Le championnat Espoirs a repris en même temps que la Jeep Élite, offrant après ses quatre premières journées un classement bien différent de celui des « grands ». Si les plus belles écoles du basket français figurent toujours parmi les prétendants au titre en fin de saison, quelques belles surprises s’immiscent dans cette ébauche de hiérarchie (le classement sera sans doute plus significatif dans 5 ou 6 journées). En outre, si certains joueurs confirment les attentes placées en eux, d’autres ont un rendement sans doute supérieur à ce que l’encadrement de leur club espérait.
Le championnat Espoirs a repris en même temps que la Jeep Élite, offrant après ses quatre premières journées un classement bien différent de celui des « grands ». Si les plus belles écoles du basket français figurent toujours parmi les prétendants au titre en fin de saison, quelques belles surprises s’immiscent dans cette ébauche de hiérarchie (le classement sera sans doute plus significatif dans 5 ou 6 journées). En outre, si certains joueurs confirment les attentes placées en eux, d’autres ont un rendement sans doute supérieur à ce que l’encadrement de leur club espérait.
Le point par club (dans l’ordre du classement au jour de l’écriture de cet article, le 19 octobre), avec un éclairage sur les joueurs majeurs de chaque équipe et ceux à suivre dans les mois qui viennent.
Dans cette deuxième partie, les six équipes classéees de la 7e à la 12e place du championnat Espoirs. La première partie est à retrouver ici et la dernière paraîtra demain.
LDLC Asvel (3 victoires-2 défaites)

Après un début de saison immaculé (trois victoires sur les trois premiers matchs), les Espoirs de Villeurbanne ont baissé pavillon face aux deux leaders du championnat, Cholet puis Dijon, dont une défaite de 20 points à domicile face aux tenants du titre maugeois. Plutôt à leur aise en défense (69,2 points encaissés, 4e défense du championnat), les jeunes pousses villeurbannaises ne manquent pas non plus d’allant en attaque, prenant la 5e place de ce classement (78,4 points). Bénéficiant d’un collectif assez huilé (17,2 passes par match, 6e) mais tout de même dispendieux (18,4 balles perdues, 4e meilleure moyenne), LDLC Asvel souffre en revanche d’une adresse très moyenne (42,1 %, 14e), notamment à trois-points : seul Gravelines-Dunkerque fait pire que ses 25,6 % dans le secteur. L’équipe est un peu sur courant alternatif, passant de prestations à 100 points marqués et plus à d’autres sous les 70 points. À défaut de sembler pouvoir jouer les tout premiers rôles, l’équipe devrait toutefois être dans la danse en ce qui concerne le Trophée du futur.
Les joueurs majeurs
Matthew Strazel (17 ans, 1,82m, poste 1)
Photo d’ouverture : JDA Dijon