Gallo s'est exprimé sur le sujet dans une interview accordée à La Gazzetta dello Sport .
"Il me faut juste une médaille avec l'équipe nationale, et ensuite je pourrai être heureux. Difficile aussi de quantifier ce qui aurait pu se passer et ce qui ne s'est pas passé : j'ai commencé en équipe nationale à 17 ou 18 ans, alors que l'équipe olympique de 2004 était encore là, et depuis, j'en ai manqué huit. C'est beaucoup. Je me demande ce qui se serait passé si j'avais aussi joué ces huit-là, mais il vaut mieux ne pas y penser. Tout peut arriver chaque été, y compris ça.
Je ne veux pas mettre la pression aux gars, mais honnêtement, je vois une équipe qui me semble solide et capable de bien faire. J'attends beaucoup de ce groupe. Je suis enthousiaste, et ce sera ma dernière participation en équipe nationale, ce qui ajoute un peu d'excitation.
Oui, ce sera mon dernier été avec l'équipe nationale. Savoir cela donne un regain d'énergie. Ce sont des sensations qu'un club ne procure pas. J'ai fait partie de nombreux groupes différents : au début, j'étais le plus jeune, je jouais avec mes idoles ; maintenant, je suis le vétéran, et je vois les jeunes qui ont créé un groupe spécial ; ils sont forts et talentueux. Ils vous aident à rester jeune."
