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La place des U21 en Europe en 2019-20 : 15 ligues, trois coupes d’Europe, 741 joueurs de 40 nationalités

Photo d’ouverture : Usmane Garuba (n°16) – Real Madrid et Théo Maledon à droite (n°6) (photo : Euroleague) 15 ligues et trois coupes d’Europe, près de 750 joueurs de 40 nationalités… Ils ont 21 ans ou moins et évoluent au plus haut niveau en Europe. Mais quelles sont les ligues qui accordent le plus

Photo d’ouverture : Usmane Garuba (n°16) – Real Madrid et Théo Maledon à droite (n°6) (photo : Euroleague)

15 ligues et trois coupes d’Europe, près de 750 joueurs de 40 nationalités… Ils ont 21 ans ou moins et évoluent au plus haut niveau en Europe. Mais quelles sont les ligues qui accordent le plus de temps de jeu à ces U21 ? Et quels sont les joueurs les plus prometteurs ?

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La saison passée, entre le 14 mai et le 2 juin (à retrouver ICI), nous avions publié une importante étude en 18 actes sur le rôle que tenaient les joueurs de 21 ans et moins, les U21, dans les principales ligues professionnelles de basket en Europe.

En ces temps de confinement, nous avons décidé de réaliser la même étude pour la saison qui vient de s’achever dans la plupart des pays, en ajoutant quelques nouveautés.

Ainsi, notre étude s’est basée sur la compilation des statistiques de tous les U21 (nés en 1998 et après) des plus grands championnats nationaux européens : Allemagne, Belgique (qui ne figurait pas dans l’étude de l’an passé), Espagne, France, Grèce, Israël, Italie, Lituanie et Turquie. À ceux-ci, nous avons ajouté deux championnats « supra-nationaux », la Ligue Adriatique (qui regroupe les meilleurs clubs de la plupart des pays de l’ex-Yougoslavie) et la VTB League, qui oppose les plus forts clubs russes à d’autres de pays limitrophes, Pologne, Biélorussie ou Estonie.

Killian Hayes (Photo : Ratiopharm Ulm)

Pour aller plus loin, nous avons inclus à cette étude quatre championnats que l’on peut considérer comme de « deuxième division » afin de mesurer s’ils constituaient une passerelle avec leurs « premières divisions » : l’ABA2 (deuxième division de la Ligue Adriatique), championnats nationaux croate (auquel les grands clubs tels que le Cibona Zagreb ou Split participent) et serbe (les gros clubs locaux ne participent qu’aux play-offs) ainsi que SuperLeague russe, l’équivalent de notre Pro B. Enfin, nous avons recensé les U21 ayant foulé le parquet dans les trois plus importantes coupes d’Europe des clubs, Euroleague, Eurocup et Basketball Champions League (BCL).

438 U21 dans 11 ligues majeures

À l’arrivée, nous avons pu comptabiliser 741 joueurs U21 ayant joué au moins une seconde dans l’une ou plusieurs de ces compétitions (par exemple, un U21 du Cibona Zagreb peut avoir joué en championnat croate et en Ligue Adriatique, il n’est comptabilisé qu’une fois dans notre étude). 438 d’entre-eux ont évolué dans l’une ou l’autre des onze ligues majeures d’Europe, 282 en « deuxième division », alors que 21 joueurs ont évolué dans l’une des coupes d’Europe sans le faire dans leur championnat domestique ou en jouant dans une compétition exclue de cette étude (la République Tchèque, pour Nymburk, ou la Pologne, pour Gdynia, par exemple). Mais, sans tenir compte des « doublons », ils sont tout de même 145 U21 à avoir évolué au moins une seconde dans l’une ou l’autre de ces coupes d’Europe.

Yovel Zoosman (Maccabi Tel-Aviv) face à Cory Higgins (Barcelone) (Photo : Euroleague)

Cela étant, si ce chiffre de 741 joueurs semble élevé, il faut le relativiser : il concerne aussi bien le joueur déjà accompli qui évolue 30 minutes par match pour 12 ou 13 d’évaluation que le très jeune qui a passé en tout et pour tout une seconde sur un parquet de l’élite de son pays. C’est pourquoi nous nous sommes attachés à mesurer combien de U21 jouaient réellement dans leurs championnats respectifs. À partir d’un principe simple : sont retenus ceux qui ont participé à au moins un tiers des matchs de leur équipe et ont eu droit à plus de 5 minutes de temps de jeu moyen. Là, de 741, on passe à 328 joueurs ayant un véritable rôle (même mineur). Nous en avons dénombré 161 dans les grandes ligues et autant dans celles de « deuxième division », six n’ayant joué que dans une coupe d’Europe.

Les « bons » championnats pour les U21

Partant de là, quels sont les championnats qui font le plus jouer de U21 ? Les clubs qui leur donnent le plus leur chance ? Pour quel résultat (faire jouer des jeunes si le club est bon dernier n’a pas la même valeur que s’il se bat pour les playoffs…) ? Quels sont les meilleurs jeunes de ces championnats ?

Nous vous proposons une étude championnat par championnat, en commençant par les « grandes ligues » avant d’aborder les « deuxièmes divisions » puis les coupes d’Europe et de terminer sur une synthèse en trois parties. Au total, ce seront donc 21 articles que vous allez pouvoir découvrir dans les jours et semaines à venir sur les U21 d’Europe.

Avec, pour démarrer, ceux qui évoluent dans la BBL allemande.

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15 ligues et trois coupes d’Europe, près de 750 joueurs de 40 nationalités… Ils ont 21 ans ou moins et évoluent au plus haut niveau en Europe. Mais quelles sont les ligues qui accordent le plus de temps de jeu à ces U21 ? Et quels sont les joueurs les plus prometteurs ?

La saison passée, entre le 14 mai et le 2 juin (à retrouver ICI), nous avions publié une importante étude en 18 actes sur le rôle que tenaient les joueurs de 21 ans et moins, les U21, dans les principales ligues professionnelles de basket en Europe.

En ces temps de confinement, nous avons décidé de réaliser la même étude pour la saison qui vient de s’achever dans la plupart des pays, en ajoutant quelques nouveautés.

Ainsi, notre étude s’est basée sur la compilation des statistiques de tous les U21 (nés en 1998 et après) des plus grands championnats nationaux européens : Allemagne, Belgique (qui ne figurait pas dans l’étude de l’an passé), Espagne, France, Grèce, Israël, Italie, Lituanie et Turquie. À ceux-ci, nous avons ajouté deux championnats « supra-nationaux », la Ligue Adriatique (qui regroupe les meilleurs clubs de la plupart des pays de l’ex-Yougoslavie) et la VTB League, qui oppose les plus forts clubs russes à d’autres de pays limitrophes, Pologne, Biélorussie ou Estonie.

Killian Hayes (Photo : Ratiopharm Ulm)

Pour aller plus loin, nous avons inclus à cette étude quatre championnats que l’on peut considérer comme de « deuxième division » afin de mesurer s’ils constituaient une passerelle avec leurs « premières divisions » : l’ABA2 (deuxième division de la Ligue Adriatique), championnats nationaux croate (auquel les grands clubs tels que le Cibona Zagreb ou Split participent) et serbe (les gros clubs locaux ne participent qu’aux play-offs) ainsi que SuperLeague russe, l’équivalent de notre Pro B. Enfin, nous avons recensé les U21 ayant foulé le parquet dans les trois plus importantes coupes d’Europe des clubs, Euroleague, Eurocup et Basketball Champions League (BCL).

438 U21 dans 11 ligues majeures

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