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Spécial salaires – Pau-Lacq-Orthez : Ça ne marche pas à tous les coups…

BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Élite, équipe par équipe. Voici ceux de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez. Si ce n’est pas encore le cas, vous pouvez vous abonner pour moins de 14 centimes € par jour : ICI.

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Si ce n’est pas encore le cas, vous pouvez vous abonner pour moins de 14 centimes € par jour : ICI.

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Cela fait quelques années déjà que l’Élan Béarnais ne figure plus parmi les plus gros budgets du championnat, « masquant » des moyens limités par des recrutements judicieux et l’éclosion de pépites telles qu’Élie Okobo il y a deux saisons. Mais celui-ci est parti en NBA, ses successeurs issus du centre de formation se font attendre et les meilleures pioches étrangères de ces dernières saisons – Mickey McConnell, CJ Harris, Donta Smith et, surtout, Vitalis Chikoko – ont émigré vers des cieux plus rémunérateurs (excepté McConnell, retraité).

Cette saison, l’Élan Béarnais a vu sa masse salariale augmenter de près de 300 000 € par rapport à l’année passée, ce qui lui permet juste de se stabiliser au 12e rang en la matière en Jeep Élite. Mais si Pau-Lacq-Orthez avait « surperformé » la saison passée (5e place finale de saison régulière), ce n’est pas le cas aujourd’hui, le club figurant actuellement à la 10e place. À hauteur de sa masse salariale donc, mais de quoi être tout de même frustré.

Plusieurs phénomènes expliquent ce manque de résultats : la grave blessure de Nicolas De Jong, plus haut salaire du club (mais moins bien payé que Donta Smith la saison passée – il était à 180 000 €), remplacé par Ekene Ibekwe, au salaire plus modeste ; l’échec du recrutement sur les postes 1 et 2, Matt Mobley étant coupé après 6 matchs à 5,8 d’éval, Ronald Moore ne pesant guère à la mène (4,7 passes, 11,6 d’éval) et Tyrus McGee se montrant fort scoreur (15,3 points à 55,5 % aux tirs dont 42,6 % à trois-points) mais peu gestionnaire (2,5 passes pour presque autant de balles perdues, 2,3).

Comme parallèlement Travis Leslie ne justifie pas vraiment sa confortable augmentation par rapport à la saison passée à Boulazac (il était à 80 000 €) en produisant juste 10,9 points et 10,6 d’éval, que Cheikh Mbodj est un bon pivot remplaçant qui a loupé plusieurs matchs après avoir été agressé par Justin Carter, et que les joueurs français, au premier chef Petr Cornelie (+ 20 000 € par rapport au Mans, 9,3 d’éval) et Léopold Cavalière (8,0 d’éval) n’ont pas l’impact attendu, l’équipe n’avance pas vraiment. Avec en sus la valse des pigistes (Ousmane Drame et Vojdan Stojanovski) et l’arrivée peu concluante de Justin Dentmon (10,1 d’éval pour 13 000 € par mois…), on conçoit que l’Élan soit à cette position.

Si l’équipe trouve sa cohésion, elle devrait pouvoir se maintenir sans trop de souci. Mais elle ne doit pas négliger de regarder vers le bas du classement, la lutte pour éviter la relégation est serrée…

  • Travis LESLIE        USA   140 000 €
  • Nicolas DE JONG     FRA   140 000 €
  • Ronald MOORE         USA   120 000 €
  • Matt MOBLEY         USA   110 000 €
  • Petr CORNELIE         FRA   110 000 €
  • Cheikh MBODJ         SEN   110 000 €
  • Tyrus MCGEE         USA   108 000 € (sur 9 mois)
  • Justin DENTMON         USA   97 500 € (sur 7 mois et demi)
  • Digué DIAWARA        FRA   80 000 €
  • Léopold CAVALIERE    FRA   70 000 €
  • Ekene IBEKWE         NGA   63 000 € (sur 7 mois)
  • Yohan CHOUPAS        FRA   30 000 €
  • Thibault DAVAL-BRAQUET     FRA   30 000 €
  • Ousmane DRAME         GIN   7 000 € (sur 1 mois)
  • Coach: Laurent VILA  FRA  80 000 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

Photo : Justin Dentmon (EBPLO)

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Cela fait quelques années déjà que l’Élan Béarnais ne figure plus parmi les plus gros budgets du championnat, « masquant » des moyens limités par des recrutements judicieux et l’éclosion de pépites telles qu’Élie Okobo il y a deux saisons. Mais celui-ci est parti en NBA, ses successeurs issus du centre de formation se font attendre et les meilleures pioches étrangères de ces dernières saisons – Mickey McConnell, CJ Harris, Donta Smith et, surtout, Vitalis Chikoko – ont émigré vers des cieux plus rémunérateurs (excepté McConnell, retraité). Cette saison, l’Élan Béarnais a vu sa masse salariale augmenter de près de 300 000 € par rapport à l’année passée, ce qui lui permet juste de se stabiliser au 12e rang en la matière en Jeep Élite. Mais si Pau-Lacq-Orthez avait « surperformé » la saison passée (5e place finale de saison régulière), ce n’est pas le cas aujourd’hui, le club figurant actuellement à la 12e place. À hauteur de sa masse salariale donc, mais de quoi être tout de même frustré.

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