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Alain Weisz : « rien n’est perdu »

Auteur d’une première partie de saison cauchemardesque, le HTV reprend ce soir en coupe de France, face à une équipe de N1, Saint-Étienne. L’occasion de prendre confiance, afin d’entamer pour le mieux la seconde partie de saison. Alain Weisz a livré à nos confrères de Var Matin, ses doutes, ses envi

Auteur d’une première partie de saison cauchemardesque, le HTV reprend ce soir en coupe de France, face à une équipe de N1, Saint-Étienne.

L’occasion de prendre confiance, afin d’entamer pour le mieux la seconde partie de saison.

Alain Weisz a livré à nos confrères de Var Matin, ses doutes, ses envies, ses projets et surtout a fait une annonce : il ne sera probablement plus coach du HTV, l’an prochain.

Morceaux choisis.

Le premier bilan

Il est négatif. On s’est retrouvé démuni lorsque le championnat a débuté. On sortait pourtant d’une saison remarquable (7e). Cette chute brutale n’était pas prévue. C’était comme si on était dans un ascenseur en chute libre… On a quand même affronté Pau avec sept pros seulement ! Il a fallu reconstruire. Remonter une équipe pour laquelle je n’ai pas été consulté… Des joueurs sachant évoluer des deux côtés du terrain, ça vaut cher. Très cher. Actuellement, nous n’avons quasiment que des joueurs du niveau Pro B. Et la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a…Oui, mais nos joueurs n’ont pas toutes les caractéristiques de la Pro A. Ils auraient pu réaliser une belle saison encadrés par des Gordon, Dobbins, Zianveni. Or, ces cadres sont partis. On sait pourquoi…

Un espoir ?

Rien n’est perdu pour autant. Devant nous, il y a des équipes qui ne gagnent pas beaucoup. C’est rattrapable. Je pense qu’en travaillant maintenant à dix, on peut progresser. On peut arriver à 7-8 victoires. Ce qui devrait être suffisant pour se maintenir.

La pénalité

On a une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes…Les dirigeants m’ont garanti que le club allait récupérer ces trois points. Il faudrait le savoir rapidement. En tout cas, je veux y croire. C’est mon métier. Et puis, sinon, ce serait l’ennui total…

L’avenir

Les dirigeants m’ont fait savoir qu’ils ne comptaient plus sur moi. Je ne ferme pourtant pas la porte. Même la Pro B ne m’effraie pas. Seulement, à ce jour, je ne suis plus dans les plans…

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