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Louis Labeyrie féru de philosophie

Dans un portrait intitulé « Labeyrie, le penseur », le journaliste Régis Schneider nous révèle dans les Dernières Nouvelles d’Alsace que l’intérieur de la SIG est féru de philosophie et que dans l’avion pour Madrid, il y a quinze jours, il a lu un livre de Gorgias, « un dialogue de Platon mettant au

Dans un portrait intitulé « Labeyrie, le penseur », le journaliste Régis Schneider nous révèle dans les Dernières Nouvelles d’Alsace que l’intérieur de la SIG est féru de philosophie et que dans l’avion pour Madrid, il y a quinze jours, il a lu un livre de Gorgias, « un dialogue de Platon mettant aux prises Gorgias, sophiste vivant de la rhétorique, et Socrate, pour qui elle n’est que l’art du mensonge.

Au pays des jeux vidéo, l’international est un être à part. On connaît son goût pour le bon vin et les cigares, on apprend qu’il a déjà lu Le Banquet de Platon, l’Apologie de Socrate et qu’il s’attaque à La République.

« S’il y avait une politique de l’Éducation nationale, j’instaurerais la philosophie dès le primaire. Pendant dix-huit ans de ta vie, tu as vécu dans la pesanteur du monde. Et quand, soudain, on te met certains trucs dans les yeux, un, tu risques de ne pas les voir et deux, ça peut être déroutant et tu t’en écartes encore plus. »

Photo: FIBA Europe

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