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Grèce : « L’État grec contre l’État de l’Olympiakos »

Il s’agit de volleyball mais cela concerne directement le basket et c’est l’un des nombreux épisodes de la guerre entre l’Olympiakos et le Panathinaikos.

Il s’agit de volleyball mais cela concerne directement le basket et c’est l’un des nombreux épisodes de la guerre entre l’Olympiakos et le Panathinaikos.

Dans un communiqué, le club du Pirée a informé le public et les institutions compétentes qu’il ne peut garantir le bon déroulement de la finale de la ligue si le président Dimitris Giannakopoulos -qui est aussi celui du basket- accompagne son équipe. Il l’invite donc à rester chez lui et garantie que son propre président fera de même lorsqu’il s’agira du match au Pana de la semaine prochaine.

A son tour, également dans un communiqué, le Panathinaikos est monté sur ses grands chevaux pour proclamer son indignation.

« Dans un État occidental moderne, en 2020, la police du Pirée et l’administration d’Olympiakos nous ont officiellement informés qu’ils ne pouvaient pas garantir l’intégrité physique du président du Panathinaikos Athletic Club, M. Dimitris Giannakopoulos, pour le match de Coupe de la Ligue avec l’Olympiakos dans le stade couvert.
L’État grec contre l’État de l’Olympiakos 2 (…) Avec ce que la police et le peuple olympique nous ont dit, nous comprenons que certains se préparent à la guerre et planifient des actes criminels contre notre président et la direction de l’équipe. Bien que cela doive être évident, nous soulignons que la plus haute priorité du Panathinaikos Athletic Club est de protéger la santé et l’intégrité physique de toute personne, qu’elle soit verte ou de toute autre couleur.
Pour cette raison, nous informons qu’aucun membre du Conseil d’administration du Panathinaikos Athletic Club ne sera présent lors du match de ce soir au Pirée (…)
Nous appelons le ministère de la Protection des citoyens, le ministère des Sports disparu et la police grecque à prouver qu’ils sont des institutions de l’État grec et non de l’État d’Olympie et à servir ce qu’ils devraient servir. «

Photo: Dimitris Giannakopoulos

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