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Changement de couleurs à l’ASVEL: « Les réactions me gênent car c’est LDLC qui se fait allumer, » déclare son PDG

Le site sportbuzzbusiness donne la parole à Laurent de la Clergerie, PDG et fondateur du groupe high tech LDLC qui a associé son nom à celui de l’ASVEL. Une société qui déclare environ 500 millions d’euros de chiffre d’affaires et qui compte un millier de salariés.

Le site sportbuzzbusiness donne la parole à Laurent de la Clergerie, PDG et fondateur du groupe high tech LDLC qui a associé son nom à celui de l’ASVEL. Une société qui déclare environ 500 millions d’euros de chiffre d’affaires et qui compte un millier de salariés.

Laurent de la Clergerie est bien entendu questionné sur le nouveau logo et l’abandon de la couleur verte, une décision qui a fait hurler non seulement nombre de supporters du club villeurbannais mais aussi des fans de basket de toute la France.

« 12 graphistes, tous rattachés à LDLC, ont proposé 35 créations différentes de logo. A partir de là, on a discuté avec Tony pour voir lequel on allait retenir… Les graphistes ont eu des contraintes à respecter fournies par les dirigeants de l’ASVEL comme la notion du 4, des lettres… Le « pas de vert » en faisait partie, ce n’est pas de nous, le brief était le leur, » explique t-il.

Le PDG de LDLC insiste sur le fait que changer de couleurs n’est pas sa propre décision mais celui du club :

« Les réactions me gênent car c’est LDLC qui se fait allumer… alors qu’en fait… Il y a des discussions en cours entre le club, les supporters, la Mairie… Le club essaie d’éteindre le feu représenté par les « super-fans ». Après, j’ai lâché une phrase maladroite sur le vert lors de la conférence de presse qui n’est pas fun, je n’aurais  jamais du dire ça… j’ai dit que le vert ne faisait pas rêver, mais c’était d’un point de vue marketing… On ne s’habille pas en vert. Mais évidemment qu’une équipe peut gagner en vert, il n’y a pas de soucis, mais je n’achèterai pas leur maillot (rires). »

Photo: ASVEL

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