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Jean-Michel Mipoka (Gravelines) : « On est prêt mentalement pour aller gagner à Boulazac ! »

C’est l’histoire éternelle du verre à moitié vide ou à moitié plein. Le négatif pour le BCM Gravelines-Dunkerque, c’est qu’il a perdu une troisième fois (55-61) en trois journées et deux fois à Sportica. Hier soir face à une bonne équipe de l’AS Monaco mais qui n’est pas apparue aussi irrésistible q

C’est l’histoire éternelle du verre à moitié vide ou à moitié plein. Le négatif pour le BCM Gravelines-Dunkerque, c’est qu’il a perdu une troisième fois (55-61) en trois journées et deux fois à Sportica. Hier soir face à une bonne équipe de l’AS Monaco mais qui n’est pas apparue aussi irrésistible que les deux saisons précédentes. Comme beaucoup elle est en reconstruction.

Le positif, c’est que le BCM a été appliqué, intense, qu’il a pu compter sur un DJ Cooper (15 points plus 6 passes et 5 rebonds) qui a davantage pris la finition a son compte, et qu’il a été dans le coup pendant quarante minutes. Loin de la pauvreté du match au Mans et de la première mi-temps face à Dijon.

« Comparé à nos deux premiers matchs, il n’y a pas photo sur le niveau affiché. On a répondu présent au combat. Il y a eu un très bel effort défensif. C’est dommage qu’on ait laissé Monaco revenir juste avant la mi-temps. Les garçons se sont battus avec un bel effort collectif, » a ainsi déclaré le coach Julien Mahé en conférence de presse.

Comme le faisait remarquer Jean-Michel Mipoka, c’est la catastrophique (non) réussite derrière l’arc (2/20) qui a coûté très cher aux Gravelinois.

« Je pense qu’à la fin du match on a ressenti un manque de confiance. Nos derniers shoots à 3 points ont fait « gamelles » mais on a joué Monaco dans les yeux toute la rencontre. Si on met cette même intensité, on va en gagner des matchs. Désormais on sait qu’on peut jouer ce genre d’équipe dans les yeux. On est prêt mentalement pour aller gagner à Boulazac ! On a notre destin entre nos mains, à nous de jouer avec la même intensité. »

Et effectivement, si l’espoir renait, maintenant, il faut gagner pour ne pas s’enliser à la dernière place.

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