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[REDIFF] Spécial salaires – Chalon-sur-Saône : Une augmentation sans résultats…

BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Élite, équipe par équipe. Voici ceux de L’Elan Chalon-sur-Saône. Pour lire en intégralité notre dossier salaires, vous pouvez vous abonner ICI pour 5,99€/mois ou 49€/an..

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Champion de France 2016-17, l’Élan Chalon en a profité pour présenter une belle masse salariale en 2017-18 : 1,715 million d’euros (5e de Jeep Élite). Sans grand résultat sportif, la saison s’achevant sur une décevante 12e place. L’année suivante, réduction de voilure : la masse salariale n’était plus, en 2018-19, que de 1,539 million (10e de Jeep Élite), pour un résultat similaire au classement final (14e). Cette saison, le budget a refait un bond en avant, dépassant même celui d’il y a deux ans : 1,736 million. Soit la 9e masse salariale de la division. Pour quel résultat ? Pas mieux : Chalon-sur-Saône navigue actuellement en 13e position, avec une victoire d’avance seulement sur les premiers relégables.

Autant dire qu’on ne nage pas dans le bonheur en bord de Saône, d’autant que ni les joueurs déjà là l’an passé ni les recrues, sauf exception, ne donnent vraiment satisfaction. La plus grosse déception provient de Ronald Roberts, international dominicain qui ne reproduit pas en Bourgogne ses bonnes performances de la Coupe du monde de l’été passé. 7,1 d’évaluation en 18 minutes, cela fait cher du point pour le plus haut salaire du club. Et comme Justin Robinson, meneur auréolé du classement de meilleur passeur de Jeep Élite la saison passée, présente des stats très en retrait alors que son salaire n’a pas évolué (5,6 passes, 12,9 d’éval contre 8,2 passes et 17,2 d’éval), Chalon connaît une première partie de saison galère.

Deux joueurs donnent satisfaction, globalement : Jaron Johnson, qui gagne 40 000 € de plus par an que la saison passée à Levallois (14,6 points) et l’inaltérable Mike Gelabale, au salaire inchangé par rapport à l’année dernière et aux stats tout aussi régulières (de 13,0 à 13,2 d’éval). Un autre voit son rendement baisser, quasiment en parallèle à son salaire : la saison passée, Ousmane Camara coûtait 170 000 € et rapportait 11,0 d’éval ; cette année, pour 140 000 €, il est à 9,7 d’éval (mais, en 2017-18, pour 150 000 €, il était à 11,8).

Enfin, on notera que la « bleusaille » JFL (y compris Mathis Dossou-Yovo prêté à Évreux) pèse bien peu sur les comptes, tout comme sur les statistiques de l’Élan Chalon.

Mal parti, Chalon a déjà effectué plusieurs changements de joueurs et d’autres pourraient suivre (Roberts est menacé, notamment). Et même le coach Philippe Hervé pourrait entrer dans l’œil du cyclone si la situation ne se redresse pas…

  • Ronald ROBERTS DOM     180 000 €
  • Justin ROBINSON USA      160 000 €
  • Jaron JOHNSON USA         140 000 €
  • Ousmane CAMARA FRA   140 000 €
  • Mike GELABALE FRA        130 000 €
  • Marcus THORNTON USA   110 000 €
  • Myles HESSON GBR             96 000 € (sur 8 mois)
  • Jaka KLOBUCAR SLO           70 000 € (sur 7 mois)
  • Assane NDOYE FRA              60 000 €
  • Mathis DOSSOU-YOVO FRA  50 000 €
  • Etienne CA FRA                      40 000 €
  • Babacar NIASSE FRA            30 000 €
  • Coach : Philippe HERVE FRA 130 000 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

Photo: Justin Robinson (Élan Chalon)

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Champion de France 2016-17, l’Élan Chalon en a profité pour présenter une belle masse salariale en 2017-18 : 1,715 million d’euros (5e de Jeep Élite). Sans grand résultat sportif, la saison s’achevant sur une décevante 12e place. L’année suivante, réduction de voilure : la masse salariale n’était plus, en 2018-19, que de 1,539 million (10e de Jeep Élite), pour un résultat similaire au classement final (14e). Cette saison, le budget a refait un bon en avant, dépassant même celui d’il y a deux ans : 1,736 million. Soit la 9e masse salariale de la division. Pour quel résultat ? Pas mieux : Chalon-sur-Saône navigue actuellement en 13e position, avec une victoire d’avance seulement sur les premiers relégables.

Autant dire qu’on ne nage pas dans le bonheur en bord de Saône, d’autant que ni les joueurs déjà là l’an passé ni les recrues, sauf exception, ne donnent vraiment satisfaction. La plus grosse déception provient de Ronald Roberts, international dominicain qui ne reproduit pas en Bourgogne ses bonnes performances de la Coupe du monde de l’été passé.

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