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Tonye Jekiri (ASVEL, 18 points et 19 rebonds): « Nous n’avons pas joué un joli basket, mais une victoire est une victoire »

Voilà, c’est fait: l’ASVEL a remporté son premier succès à l’extérieur en Euroleague dans l’antre de l’Etoile Rouge de Belgrade pourtant poussée par 10 894 supporters et après une prolongation (72-74), grâce à une formidable ténacité, en y mettant tout son coeur.

Voilà, c’est fait: l’ASVEL a remporté son premier succès à l’extérieur en Euroleague dans l’antre de l’Etoile Rouge de Belgrade pourtant poussée par 10 894 supporters et après une prolongation (72-74), grâce à une formidable ténacité, en y mettant tout son coeur.

« C’était une grosse bagarre, les deux équipes voulaient vraiment cette victoire. Peut-être avons-nous eu de la chance à la fin », a commenté le coach villeurbannais Zvezdan Mitrovic. « Ils ont raté des lancers francs en prolongation. Mais je pense que nous le méritions bien, car mes gars se battent farouchement. Je tiens donc à féliciter mes gars, mais aussi l’Etoile Rouge pour un jeu absolument juste ce soir. Les fans et tout le monde a été vraiment génial; j’ai apprécié comme toujours d’être à Belgrade. Quand nous étions dans le dur, vous pensez comment faire pour mieux jouer, mais ce sont les joueurs qui décident. Nous avons parlé à la mi-temps à propos du fait que peut-être le moment était venu de franchir cette étape [pour une victoire à l’extérieur], et les gars ont vraiment fait preuve de caractère, de cœur et d’émotion. «
« Cela faisait longtemps que nous attendions cela et nous étions anxieux et avides de remporter une victoire sur la route. Cela fait du bien. Nous sommes une équipe complète. Tout le monde est allé avec du cœur et nous le méritions vraiment », a estimé pour sa part Livio Jean-Charles, qui a scoré 20 points ce soir.

Auteur de 18 points et 19 rebonds (!), Tonye Jekiri a été l’homme du match… Une fois de plus:

« Nous nous sentions bien. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas gagné sur la route. L’entraîneur nous a dit de croire que, dans la seconde moitié du match, si nous jouions ensemble et avions moins de moments faibles, nous pourrions gagner ce match. Nous n’avons pas joué un joli basket, mais une victoire est une victoire. Nous prenons celle-ci. «

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