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Tony Parker rejoint l’ASVEL pour remercier le basket français

Inutile d’attendre jeudi, et la conférence de presse, Tony Parker a confirmé ce soir sur RMC qu’il jouerait l’Asvel le temps du lock-out. Il a reçu des propositions de Chine, et une de Barcelone, mais c’est dans son club qu’il voulait jouer. Et ce sera pour le minimum salarial : 1 500 euros par mois


Inutile d’attendre jeudi, et la conférence de presse, Tony Parker a confirmé ce soir sur RMC qu’il jouerait l’Asvel le temps du lock-out.

Il a reçu des propositions de Chine, et une de Barcelone, mais c’est dans son club qu’il voulait jouer.

Et ce sera pour le minimum salarial : 1 500 euros par mois.

« Je jouerai à l’ASVEL pendant la période du lock-out NBA, a-t-il d’abord annoncé. J’ai pris ma décision ce lundi. C’est un grand plaisir pour moi de revenir en France. Pour moi, c’est naturel d’arriver à Villeurbanne. «

Ensuite, il a donné les raisons de ce choix.

« Je dois avouer qu’à la fin de la saison NBA, je ne me voyais pas jouer à l’ASVEL.  Mais durant l’été, j’ai commencé à en parler avec les autres joueurs de l’équipe de France : Boris Diaw, Nicolas Batum. Et c’est à partir de ce moment que cela a commencé à me trotter dans la tête. Ensuite, au retour de l’Euro, lorsque j’ai vu l’engouement autour de notre médaille d’argent, je me suis dit que c’était une bonne idée. Ma famille, mes amis n’arrêtaient pas de me dire : « allez, reviens chez nous car on pourra te voir jouer ! ». Et c’est là que je me suis dit qu’il n’y aura peut-être jamais une opportunité pour moi de venir jouer en France. »

Pour finir un mot sur le salaire. Comme Boris Diaw à Bordeaux, TP a accepté le salaire minimum.

« J’ai trouvé un accord avec mon assurance il y a 48 heures, j’ai bien négocié avec eux (rires). Je jouerai en France pour le salaire minimum. Je vais gagner 1500 euros par mois. Je paie de ma propre poche mon assurance. Je n’avais pas envie que l’ASVEL paie quelque chose dans cette histoire. Je suis obligé, administrativement, de signer un contrat de travail. Donc pour le strict minimum. L’assurance, je la prends moi-même en charge. Ce n’est pas une question d’argent. J’ai de la chance de gagner beaucoup d’argent aux Etats-Unis. Ma démarche est de rendre au basket français ce qu’il m’a apporté. »

Suite de l’interview sur RMC Sport.fr

Visuel : Asvelbasket.com

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