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En Direct avec Jeremy Nzeulie (Chalon) : « Au Partizan on nous avait jeté des trucs dessus »

Champion de France en titre avec l’Elan Chalon et champion de France en 2013, à la surprise générale, avec Nanterre, Jérémy Nzeulie (1,87m, 27 ans) fait partie des personnages attachants de la Jeep® ÉLITE. Il répond aujourd’hui aux questions du « En Direct ».

Champion de France en titre avec l’Elan Chalon et champion de France en 2013, à la surprise générale, avec Nanterre, Jérémy Nzeulie (1,87m, 27 ans) fait partie des personnages attachants de la Jeep® ÉLITE. Il répond aujourd’hui aux questions du « En Direct ».

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Votre premier match en pro :

Si mes souvenirs sont bons, je pense que c’était à Evreux (ndlr : 1 minute lors de la 9e journée de Pro B le 15 novembre 2008). J’ai complètement oublié, je me souviens juste d’une photo de moi avec Steve Soliman. On allait entrer sur le terrain au même moment. Mais je me souviens que c’était à Evreux. (Ndlr : il a en fait passé une minute sur le terrain en Pro A une journée plus tôt face à Limoges le 8 novembre 2008).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a beaucoup, mais celui qui m’a vraiment pas mal aidé c’est Gauthier Darrigand. A l’époque où j’étais avec lui à Bordeaux (ndlr : 2011/12) on m’a fait jouer meneur. Ce n’était pas du tout mon poste de prédilection donc j’avais vraiment beaucoup de mal. Lui, qui était poste 1, m’a donné beaucoup de conseils pour être le plus à l’aise possible sur ce poste-là. Beaucoup de joueurs que j’ai côtoyés dans ma carrière m’ont apporté quelque chose, mais je pense que c’est lui qui m’a apporté le plus.

Le meilleur joueur actuel de Pro A :

Zachery Peacock. Je pense qu’à l’heure actuelle il montre une certaine régularité que, je pense, on a n’a pas vu depuis très longtemps. Je regardais la dernière fois, dans son plus mauvais match il met quatorze points en 20 minutes. Le niveau qu’il a cette année est énorme.

Le coach qui vous a le plus marqué :

Je vais dire Pascal Donnadieu parce que c’est avec lui que j’ai passé le plus de temps. Même si j’apprends énormément avec Jean-Denys (Choulet), j’ai passé beaucoup d’années avec Pascal.

Le club dans lequel vous rêveriez de jouer :

Celui de LeBron James ! Qu’il soit à Cleveland, Miami ou Minnesota, peu importe ! (rires)

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

Celle du Partizan Belgrade, le Pionir. C’était chaud là-bas. Fenerbahce quand on avait poussé en fin de match, le public avait été bruyant, mais au Partizan ça a été chaud pendant tout le match, même avant. En plus ils nous ont jeté des trucs, c’était sympathique.

Le pire souvenir de joueur :

Notre défaite contre Boulazac cette année (ndlr : 89-87 au Colisée lors de la 14e journée de championnat).

Le meilleur souvenir de joueur :

Le titre de Champion de France 2013 avec Nanterre.

L’adversaire le plus coriace :

Je vais aller chercher en Euroleague… Je dirais Juan-Carlos Navarro.

Le joueur de plus drôle de l’équipe :

Jeremy Nzeulie !

Le plus râleur :

Khalid Boukichou.

Votre match référence en carrière :

Contre Dijon cette année (ndlr : 27 points, 6 rebonds et 5 passes décisives pour 33 d’évaluation).

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

Le in and out de O’Darien Bassett (rires). Je pense que peu de gens le connaissent, mais ça va parler immédiatement à ceux qui le connaissent !

Pourquoi le numéro 9 :

C’est mon numéro depuis que je suis tout petit. Même au foot je l’avais. A l’époque j’aimais bien Samuel Eto’o et le neuf c’est un numéro qui m’inspirait. J’ai toujours gardé le neuf depuis l’époque où j’étais au foot donc depuis mes six ou sept ans.

Votre meilleur pote dans le basket :

Je ne peux pas répondre à cette question. J’ai beaucoup d’amis très proches dans le basket donc je ne veux froisser personne. J’utilise mon joker.

Si vous deviez choisir quatre mecs pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

On va faire jouer Evan Fournier en 1, il a déjà joué meneur. Je serais donc au poste 2, en 3 je mets Christophe Léonard parce que c’est mon gars. Au poste 4 je mets Kevin Séraphin et Moustapha Fall au poste 5.

Principale occupation entre deux entraînements :

Pas grand-chose ! Même moi je me demande ce que je fais (rires) ! Je vois le temps passer mais je ne sais pas vraiment ce que je fais. Je ne regarde pas vraiment de séries, je ne regarde pas la télé, je ne joue pas vraiment à la console donc je traîne sur l’ordinateur. Des fois je prends des bains (rires).

La ville dans laquelle vous avez joué que vous préférez :

Bordeaux.

Si vous ne jouiez pas au basket :

Vigile… Non je rigole (rires) ! Je pense que j’aurais été dans le commerce, vendeur ou commercial. Un truc comme ça.

Après le basket :

Pour l’instant je n’en ai aucune idée. Tout dépendra de comment je vais gérer ma carrière. Pour l’instant c’est très, très flou.

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Votre premier match en pro :

Si mes souvenirs sont bons, je pense que c’était à Evreux (ndlr : 1 minute lors de la 9e journée de Pro B le 15 novembre 2008). J’ai complètement oublié, je me souviens juste d’une photo de moi avec Steve Soliman. On allait entrer sur le terrain au même moment. Mais je me souviens que c’était à Evreux. (Ndlr : il a en fait passé une minute sur le terrain en Pro A une journée plus tôt face à Limoges le 8 novembre 2008).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a beaucoup, mais celui qui m’a vraiment pas mal aidé c’est Gauthier Darrigand. A l’époque où j’étais avec lui à Bordeaux (ndlr : 2011/12) on m’a fait jouer meneur. Ce n’était pas du tout mon poste de prédilection donc j’avais vraiment beaucoup de mal.[/arm_restrict_content]

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Photo : Champions League

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