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Vincent Collet : « on a vraiment très bien joué sans Tony »

Vincent Collet, après la victoire à l’arrachée de l’équipe de France face à l’Italie, s’est félicité du comportement des siens malgré les problèmes de dos de Mickael Gelabale et la béquille reçue par Tony Parker. Avec des remplaçants performants et des joueurs appliqués, les Bleus sont allés cherche

Vincent Collet, après la victoire à l’arrachée de l’équipe de France face à l’Italie, s’est félicité du comportement des siens malgré les problèmes de dos de Mickael Gelabale et la béquille reçue par Tony Parker.

Avec des remplaçants performants et des joueurs appliqués, les Bleus sont allés chercher leur qualification pour le deuxième tour, même sans un Tony Parker stratosphérique. Un bon signe.

« On a beaucoup souffert parce que le scénario du match a été très compliqué. On est tombé sur la meilleure équipe d’Italie depuis le début du tournoi. Peut-être qu’on a commis des erreurs au début, mais malgré tout, ils ont produit un autre visage, avec davantage d’altruisme, même s’ils sont retombés un peu dans leurs travers sur la fin, fort heureusement pour nous ».

« Nous, on avait commencé le match avec une mauvaise nouvelle : problème au dos pour Mickaël Gelabale à un quart d’heure du début de match ; ça c’était déjà un coup dur et sur la deuxième action, Tony prend une grosse béquille qu’il a traîné autant qu’il a pu, jusqu’à la 27e ou 28e minute où manifestement, il ne pouvait plus. J’espère d’ailleurs que pour les deux ce n’est pas trop méchant et qu’ils pourront être là (demain), mais je n’en suis pas sûr du tout aujourd’hui. Donc c’est pour ça que le fait d’avoir gagné est un grand soulagement, parce que là au moins on va à Vilnius et on aura la possibilité de jouer notre chance à Vilnius ».

« Ce qui me fait plaisir, c’est que pour la première fois depuis le début du tournoi, on a vraiment très bien joué sans Tony. On a su être beaucoup plus rigoureux qu’à l’accoutumée, c’est à dire qu’on a vraiment eu une autre façon de jouer, en respectant nos formes de jeu, en cherchant les points forts qui restaient sur le terrain, à savoir Boris (Diaw) sur le poste bas, Gelabale dans les positions de tirs, Batum sur les sorties d’écran. Et on l’a fait vraiment avec beaucoup d’abnégation, de rigueur, et ça c’est vraiment un point positif pour l’avenir ».


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