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Julien Mahé (Gravelines-Dunkerque) prépare la saison prochaine

Au terme d’une saison achevée à la 9e place, le BCM Gravelines-Dunkerque a décidé de repartir d’une page quasi vierge pour préparer la saison prochaine. Promu entraîneur principal à la place de Christian Monschau, Julien Mahé a fait le tour des dossiers chauds pour La Voix du Nord.

Au terme d’une saison achevée à la 9e place, le BCM Gravelines-Dunkerque a décidé de repartir d’une page quasi vierge pour préparer la saison prochaine. Promu entraîneur principal à la place de Christian Monschau, Julien Mahé a fait le tour des dossiers chauds pour La Voix du Nord.

Le recrutement, urgence au poste 1

Auteur d’une très bonne saison à titre individuel, Justin Cobbs (16,9 points et 5,5 passes) ne sera plus dans le Nord la saison prochaine. Mathis Keita a vécu une saison compliquée et son avenir à Gravelines n’est pas encore certain. La priorité est donc au recrutement d’une paire de meneurs capable de réinstaller le BCM dans le haut du tableau. Le club pourrait enregistrer la signature du Nancéien Benjamin Sène (1,88 m, 23 ans), un joueur qu’il a déjà tenté de faire venir l’été dernier.

« Il fait partie des joueurs qu’on regarde, des jeunes joueurs français à fort potentiel. On peut l’aider à devenir un très bon joueur du championnat. Il rentre dans ce cadre-là », explique Julien Mahé.

Le BCM recherche aussi un étranger capable de mener le jeu. Le nom de DaShaun Wood a été un temps évoqué mais …

« C’est plutôt non. […] Le profil c’est un joueur leader. Je veux un meneur de jeu … C’est un choix très important. On va prendre le temps sur cette position. »

Priorité aux Français

Aaron Cel et Fernando Raposo sont les seuls joueurs à encore être sous contrat pour la saison prochaine, et Julien Mahé souhaite les conserver. En attendant peut-être Benjamin Sène, le troisième Joueur Formé Localement (JFL) -un club de Pro A doit impérativement en avoir quatre au minimum- pourrait bien être le jeune Adam Mokoka (1,91m, 18 ans) dont la signature du premier contrat professionnel prend du temps.

Mais le BCM ne devrait pas s’arrêter là sur le marché français.

Intégralité de l’article sur la Voix du Nord

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