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Le Top 10 des meilleurs Européens 2000 : ils regardent vers le haut

Photo d’ouverture : Carlos Alocen – Saragosse (Photo : FIBA Europe) Ils sont jeunes, même pas 20 ans pour une partie d’entre-eux, mais ils sont plein de promesses. Certains foulent déjà les parquets de NBA, d’autres sont encore à la fac aux États-Unis alors que les derniers font plus que montrer le

Photo d’ouverture : Carlos Alocen – Saragosse (Photo : FIBA Europe)

Ils sont jeunes, même pas 20 ans pour une partie d’entre-eux, mais ils sont plein de promesses. Certains foulent déjà les parquets de NBA, d’autres sont encore à la fac aux États-Unis alors que les derniers font plus que montrer le bout de leur nez dans de grands championnats européens. Les meilleurs Européens de la génération 2000 n’ont pas fini de faire parler d’eux.

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Contrairement à la génération 1999, la classe d’âge de 2000 ne comporte pas d’immense star du calibre de Luka Doncic. Ce qui n’empêche pas que la sélection que nous vous présentons ci-dessous ne manque pas de sel. Et surtout de basketteurs de grand talent. Avec, cocorico, un talent qui s’affirme déjà en NBA sous les couleurs de notre pays, Sekou Doumbouya. Deux autres joueurs, le Croate Luka Samanic et le Serbe Alen Smailagic, ont également fait leurs débuts – quelque peu hésitants – dans la grande ligue nord-américaine cette saison.

Ils sont accompagnés par des joueurs à différents niveaux de leur carrière, entre un Carlos Alocen déjà joueur important en Espagne à un Marko Pecarski qui bataille pour s’imposer en ligue serbe, en passant par des Joël Ayayi ou des Filip Petrusev qui dominent en NCAA. Rien de plus logique, à ces âges, que d’en être à des stades hétérogènes de son développement. Mais il semble évident que, sauf accident, tous ces joueurs figureront dans le haut du panier (facile…) du basket européen des années à venir.

Mert Akay (1,98 m, meneur, Turquie, Dynamic Belgrade)

Ses stats 2019-20 :

ABA 2 : 13 matchs, 18,3 minutes, 5,1 points, 2,6 rebonds, 4,2 passes, 4,2 d’évaluation

KLS (ligue serbe) : 17 matchs, 20,4 mn, 8,5 pts, 3,4 rbds, 5,5 pds, 11,4 d’éval

Mert Akay – Dynamic Belgrade (Photo : Ligue Adriatique)

Ce n’est pas le plus connu des joueurs de cette sélection, mais certainement pas l’un des moins prometteurs. Après s’être formé dans un petit club stambouliote, le meneur turc de grande taille a fait ses premières armes professionnelles avec le Darussafaka Istanbul, en 2018-19. Là, il a même eu l’opportunité d’effectuer ses premiers pas en Euroleague (7 matchs à 11,0 mn, 3,0 pts, 1,1 rbd et 1,6 pd de moyenne) et de s’aguerrir dans la difficile ligue turque. Pourtant responsabilisé par son club, il a quand même décidé à l’intersaison de le quitter (non sans provoquer la colère des dirigeants turcs) pour rejoindre le Dynamic Belgrade, club évoluant en deuxième division de la ligue Adriatique et en championnat serbe. Il y a montré lors de la saison de belles dispositions, notamment à la passe. En revanche, il n’a toujours pas réglé la mire (14,3 % à trois-points en ABA 2, 51,7 % aux lancers francs) et il perd toujours trop de ballons – 3,4 par match en ABA 2, 3,0 en KLS. En rectifiant ces problèmes, nul doute qu’il pourra se montrer à nouveau en Euroleague dans les saisons à venir.

