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[REDIFF] Spécial Salaires – Boulazac: Le contrat gagnant-gagnant avec Nicolas De Jong

Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux. BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, é

Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.

BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici le Boulazac Basket Dordogne.

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Le contrat passé entre Nicolas De Jong et le BBD est gagnant-gagnant. Alors qu’il était à 81 000 euros, il y a deux ans à Châlons-Reims, soit le même niveau de revenu qu’à Cholet auparavant, le Franco-Néerlandais a séjourné une saison en Espagne, à Saragosse, et est revenu en France avec un salaire réévalué à 120 000 euros, ce qui semble davantage dans les prix du marché. Avec 13,5 points, l’international néerlandais était le marqueur français numéro 1 avec le CCRB et il est sensiblement en hausse avec 16,8 points en moyenne sur les 9 premiers matches, soit le 4e de Jeep Elite ((58,9% de réussite) et 5,1 rebonds en sus.

Boulazac a également fait un effort financier pour le meneur canadien Kenny Cherry payé au même tarif que Nicolas De Jong et qui lui aussi est efficace : 15,7 points avec 48,2% de réussite à trois-points. Des salaires légèrement plus élevés que celui de Darnell Jackson qui était à 110 000€ la saison dernière.

On est encore loin de la ligne d’arrivée mais ce duo meneur/pivot pourrait permettre au BBD d’éviter les désagréments de la saison dernière quand le club fut sauvé sur tapis vert suite à la non-qualification de Blois.

Comme on peut le constater, les autres salaires de l’équipe sont compacts, allant de 50 à 85 000€. Sa bonne saison à Hyères-Toulon avec une sélection au all-Star Game à la clé, vaut à l’arrière américain Raymond Cowels de faire un bond salarial, passant de 45 à 85 000€. A l’inverse, Jean-Frédéric Morency poursuit sa régression : 130 000 à Gravelines, 102 000 à Nanterre, 90 000€ à Limoges et donc 75 000 à Boulazac.

Et en regardant sa fiche de salaire et son rendement (2 d’évaluation en 4 matches), on comprend que le club n’ait pas été satisfait du rendement de l’arrière-ailier américain au passeport libérien, Lasan Kromah…

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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Le contrat passé entre Nicolas De Jong et le BBD est gagnant-gagnant. Alors qu’il était à 81 000 euros, il y a deux ans à Châlons-Reims, soit le même niveau de revenu qu’à Cholet auparavant, le Franco-Néerlandais a séjourné une saison en Espagne, à Saragosse, et est revenu en France avec un salaire réévalué à

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Photo: Nicolas De Jong (Linda Chasseriau, BBD)

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