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Lassi Tuovi (coach Strasbourg) complimente Dijon : « C’est une machine! »

En deuxième mi-temps, la JDA Dijon n’a pas fait de quartiers face à la SIG Strasbourg (49-27) et s’est au final largement imposée (83-63) et ainsi qualifiée pour les demi-finales de la Coupe de France. Après le match, le coach de la SIG, Lassi Tuovi a été très louangeur pour l’équipe de Laurent Legn

En deuxième mi-temps, la JDA Dijon n’a pas fait de quartiers face à la SIG Strasbourg (49-27) et s’est au final largement imposée (83-63) et ainsi qualifiée pour les demi-finales de la Coupe de France. Après le match, le coach de la SIG, Lassi Tuovi a été très louangeur pour l’équipe de Laurent Legname :

« Avant tout je tiens à féliciter Dijon pour leur qualification pour le top 4 de cette Coupe de France,» peut-on lire sur le site de la SIG. « Je pense que tout le monde l’a vu, ils l’ont mérité. La manière dont ils ont joué et surtout en deuxième mi-temps, était impressionnante. Ils ont montré une nouvelle fois qu’ils étaient une des meilleures équipes et une des favorites pour le championnat. Comme pour Bonzie à Athènes qui n’était pas à 100%, l’histoire s’est répétée ce soir avec deux autres joueurs. Nous avons un gros match mardi donc nous ne pouvons pas prendre de risques. Malheureusement Ike et Jaromir n’ont pas pu jouer aujourd’hui mais j’espère les avoir mardi.

A la mi-temps nous avons 12 passes pour 9 pertes de balles. Si tu as peur de jouer contre Dijon, tu ne peux pas jouer. Il faut être prêt à se faire des passes et si tu perds la balle, 9 en l’occurrence, c’est beaucoup mais on a essayé. En deuxième mi-temps, 13 pertes de balles mais seulement 3 passes…ça veut tout dire ! Notre énergie et notre confiance collectif ont chuté, mais ça montre aussi à quel point ils ont su détruire notre jeu. Ils ont fait un très bon boulot et maintenant c’est à nous d’analyser cette défaite pour en tirer les leçons. Je suis impatient d’analyser ce match pour leur proposer une réponse samedi prochain lors de leur venue en Jeep ELITE.

Ils avaient également des blessés. Donc, l’impact des absents n’est pas aussi important. Mais la manière dont ils ont joué : c’est une machine ! Même quand nous étions bons, je n’ai jamais vu chez eux de la frustration ou de la panique. Ils ont su appuyer sur les pédales pour continuer à avancer ».

Photo: FIBA

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