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Axel Hervelle et la Belgique n’ont pas de droit à l’erreur face à la Grande-Bretagne

A l’image des Français, les Belges n’ont pas pour habitude de bien démarrer les Euro. Lors de leurs quatre dernières participations, ils n’ont pas gagné une seule fois. Mais aujourd’hui, ils n’ont pas le droit à l’erreur: la Grande-Bretagne, théoriquement l’équipe la plus faible du groupe, doit être

A l’image des Français, les Belges n’ont pas pour habitude de bien démarrer les Euro. Lors de leurs quatre dernières participations, ils n’ont pas gagné une seule fois. Mais aujourd’hui, ils n’ont pas le droit à l’erreur: la Grande-Bretagne, théoriquement l’équipe la plus faible du groupe, doit être absolument avalée car ensuite seront au programme Russie, Turquie, Lettonie et Serbie, des équipes d’un autre calibre.

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L’histoire enseigne à se méfier. En 2013, les Belges n’avaient vaincu les Britanniques que de cinq points (76-71). Ceux-ci n’étaient pas qualifiés deux ans plus tard. A priori, les Belgian Lions ont franchi un cap depuis 2015 et leur large succès à Tenerife face à l’Espagne (89-71) leur a gonflé le moral.

« La Grande-Bretagne est dangereuse, mais à notre meilleur niveau, nous sommes plus forts. Nous espérons au moins deux victoires. Sur papier, nous n’avons pas beaucoup de chances dans ce groupe de la mort, mais nous visons les huitièmes de finale : on passera si nous réitérons des prestations du calibre de celle en Espagne durant la préparation », commente Axel Hervelle dans Le Soir.

Axel Hervelle est une figure du basket belge. Depuis son départ de Verviers-Pepinster en 2004, ce power forward de 2,08m a réalisé une bien belle carrière en Espagne, au Real Madrid pendant cinq ans, et à Bilbao depuis 2009 où il lui reste une dernière année de contrat. Une remarquable stabilité.

Le Liégeois va disputer son troisième Euro sachant qu’il était blessé en 2011. A 34 ans, son apport sera une fois encore fondamental. Il se veut donc optimiste dans les chances des Belgions Lions de sortir de la poule malgré une forte concurrence.

“Le groupe me semble extrêmement bien balancé avec un bon mélange entre jeunes talents et des joueurs plus confirmés. Le coach a réussi, comme à son habitude, à mettre en place une dynamique positive. Il y a déjà pas mal d’automatismes au sein de l’équipe qui se repose en grande partie sur la même ossature qu’il y a deux ans. On a donc pu travailler dans une certaine continuité et tout me semble bien en place avant de commencer la compétition,” explique t-il à La Dernière Heure.

Axel Hervelle a connu quelques soucis au niveau d’un ischio lors de la préparation et s’en plaignait encore hier, puis un rhume et une diarhée mais il évacue tout risque de forfait.

“Ça me tirait encore un peu dans les jambes mais cela ne m’empêchera pas d’être prêt à jouer ce vendredi. »

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L’histoire enseigne à se méfier. En 2013, les Belges n’avaient vaincu les Britanniques que de cinq points (76-71). Ceux-ci n’étaient pas qualifiés deux ans plus tard. A priori, les Belgian Lions ont franchi un cap depuis 2015 et leur large succès à Tenerife face à l’Espagne (89-71) leur a gonflé le moral.

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Photo : FIBA Europe

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