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En direct avec Jérémy Leloup (Strasbourg): « J’espère être chef d’entreprise »

Quelques jours seulement après son quatrième échec consécutif en Finale de Pro A avec Strasbourg, Jérémy Leloup a accepté de répondre aux questions de BasketEurope et de replonger dans ses souvenirs de basketteurs. Les bons comme les moins bons …

Quelques jours seulement après son quatrième échec consécutif en Finale de Pro A avec Strasbourg, Jérémy Leloup a accepté de répondre aux questions de BasketEurope et de replonger dans ses souvenirs de basketteurs. Les bons comme les moins bons …

Le premier match que tu as joué en pro : Je me rappelle du match où je mets mes premiers points. C’était contre Paris-Levallois. J’ai signé en 2007, donc c’était la saison 2007-2008. Mais le premier match en pro, je ne sais plus …

Le joueur qui t’a rendu meilleur : Nebojsa Bogavac, au Mans.

Un modèle dans le basket : Je n’ai pas vraiment de modèle, mais je me suis pas mal inspiré de Bogavac.

Le meilleur joueur actuel de ton championnat : [arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »](hésitation) J’aime bien Jason Rich (Paris-Levallois).

Le plus râleur de ton équipe : On n’a pas trop de râleurs ni de mauvais caractères.

Le coach qui t’a le plus marqué : J’en ai deux. Jean-Louis Borg parce que c’est lui qui m’a donné ma chance assez rapidement en Pro A, et c’était le plus expressif sur un terrain. Et Vincent Collet parce qu’il m’a fait signer mon premier contrat professionnel et c’est celui avec qui j’ai passé le plus de temps, mais il est beaucoup plus calme.

Le club où tu aimerais jouer : Je suis bien à Strasbourg, mais j’aimerais bien rejouer au Mans (NDLR : Jeremy a resigné pour deux saisons supplémentaires à la SIG).

La salle dans laquelle tu as joué avec le plus d’ambiance : Galatasaray l’année dernière en finale de l’Eurocup.

Ton pire souvenir de joueur : Les quatre finales perdues en championnat.

Ton meilleur souvenir : Tous les trophées que j’ai pu remporter. Coupe de France, Leaders Cup … Même la finale d’Eurocup malgré la défaite.

L’adversaire le plus coriace : Real Madrid.

Le trophée que tu es le plus fier d’exposer : Les Coupes de France et Leaders Cup que j’ai gagnées avec Le Mans et Strasbourg.

Ton match référence en carrière : Je dirais le match de l’année dernière contre l’Etoile Rouge de Belgrade. Je suis à 26 d’évaluation je crois. On perdait de 20 points à la mi-temps et on a fini par gagner.

Le match dont tu as le plus honte : Un match à Boulogne-sur-Mer en Pro B où j’ai dû finir à 1/11. (NDLR : 1/14 lors d’une victoire de Dijon au Portel en 2010).

Si tu pouvais prendre le move d’un joueur : Pas un move … Ce serait plus les qualités athlétiques d’un joueur comme Louis Labeyrie ou Yakuba Ouattara, par exemple.

Quel joueur ou quelle équipe rêverais-tu de voir jouer : Les Bulls de Jordan.

Pourquoi portes-tu ce numéro : L’année où je suis arrivé à Vichy, je venais remplacer William Gradit qui avait le numéro 9. Au Mans j’avais le 10, mais à Vichy il était déjà pris par un « ancien » (NDLR : David Melody) donc j’ai pris le 9. Et depuis, je l’ai gardé.

Si tu avais une règle à changer dans le basket : Je ne sais pas …

Quel est le principal sujet de conversation entre joueurs : Ca dépend. Les Américains entre eux, c’est que de la NBA. Les Français, ça peut être du foot parce qu’il y a toujours des joueurs qui supportent une équipe ou l’autre donc chacun aime bien défendre son équipe.

Ton meilleur pote dans le basket : Antoine Eito, Zach Moss, David Melody, Louis Campbell, Romain Duport …

Aimes-tu lire ou regarder les reportages sur toi : Les reportages c’est plus sympa que les articles. Je regarde, mais je n’en fais pas une obsession. Les articles, j’aime bien les relire pour voir si c’est bien ce que j’ai dit, pour voir si ça n’a pas été changé.

Ta principale occupation entre deux entraînements : M’occuper de mes deux enfants et de ma famille.

La ville où tu as joué que tu préfères : Chaque ville avait son charme. En dehors du Mans où je suis né, je dirais Dijon et Strasbourg. C’est simple, je n’ai pas fait beaucoup de clubs (rires).

Si tu ne jouais pas au basket : Je suis passionné de moto donc peut-être pilote.

Toi après le basket : J’espère être chef d’entreprise. Une bonne entreprise qui fonctionne. Et un bon père de famille.[armelse][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]

Photo : LNB

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