Directrice de l’Agence lituanienne de dopage, Ieva Lukosiute Stanikuniene, a vivement réagi aux articles faisant état de deux cas « positifs » détectés lors de l’Eurobasket.
Pour elle, tout est parti d’une erreur de traduction des journalistes espagnols. Toutefois, elle confirme qu’un échantillon est encore phase de vérification.
« J’ai été surprise par des articles en Espagne disant que des contrôles étaient positifs, a-t-elle déclaré à l’AFP. Je suis surprise par l’incompétence des journalistes espagnols, qui écrivent de tels non-sens et ont mis ces mots dans ma bouche. »
Elle explique qu’il y a bien effectivement un échantillon « présentant un niveau excessif de testostérone » mais que cela signifie pas pour autant qu’il est « positif ».
Elle précise au passage qu’elle n’a jamais donné de noms d’équipes, et qu’il ne s’agit donc pas forcément d’un joueur espagnol ou macédonien.
Comme nous l’expliquions, l’échantillon est désormais entre les mains de la FIBA qui doit déterminer, via un laboratoire, si ce taux trop élevé est naturel (produit par le corps) ou artificiel (dopage).