Aller au contenu

Strasbourg : un seul être vous manque…

Après la déculottée subie à l’Aris Salonique, les DNA ont demandé à Paul Lacombe de réagir. Celui-ci a été offensivement productif en Grèce (16 points) mais il a aussi perdu neuf balles.

Après la déculottée subie à l’Aris Salonique, les DNA ont demandé à Paul Lacombe de réagir. Celui-ci a été offensivement productif en Grèce (16 points) mais il a aussi perdu neuf balles.

« J’ai presque envie de dire qu’on s’en sort bien, vu la manière dont on a joué. Malheureusement, il n’y en a pas eu un pour rattraper l’autre. Je pense pouvoir dire que je me suis engagé dans le combat, au même titre qu’un ou deux de mes coéquipiers, mais a contrario, j’ai fait des bourdes en attaque qui nous coûtent cher. »

Incontestablement, les Alsaciens ne sont pas rentrés dans le match en conquérants et ils ont subi tout le match l’intensité des Grecs. Les DNA ont voulu savoir si Paul Lacombe a cherché à réveiller ses troupes.

« Ce n’est pas forcément dans ma nature. J’ai essayé de parler une ou deux fois, mais j’ai l’impression que ça résonne dans le vide… Je n’ai peut-être pas les mots justes, pas la bonne attitude, je ne sais peut-être pas le faire aussi, ça ne s’invente pas après tout… Le problème, c’est qu’on n’a pas vraiment quelqu’un dans cette équipe qui en est capable. Alors que l’année dernière, on n’avait même pas besoin de parler, on se retournait vers Lou (Campbell). »

Un bel hommage à celui qui, à 37 ans, est devenu depuis le meneur de jeu du Paris-Levallois et sans doute une explication majeure à cette absence de révolte pendant quarante minutes.

Commentaires

Fil d'actualité