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LFB: Emmanuel Body (La Roche Vendée): « Il n’y a pas le feu chez nous »

Eliminé de l’Eurocup par Besiktas suite à une défaite à domicile (73-82), Roche Vendée n’a pas non plus gagné en 2020 en Ligue Féminine concédant des défaites face à l’ASVEL (82-71), Nantes (82-75) et Villeneuve d’Ascq (90-81). Le programme de la soirée offre aux Vendéennes Bourges qu’elles avaient

Eliminé de l’Eurocup par Besiktas suite à une défaite à domicile (73-82), Roche Vendée n’a pas non plus gagné en 2020 en Ligue Féminine concédant des défaites face à l’ASVEL (82-71), Nantes (82-75) et Villeneuve d’Ascq (90-81). Le programme de la soirée offre aux Vendéennes Bourges qu’elles avaient surpris au Prado à l’aller (69-77) mais qui a actuellement le vent en poupe.

« On est capable de tout », analyse le coach Emmanuel Body pour Ouest France. « D’abord, ce qui est sûr, c’est qu’il n’y a pas le feu chez nous. C’est ce que l’on s’est dit avec les filles. On est à six victoires pour six défaites. Si on m’avait dit ça au début de la saison, j’aurai signé tout de suite. Il faut vraiment que les joueuses sentent, entre elles et avec nous, que tout le monde est dans le truc. Qu’il n’y en ait pas une ou deux qui commencent à tirer dans l’autre sens. C’est pour ça que mon groupe est vraiment bien, on sent que les filles restent vraiment solidaires par rapport à ça. Malgré les défaites, ça ne s’éparpille pas. Au contraire, ça reste soudé. Ça communique, ça essaye de trouver des petits automatismes, des petits trucs pour que ça se mette bien en place. Maintenant, il faut aller chercher du positif ailleurs. Quand tu es dans une série comme la nôtre (quatre défaites de rang), tu sais qu’il faut tout de suite inverser le truc. Que tu es n’importe quelle équipe à la maison, il faut que ça passe. Que ce soit le premier ou le dernier. »

Photo: Océane Monpierre (FIBA)

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