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Amine Noua dans Le Progrès: « J’ai eu très mal, très peur… »

Après Pierre Vincent, Walter Hodge, Nikola Dragovic et JD Jackson, l’ASVEL de Tony Parker a donc pris la décision de mettre à pied son meneur de jeu américain John Roberson qui n’a pas participé ainsi au match de dimanche face à Nanterre. A ce propos, Le Progrès laisse entendre que le joueur à qui i

Après Pierre Vincent, Walter Hodge, Nikola Dragovic et JD Jackson, l’ASVEL de Tony Parker a donc pris la décision de mettre à pied son meneur de jeu américain John Roberson qui n’a pas participé ainsi au match de dimanche face à Nanterre. A ce propos, Le Progrès laisse entendre que le joueur à qui il reste un an et demi de contrat ne sera pas licencié et devrait revenir prochainement en piste alors que les Villeurbannais luttent pour une qualification en playoffs.

Le Progrès a également donné la parole à Amine Noua suite à la polémique qui a suivi les deux lancers-francs qui lui ont été attribués au buzzer du match contre Nanterre et qu’il n’a pas tiré, Nicolas Lang se chargeant de la réparation.

L’intérieur de l’ASVEL se dit très triste que certains aient pu croire qu’il a délibérément laissé son équipier se charger de la mission, celui-ci étant un meilleur tireur de lancer que lui:

« Je suis vraiment très surpris que certains aient pu s’imaginer ça. C’est fou… Sur la dernière action, je saute, retombe et, après avoir fait quelques pas, je ressens une très vive douleur au pied, au même endroit (aponévrose plantaire) que pour la blessure qui m’a tenu écarté des terrains pendant un mois et demi. J’ai eu très mal, très peur, et à aucun moment je n’ai pensé aux lancers-francs ! Je n’ai absolument rien calculé, n’ai pensé qu’à une chose : quitter le terrain pour me faire soigner. J’étais tellement frustré, alors que j’ai été privé de l’équipe de France et de la Leaders Cup… »

Photo: ASVEL

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