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Règle des 14 secondes: Un pas vers l’unification FIBA-NBA

La NBA a décidé de trois nouvelles règles pour la saison 2018-19. Pourtant, la ligue la plus puissante du monde est en général très conservatrice pour ne pas trop perturber son « produit » qui se vend si bien. Le principal changement va dans le sens d’un rapprochement de tous les baskets. Une bonne

La NBA a décidé de trois nouvelles règles pour la saison 2018-19. Pourtant, la ligue la plus puissante du monde est en général très conservatrice pour ne pas trop perturber son « produit » qui se vend si bien. Le principal changement va dans le sens d’un rapprochement de tous les baskets. Une bonne nouvelle.

« Désormais, après un rebond offensif, nous ne remettrons plus que 14 secondes sur l’horloge, contrairement aux 24 secondes que nous remettions jusqu’à présent », expliqué Adam Silver, le commissionnaire de la NBA dans un communiqué sur les nouvelles règles pour la saison à venir*. « Il s’agit d’une règle qui existe dans le basket FIBA depuis plusieurs années maintenant, cela a été mis en place en WNBA et on l’a testé en G-League et on estime que cela va améliorer l’attractivité du jeu et le spectacle. »

Cette règle est en vigueur dans le basket FIBA depuis 2014. A terme, si d’autres petits pas comme celui-là pouvaient être effectués pour arriver au final à un règlement le plus commun possible entre tous les baskets de très haut niveau, ce serait une bonne nouvelle pour les fans et la compréhension du sport. La fédération internationale travaille dans ce sens à travers son « Rule Advisory Group » qui compte notamment parmi ses membres un représentant de la NBA, pour optimiser l’échange de connaissances et d’expériences.

En plus de ce changement principal, la NBA propose encore deux nouveautés. Le règlement apporte des précisions et une clarification sur la faute personnelle de type « clear path foul », une violation commise sur un joueur au cours d’une phase de transition avec une opportunité de marquer très nette (pas de défenseur entre le jouer et le panier). Et elle va également étendre sa définition de « l’acte hostile » qui permet de déclencher un recours au ralenti vidéo pour les arbitres.

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