lille en Pro B. Y vaut cette saison 8,2 points et 10,0 d’évaluation.

Renathan Ona Embo (1998, 1,90m, meneur)

7,4 points, 1,9 rebond, 1,4 passe. Part aux États-Unis se former en high school pendant trois ans puis, à partir de 2016, en NCAA à Tulane. Après deux premières saisons prometteuses, est resté sur le banc toute la saison dernière. N’a joué qu’un match pour le moment cette saison, pour 7 points et 4 rebonds.

Amine Noua (1997, 1,99m, ailier-fort)

Photo : FIBA Europe

6,2 points, 7,2 rebonds, 0,4 passe. Formé à Villeurbanne depuis sa plus tendre enfance, il joue toujours pour LDLC Asvel, avec qui il a été champion de France l’an dernier dans un rôle majeur. Un peu en retrait en ce début de saison (9,8 points, 10,3 d’évaluation en Jeep Élite, 4,2 points, 1,6 rebond en Euroleague).

Arthur Leboeuf (1997, 1,73m, meneur)

5,2 points, 3,1 rebonds, 2,2 passes. Rejoint Châlons-Reims à la sortie du Centre Fédéral. Ne perçant pas, il mute à l’été 2018 à Aubenas, en NM1. Cette saison, il joue à l’AL Lons-le-Saunier, en NM2.

Le cinq majeur 2014 Photo : FIBA Europe

2014

Podium : 1e – France, 2e – Lettonie, 3e – Espagne

Killian Tillie (MVP, France, 1998, 2,05m, ailier-fort)

Photo : FIBA Europe

14,3 points, 9,6 rebonds, 1,7 passe pour le fer de lance de l’équipe victorieuse de cet Euro U16. Déjà ennuyé par les blessures pendant ses années au Centre Fédéral, il a pu passer deux premières années « normales » de NCAA à Gonzaga (12,9 points en 2017-18) avant de collectionner les ennuis : fracture de fatigue de la cheville, déchirure du fascia plantaire, entorse de la cheville, opération du genou… Il n’a joué que 15 matchs depuis la saison 2018-19…

Bathiste Tchouaffé (France, 1998, 1,96m, arrière)

Photo : FIBA Europe

14,7 points, 4,4 rebonds, 1,9 passe sur le tournoi. Formé à Poitiers puis à l’Insep, il rejoint Nanterre en Jeep Élite à sa sortie du Centre Fédéral. Après trois saisons dans l’élite peu concluantes (deux à Nanterre, une à Bourg-en-Bresse), il retourne cette saison en Pro B à Poitiers. 6,2 points en 17 minutes sur le début de championnat.

Kristers Zoriks (Lettonie, 1998, 1,90m, meneur)

10,7 points, 2,8 rebonds, 3,2 passes. Formé au VEF Riga puis aux États-Unis, en high school, à New Hampton. Rejoint ensuite Saint-Mary’s en NCAA, en 2017. Passe une première année « redshirt » puis une seconde sur le banc suite à une blessure. A joué ses deux premiers matchs de NCAA cette saison : 0 point, 1,5 rebond, 0,5 passe en 6,5 minutes.

Rodions Kurucs (Lettonie, 1998, 2,02m, aillier-fort)

Photo : FIBA Europe

13,4 points, 5,9 rebonds, 1,9 passe. Formé au VEF Riga, il est recruté en 2016 par Barcelone, où il reste deux ans avant de rejoindre les Brooklyn Nets, qui l’ont drafté en 40eposition. Après une bonne première saison (8,5 points sur 63 matchs), ses stats sont en baisse en ce début de championnat : 2,4 points en 11,5 minutes (contre 20,5 en 2018-19).

Ömer Yurtseven (Turquie, 1998, 2,08m, pivot)

Photo : FIBA Europe

15,1 points, 8,1 rebonds, 0,1 passe. Formé par le Fenerbahce, il part en 2016 aux États-Unis jouer en NCAA à North Carolina State. Il y progressse bien, réalisant 13,5 points lors de sa deuxième saison à cette fac. À l’intersaison 2018, il part pour Georgetown, ce qui lui vaut une année « redshirt » (sans jouer). De retour sur le parquet cette saison, il démarre par deux matchs à 18,5 points et 13,5 rebonds.

Les Français

Frank Ntilikina (1998, 1,93m, meneur)

Photo : FIBA Europe

7,4 points, 1,6 rebond, 2,0 passes. Formé à Strasbourg, il est drafté en 8e position par les Knicks de New York en 2017. Se bat depuis pour gagner du temps de jeu dans la franchise new-yorkaise. 5,3 points en ce début de saison. International, il a largement contribué à la médaille de bronze récoltée en Chine par les Bleus cet été.

Quentin Goulmy (1998, 2,05m, pivot)

6,3 points, 5,3 rebonds, 0,3 passe. Lui aussi formé à Strasbourg, mais il n’arrive pas à percer au niveau professionnel. En cours de saison dernière, il est parti s’essayer sans succès (0,8 point, 1,8 rebond) à la Pro B à Caen. Cette année, il joue pour l’équipe deux de Barcelone, en LEB Silver (3e division espagnole) : 6,6 points par match.

Jules Rambaut (998, 2,01m, ailier-fort/pivot)

Photo : FIBA Europe

5,9 points, 3,0 rebonds, 1,7 passe. À sa sortie du Centre Fédéral, en 2016, passe trois ans à Châlons-Reims où il ne parvient pas à franchir le cap professionnel. Prêté quelques matchs la saison passée à Récy Saint-Martin et cette saison à Bordeaux (NM1) : 4,7 points.

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Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).

Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2012 à 2014.

Le cinq majeur 2012 Photo : FIBA Europe

2012

Podium : 1e – Turquie, 2e – France, 3e – Serbie

Okben Ulubay (MVP, Turquie, 1996, 2,00m, ailier)

Photo : FIBA Europe

11,3 points, 5,1 rebonds, 2,0 passes, voilà des chiffres bien pâles pour un MVP. Mais il a mené ses coéquipiers au titre européen en étant meilleur marqueur turc. Formé à l’Anadolu Efes, il y a joué jusqu’en 2016, tout en alternant avec le Pertevniyal Istanbul (la « réserve » de l’Anadolu Efes, évoluant en deuxième division). Il part ensuite pour Belediye, équipe turque de première division, où ses 12,9 points en 15 matchs le font remarquer du Darussafaka, où il passe un an et demi sans grand relief (4,9 points en 2017-18) avant de connaître une année blanche. Il s’est engagé cette saison avec le FMP Belgrade, où il tourne à 5,8 points en Ligue Adriatique.

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Ouverture : Équipe de France U16 2014 –

Photo : FIBA Europe

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