Carlos Alocen (1,94 m, meneur, Espagne, Saragosse)

Ses stats 2019-20 :

ACB : 28 matchs, 20,3 mn, 7,3 pts, 2,5 rbds, 3,4 pds, 8,0 d’éval

BCL : 16 matchs, 23,3 mn, 7,0 pts, 3,4 rbds, 3,7 pds, 7,9 d’éval

Euro 2021 (qualifications) : 2 matchs, 21,9 mn, 4,0 pts, 1,5 rbd, 9,0 pds, 7,5 d’éval

Carlos Alocen – Saragosse (Photo : ACB)

En 2016-17 et 2017-18, le titre de Meilleur jeune de la Liga ACB a été décerné, sans grande surprise, à Luka Doncic. Depuis son départ pour la NBA, cette distinction est revenue par deux fois à Carlos Alocen, devant quand même Usman Garuba et Nenad Dimitrijevic cette saison. Voilà qui classe son joueur. Gros travailleur, le meneur qui n’a encore jamais évolué en dehors de sa ville natale s’acharne à progresser sur son point faible, l’adresse au tir. Avec succès, puisqu’il enregistre cette saison en ACB des pourcentages très corrects : 53,1 % à deux-points, 35,2 % à trois-points, 70,1 % aux lancers francs. Très mature pour son âge, il se distingue par ailleurs par sa très bonne vision du jeu et ses qualités de passeur (quand même 9,0 pds lors des qualifications à l’Euro 2021 avec la sélection espagnole !). De quoi faire de lui le meneur titulaire de Saragosse, équipe troisième de l’ACB avant l’interruption liée au coronavirus, tout de même ! Son jeu semble plus fait pour les joutes de l’Euroleague que pour celles de la NBA, ce qui devrait convenir à ce fan du Real Madrid…

Joël Ayayi ( 1,96 m, arrière, France, Gonzaga – NCAA)

Ses stats 2019-20 :

NCAA : 33 matchs, 29,4 mn, 10,6 pts, 6,3 rbds, 3,2 pds

Joël Ayayi – Gonzaga (Photo : Gonzaga)

Parti aux États-Unis en 2017 au sortir du Centre Fédéral, le Bordelais a connu un début de carrière universitaire difficile. Après une année sans jouer, « redshirt », sa saison de freshman dans l’une des plus cotées facs américaines n’a guère été concluante : 5,6 mn/match, 1,7 pt (à 27,3 % à trois-points et 28,6 % aux lancers francs !), 1,4 rbd, 0,5 pd. Autant dire que l’on n’en attendait pas forcément beaucoup pour sa saison junior. Que l’arrière commença du reste sur le banc, avant de finir dans la peau d’un titulaire. Il faut avouer que le joueur l’a mérité, haussant toutes ses statistiques, notemment en matière d’adresse : 48,3 % aux tirs, 34,5 % à trois-points, 82,5 % aux lancers francs, cela a quand même une autre allure ! Rapide, athlétique, jouant bien le pick & roll, lisant bien le jeu, il doit encore renforcer son physique et devenir plus régulier en défense. Mais il est déjà passé de « quantité négligeable » à potentiel joueur de NBA. Du reste, il s’est déclaré à la draft de cette saison, même si son objectif premier reste de faire une année supplémentaire en NCAA et de continuer sa progression. Mais si une franchise NBA s’intéresse à ses talents…

Sekou Doumbouya (2,06 m, ailier/ailier-fort, France, Detroit Pistons)

Ses stats 2019-20 :

NBA : 38 matchs, 19,8 mn, 6,4 pts, 3,1 pts, 0,5 pd

Sekou Doumbouya – Detroit Pistons (Photo : NBA)

