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Le chiffre: Gravelines, une neuvième défaite de rang

Le BCM Gravelines-Dunkerque a excellemment démarré le match possédant une dizaine de points d’avance mais force est restée finalement au cinquième de la Jeep Elite. Chris Horton (16 points, 15 rebonds) a emmené Cholet Basket vers un 11e succès très large (83-65).

Le BCM Gravelines-Dunkerque a excellemment démarré le match possédant une dizaine de points d’avance mais force est restée finalement au cinquième de la Jeep Elite. Chris Horton (16 points, 15 rebonds) a emmené Cholet Basket vers un 11e succès très large (83-65).

« C’est toujours compliqué de retrouver le rythme après une coupure de dix jours », notait le coach de CB Erman Kunter en conférence de presse. « On avait l’avantage de jouer à domicile. Le public a joué son rôle. Grâce à lui, il y a eu une étincelle. On a mis de l’intensité. C’est bien de gagner comme ça. Les matches contre Dijon et l’ASVEL, c’est le money-time. Ce soir, Ilkan (Karaman) (12 points en 8′) a changé le momentum. On a des shooteurs d’élite, avec Jalen (Riley) et Peter (Jok). L’objectif, en janvier, c’est de gagner encore deux matches sur trois. Contre Dijon et l’ASVEL, on sait ce qu’il faut faire. »

A aujourd’hui, la situation comptable du BCM n’est pas brillante avec une 16e place -synonyme de relégation. Les Nordistes n’ont pas gagné depuis le 9 novembre au Mans, soit 9 défaites de rang.

« On perd le match en première mi-temps », a estimé le coach Eric Bartecheky. « On savait que ce serait compliqué de venir ici. On manque de tête. C’est impératif d’accueillir des nouveaux joueurs. Tous les matches vont être importants. Tout est encore possible, il faut continuer à avancer. »

A entendre Pape Sy, tout le groupe maritime n’est pas à l’unisson:

« On est cohérents, par rapport à ce qu’on fait à l’entrainement. On savait où il fallait mettre la balle, on savait aussi qu’il fallait mettre du rythme. On l’a bien fait pendant le premier quart-temps, après on a déjoué. C’est frustrant, car on capables de rivaliser. Peut-être qu’on n’est pas assez conscients de notre situation. Tout le monde ne tire pas dans le même sens au même moment. On a beau parler pendant les entraînements, on a beau prendre des fessées comme ce soir, il faut une vraie réaction. Je n’accepte pas cette situation. On y arrivera quand on sera tous sur la même longueur d’onde. »

Photo: BCM

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