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Jeep Elite : accord trouvé pour la reprise de l’Elan Béarnais par les repreneurs américains !

Lundi après-midi, le maire de Pau François Bayrou a officialisé la reprise de l’Elan Béarnais par le groupe de repreneurs américains CSG.

Lundi après-midi, le maire de Pau François Bayrou a officialisé la reprise de l’Elan Béarnais par le groupe de repreneurs américains CSG.

Une nouvelle page s’ouvre à Pau. Les discussions exclusives entre la mairie de la Ville et la société américaine Counterpointe Sports Group (CSG) concernant la reprise de l’Elan Béarnais avaient été prolongées, elles ont fini par aboutir. Une conférence de presse a officialisé le passage du club du Béarn sous pavillon US.

« Ce projet est d’abord un projet sportif et patrimonial. L’Elan Béarnais a une place tout à fait éminente dans le monde du basket. Le but de cet accord est de rendre au club de l’ambition pour les décennies à venir. C’est une décision qui se veut à la hauteur de la légende du club, détaille François Bayrou, maire de Pau et président de la communauté d’agglomération Pau Béarn Pyrénées, qui ne souhaite pas bouleverser l’identité du club. Nous avons beaucoup travaillé et oeuvré pendant 10 mois pour discuter du projet en lui-même et enfin trouver des garanties de la pérennité du projet. »
7 millions de budget pour la saison 2021-2022

Le projet consiste à donner au club de Pau « les moyens d’une progression rapide vers les sommets français et européens avec l’ambition de jouer les premiers rôles ». Le budget sera de 7 millions d’euros dès 2021-2022, soit une augmentation d’environ 20 % du budget, avant une nouvelle augmentation à moyen terme. La vente des actions des collectivités aux nouveaux propriétaires devrait atteindre 800 000 euros.

En prime, la Ville de Pau a obtenu une garantie importante en cas de départ de CSG Group, mené entre autres par son PDG Greg Heuss, Tom Hudson, Stu Jackson ou encore l’ancien ailier All-Star NBA Jamal Mashburn. Si jamais les repreneurs américain veulent céder le club, la ville et l’agglomération auront un « droit de priorité sur un repreneur ».

Photo : Elan Béarnais

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