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[REDIFF] Spécial Salaires – Pau: Le risque Jerrel Blassingame

Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux. BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, é

Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.

BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez.

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140 000 euros pour Jerrel Blassingame. C’était quand même un sacré pari. On n’oublie pas le CV du (petit) bonhomme, qui a notamment été champion de Pologne et de la Ligue Adriatique et qui a fait un bien fou à Antibes durant les mois où il a mené l’équipe. Il fut le top passeur de la Jeep Elite (7,5 assists) et capable de bien négocier les ballons brûlants. Mais le meneur américain est atteint d’un mal qui épargne personne : l’âge. Il vient d’avoir 37 ans. Patatras. Après quatre matches, Blassingame s’est retiré du jeu en raison de douleurs persistantes au genou et il va rejoindre son domicile… sur la Côte d’Azur afin de poursuivre sa remise en état au Centre européen de rééducation sportif de Saint-Raphaël. Son cas n’est pas sans rappeler celui de Louis Campbell, de deux ans son aîné, qui a été out lui aussi plusieurs semaines. L’Elan Béarnais a fait venir en pige Mickey McConnell et ne s’en plaint pas au point de le prolonger. Dit autrement : le retour de Jerrel Blassingame est-il souhaitable ?

A l’inverse, il apparait que l’Elan Béarnais a fait une bonne affaire avec l’international zimbabwéen Vitalis Chikoko qui a accepté cet été deux ans de contrat supplémentaires pour juste un rab de 20 000€  la saison. C’est un fort rebondeur (7,5) et il ne shoote qu’à coups sûrs (59,8% aux tirs).

A 35 ans -c’est donc la zone rouge pour un basketteur- Donta Smith aussi fait très bien le job (19,5 d’éval) mais à un tarif sensiblement supérieur pour l’international vénézuélien.

Comme beaucoup de clubs de la deuxième moitié de tableau, l’Elan investit peu dans les Français. Yannick Bokolo bénéficie d’un contrat longue durée. A son Zénith, il était payé 180 000 euros la saison à Gravelines (2012-13). Même si on lui reconnaît de solides qualités de défenseur, on remarque tout autant qu’il est tombé à 19,8% de réussite aux shoots pour 1,7 point. Aie, aie, aie !

Par ailleurs, le club profite actuellement à fond de l’épanouissement de Léopold Cavalière qui monte en puissance et qui représente bien le Sud-Ouest comme avant lui son directeur, Didier Gadou. Puisse les deux parties s’entendre pour le voir continuer dans la même place à long terme. Le basket français a besoin de figures locales.

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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140 000 euros pour Jerrel Blassingame. C’était quand même un sacré pari. On n’oublie pas le CV du (petit) bonhomme, qui a notamment été champion de Pologne et de la Ligue Adriatique et qui a fait un bien fou à Antibes durant les mois où il a mené l’équipe. Il fut le top passeur de la Jeep Elite (7,5 assists) et capable de bien négocier les ballons brûlants. Mais le meneur américain est atteint d’un mal qui épargne personne : l’âge. Il vient d’avoir 37 ans. Patatras.

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Photo: Jerrel Blassingame

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