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Guide Ligue Féminine 2018-19 – Lyon: L’an II de l’ASVEL

La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos. Ce dossier de présentation est publié avec cha

La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.

Ce dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.

Bonne lecture !

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Le club de la capitale des Gaules est tout spécialement exposé depuis que son président est Tony Parker, qui l’a associé à l’ASVEL, et qui lui a donné comme présidente déléguée, une femme, Marie-Sophie Obama. TP a décidé aussi l’un des coaches les plus réputés de la Ligue Féminine à rejoindre pour cinq ans le projet, Valéry Demory, qui était depuis dix ans à Montpellier qu’il a drivé deux fois au titre de champion de France. Après avoir épongé quelques dettes, l’actuel meneur de jeu des Charlotte Hornets a bâti un budget déjà conséquent et appelé à prendre encore plus de volume. En se qualifiant pour la demi-finale des playoffs et pour l’Eurocoupe, la fusée lyonnaise a atteint son premier objectif. Les expériences au palais des sports de Gerland ont attiré jusqu’à 6 000 spectateurs et prouvé qu’un potentiel populaire existe pour le basket féminin à Lyon.

La prochaine étape, c’est le top 3 national et une participation à l’Euroligue. Si le club n’a pas réussi à embaucher une internationale française de renom -espérée, Marine Johannès a préféré demeurer à Bourges-, il a recruté ce qu’il y a de mieux en France au niveau des étrangères avec la Canadienne Michelle Plouffe et la Brésilienne Clarissa Dos Santos, ex-Bourges et Charleville. « Je l’appelle mon petit pivot de Pro B. Un pivot de petite taille mais très mobile. Les objectifs sont élevées donc on ne peut pas se permettre de trop se tromper sur les étrangères », confie Valéry Demory. Avec l’Américaine Alysha Clark, solide joueuse d’Euroligue avec les Polonaises de Polkowice (15,3 points, 6,9 rebonds et 3,0 passes) et championne WNBA cet été avec le Seattle Storm (7,5 points, 3,4 rebonds en 26’, ce qui n’est pas rien), le coach lyonnais ne prend pas de risques. Tout comme il a choisi de faire venir auprès de lui Fati Sacko, le pendant au féminin de Florent Pietrus qu’il a déjà dirigé comme Ingrid Tanqueray à Montpellier. Lidija Turcinovic et plus encore la vice-championne du monde U17 Kendra Chery, un joueuse talentueuse et bosseuse, sont promis à un bel avenir. Au total, Valéry Demory dispose de six internationales de quatre pays différents, l’assurance d’avoir une équipe qui ne tremblera pas dans le money time.

Ingrid Tanqueray

Son coach qui l’a eu sous sa direction deux saisons à Montpellier avec un titre de champion de France à la clé en 2014, la surnomme affectueusement « Petit Lutin ». La Normande est une meneuse de taille réduite très vive avec une adresse diabolique dans les tirs à longue distance -jusqu’à 47,3% de réussite à trois-points lors de sa première année à Bourges. Elle a un gros vécu derrière elle y compris un championnat du monde avec les Bleues en 2014. Arrivée entre Saône et Rhône l’été dernier alors que Bourges lui proposait de prolonger son contrat, elle est devenue meneuse titulaire (8,9 points, 6,7 passes et 3,1 rebonds)mais a été victime d’une rupture du ligament croisé du genou droit en décembre. « Physiquement, elle est à 85% de ce qu’elle peut faire et c’est déjà bien. Elle a bien bossé. Elle est très sérieuse, très professionnelle. Elle est récompensée de son travail. Elle est déjà prête », rassure son coach.

Michelle Plouffe

Sœur jumelle de la Berruyère Katherine. Elle avait choisi d’effectuer sa formation à l’université d’Utah alors que Katherine était à Marquette et leur aînée Andrea à Washington. Sa première destination pour sa carrière professionnelle a été la France avec Arras puis Mondeville et enfin Tarbes où elle a accompli la saison dernière sa meilleure saison statistique en LFB avec 14 points, 10,6 rebonds pour 21,1 d’évaluation. Finaliste du championnat de France, elle a affronté Katherine en finale. L’internationale canadienne a été élue dans le meilleur cinq de la saison avant de disputer la Coupe du monde avec la sélection nationale, à laquelle Katherine n’a pas été cette fois conviée. Michelle avait déjà participé aux Jeux Olympiques de Londres à moins de 20 ans avant d’enchaîner avec ceux de Rio quatre ans plus tard. « C’est un poste 4-3. Une joueuse très intelligente, qui passe bien la balle, qui peut scorer à trois-points, qui joue bien sans ballon. Une joueuse complète », se félicite Valéry Demory.

L’effectif de Lyon est disponible ici.

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Le club de la capitale des Gaules est tout spécialement exposé depuis que son président est Tony Parker, qui l’a associé à l’ASVEL, et qui lui a donné comme présidente déléguée, une femme, Marie-Sophie Obama. TP a décidé aussi l’un des coaches les plus réputés de la Ligue Féminine à rejoindre pour cinq ans le projet, Valéry Demory, qui était depuis dix ans à Montpellier qu’il a drivé deux fois au titre de champion de France. Après avoir épongé quelques dettes, l’actuel meneur de jeu des Charlotte Hornets a bâti un budget déjà conséquent et appelé à prendre encore plus de volume. En se qualifiant pour la demi-finale des playoffs et pour l’Eurocoupe, la fusée lyonnaise a atteint son premier objectif. Les expériences au palais des sports de Gerland ont attiré jusqu’à 6 000 spectateurs et prouvé qu’un potentiel populaire existe pour le basket féminin à Lyon.

La prochaine étape, c’est le top 3 national et une participation à l’Euroligue. Si le club n’a pas réussi à embaucher une internationale française de renom -espérée, Marine Johannès a préféré demeurer à Bourges-, il a recruté ce qu’il y a de mieux en France au niveau des étrangères avec la Canadienne Michelle Plouffe et la Brésilienne Clarissa Dos Santos, ex-Bourges et Charleville. « Je l’appelle mon petit pivot de Pro B.

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Photos: Paôline Salagnac (FFBB, Hervé Bellenger) et Michelle Plouffe (FIBA)

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