Après leur deuxième victoire sur Fenerbahçe, en quart-de-finale de l’Euroleague, le coach grec du CSKA Moscou, Dimitris Itoudis a tressé des lauriers à ses joueurs :
« En général, dans ma vie, je ressens de l’empathie pour les gens. Et j’ai de l’empathie pour mes joueurs. Je comprends à quoi ils sont confrontés: il nous manque des personnes importantes, de nouveaux gars sont apparus, des rivaux s’adaptent à nous. Mais je le répète: tous ceux qui jouent avec nous sont prêts à faire la guerre et à se battre. Notre vie et le basket-ball sont un jeu psychologique. Lorsque tout le monde est prêt à se battre et à contrôler ses pensées, il est alors capable de contrôler les pensées de l’adversaire. C’est pourquoi je dis: je ne suis pas seulement leur entraîneur, mais leur plus grand fan. Je les critique, mais j’explique toujours mes affirmations, et ça reste toujours entre nous. J’adore ce qu’ils ressentent à propos du jeu. J’aime leur caractère. J’adore leur rigidité. Je les entraîne, mais je les soutiens aussi le plus possible. «
Photo: Michael Eric (Euroleague)
%20%3A%20%C2%AB%C2%A0je%20suis%20fan%20de%20mes%20joueurs%C2%A0%C2%BB){kind=link}