Il s'agit de la même affiche que l'an dernier. Monaco s'était alors imposé 3 manches à 1. Seulement, cette fois Paris, qui a terminé en tête de la saison régulière, possède l'avantage du terrain pour les deux premiers matches et éventuellement le cinquième. De plus, alors que la star parisienne TJ Shorts, est sur la lancée d'une saison dont il a été élu MVP, celle de la Roca Team, Mike James, est suspendue par son club.
Le programme :
Épisode 1 : dimanche 15 juin à 16h30, Paris - Monaco.
Épisode 2 : mardi 17 juin à 20h30, Paris-Monaco.
Épisode 3 : vendredi 20 juin à 20h30, Monaco - Paris.
Épisode 4 (si nécessaire) : dimanche 22 juin à 16h30 : Monaco - Paris.
Épilogue (si nécessaire) : mardi 24 juin à 20h30 : Paris - Monaco.
Les duels de cette saison :
24 octobre : Euroleague à Gaston Médecin : Paris bat Monaco 87-80
8 décembre : BetClic Elite à l’Adidas Arena : Paris bat Monaco 111-104
5 mars : Euroleague à l’Adidas Arena : Monaco bat Paris 91-79
9 mars : BetClic Elite à Gaston Médecin : Monaco bat Paris 94-63
Vassilis Spanoulis (entraîneur de Monaco) sur le site du club : « Les deux équipes se connaissent très bien. La motivation et l’excitation se ressentent, c’est une finale, c’est un grand rendez-vous. C’est le moment où le fait d’avoir bien travaillé toute une saison doit se faire ressentir. L’absence de Mike James ? Mike est une grande partie de l’équipe, il est unique, mais nous avons des leaders et chacun peut se surpasser et tirer l’équipe vers le haut. Nous devons avancer en équipe. Nous sommes revenus vidés du Final Four mais l’énergie est de retour. »
Mam Jaiteh (joueur de Monaco) : « On a pu récupérer, on arrive dans les meilleures conditions pour aborder cette finale. Paris joue à un rythme élevé avec un volume de 3-pts incroyable. Dans nos précédentes confrontations on a réussi à limiter leur attaque. Sur le plan physique, on a des moyens supérieurs. On devra parvenir à limiter leur euphorie et arriver à poser le jeu sur demi-terrain. Faire tout ce qu’on a fait pour finir sur une saison blanche, on n’en veut pas. On veut ce trophée. On arrive avec la mentalité d’une équipe qui a faim et qui estime mériter ce titre. »
Olivier Mazet, l'agent de Nadir Hifi joueur de Paris dans Le Parisien : « « C’est la première fois qu’un mec dans le Championnat de France - hors Victor Wembanyama - dépasse la sphère du basket. Il y a deux ans, il gagnait 1900 euros et avait un petit appart. Depuis tout a changé. Il a explosé plus tard que les autres mais maintenant il est en avance. Il a une tronche, un style, il incarne des valeurs. Il ne va pas à Clique pour parler de basket mais de son parcours. C’est un produit de la banlieue avec ses codes, il aime le hip-hop, la mode. Les gamins s’identifient plus à lui. »