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Coupe de France: Levallois fait respecter la hiérarchie face à Orléans, 75-71

On se doutait que Orléans donnerait du fil à retordre à Levallois car ce n’est pas une équipe de Pro B ordinaire. C’est le leader de la division avec un roster complet et quelques individualités rompues aux joutes de Jeep Elite. Les Metropolitans ont dû batailler jusqu’aux dernières secondes pour s’

On se doutait que Orléans donnerait du fil à retordre à Levallois car ce n’est pas une équipe de Pro B ordinaire. C’est le leader de la division avec un roster complet et quelques individualités rompues aux joutes de Jeep Elite. Les Metropolitans ont dû batailler jusqu’aux dernières secondes pour s’imposer, 75-71. Petr Cornelie a démontré qu’il est définitivement revenu aux affaires.

La première mi-temps donnait à l’OLB un scoreur majeur inattendu avec l’arrière Gaylor Curier (1,97m, 26 ans, 10 points) alors que l’adresse générale à trois-points était très correcte (7/15) avec l’inévitable Kyle McAlarney en pointe (3/5).

Incontestablement, le retour à la compétition de Petr Cornelie (il n’avait joué que 4 matches jusqu’à la 19e journée), plus intense que lors de sa dernière saison au Mans, apporte aux Metropolitans un bonus très appréciable, de part sa mobilité et sa faculté d’alterner jeu dans la peinture et shoots au large. Le Levalloisien (2,11m, 22 ans) a été constant sur la durée: 11 points en première mi-temps, 9 dans la seconde (à 9/12 aux shoots) plus 6 rebonds.

Pour ses retrouvailles avec la division d’élite, Marcellus Sommerville (8 saisons dans 8 clubs différents) était dans le dur (2 points, 4 d’évaluation) et toute l’équipe a subi dans le dernier quart-temps la pression défensive des Metropolitans. C’est pourquoi d’un match longtemps indécis, on est passé à un avantage chiffré de Levallois se situant autour de la dizaine de points. Pourtant, profitant d’une mauvaise gestion offensive de Levallois, l’OLB est revenu à 70-73 à 41 secondes du buzzer mais n’a pu profiter des dernières maladresses des Metropolitans.

Il ne faut pas toujours prendre les évaluations au pied de la lettre puisque celles de ce match indiquent un 95-64 en faveur de Levallois alors que la réalité du score est bien différente.

La boxscore est ici.

Photo: Cyrille Eliezer-Vanerot (Levallois), FFBB-Hervé Bellenger

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