Un immense potentiel (Lamine Kebe, entraîneur des équipes de France U17 et U18, déclare « S’il continue à mûrir, il sera le futur grand joueur français, peut-être même dans le monde. ») mais un quotidien pas toujours à la hauteur de ces promesses, c’est ainsi que l’on pourrait résumer le joueur arrivé en France à 1 an avec sa famille de sa Guinée natale. Côté potentiel, ses 10,6 pts en NM1 avec le Centre Fédéral en 2015-16 ou ses 17,8 pts à l’Euro U18 la même année (à 16 ans, donc) en disent beaucoup, de même les 8 matchs produits en janvier avec les Pistons à 14 points de moyenne. D’un autre côté, sa nonchalance, sa capacité à sortir des matchs, son comportement parfois erratique (Lamine Kebe précise : « Il ne fait pas de grosses bêtises, mais au Pôle France, il a fait toutes les petites ! ») irritent. Globalement, l’hyper-athlétique ailier a tout pour exploser au plus haut niveau, pour peu qu’il travaille sur ses fondamentaux et, surtout, qu’il mûrisse dans sa tête.

Dalibor Ilic (2,06 m, ailier, Bosnie/Serbie, Igokea)

Ses stats 2019-20 :

ABA : 20 matchs, 22,9 mn, 8,3 pts, 5,9 rbds, 1,0 pd, 10,1 d’éval

BIH Liga (Bosnie) : 15 matchs, 25,7 mn, 11,2 pts, 9,1 rbds, 2,1 pd

Euro 2021 (qualifications) : 2 matchs, 4,9 mn, 2,0 pts, 2,0 rbds, 0 pd, 3,5 d’éval

Dalibor Ilic – Igokea (Photo : Ligue Adriatique)

Jouant depuis 2015 avec le club bosnien d’Ikogea Aleksandrovac, le natif de Visograd (Bosnie-Herzégovine) a connu une progression linéaire sur ces saisons, devenant même un joueur majeur du club dans la forte ligue qu’est l’ABA (ou Ligue Adriatique, qui regroupe les meilleurs clubs de l’ex-Yougoslavie). Capable d’évoluer sur les postes 3 et 4, le Serbe (par ses parents) est considéré dans son pays comme l’un des principaux prospects de cette génération, grâce à ses qualités athlétiques, son sens du rebond et son potentiel global. Mais, pour viser la NBA, il va lui falloir s’améliorer en défense et au tir lointain, lui qui n’a tourné qu’à 21,6 % à trois-points cette saison.

Rokas Jokubaitis (1,93 m, meneur, Lituanie, Zalgiris Kaunas)

Ses stats 2019-20 :

LKL (Lituanie) : 19 matchs, 17,1 mn, 7,4 pts, 2,1 rbds, 2,6 pds, 8,8 d’éval

Euroleague : 10 matchs, 6,3 mn, 2,2 pts, 0,5 rbd, 1,3 pd, 2,0 d’éval

Euro 2021 (qualifications) : 1 match, 22,6 mn, 7 pts, 3 rbds, 6 pds, 8 d’éval

Rokas Jokubaitis – Zalgiris Kaunas (Photo : Euroleague)

À 19 ans, Rokas Jokubaitis a déjà deux campagnes d’Euroleague à son actif (12 matchs, 2,6 pts, 0,5 rbd, 0,5 pd en 2018-19), preuve s’il en est que son entraîneur, l’immense Sarunas Jasikevicius, le prend en considération. Une confiance que le natif de Mazeikiai rend bien à son coach, progressant d’année en année, en se montrant de plus en plus adroit : 54,2 % aux tirs et 45,7 % à trois-points cette saison en LKL. Très combatif, intelligent, talentueux, doté d’une bonne vision du jeu et d’une belle créativité, le tout récent international lituanien senior manque cependant de qualités athlétiques, ce qui ne lui permet que rarement de créer son propre shoot, lui qui excelle dans le catch & shoot et dans le tir en sortie d’écran. Ces limites physiques risquent de lui fermer les portes de la NBA, mais il a tout pour devenir un très fort joueur d’Euroleague.

Marko Pecarski (2,08 m, pivot, Serbie, FMP Belgrade)

Ses stats 2019-20 :

ABA : 20 matchs, 8,9 mn, 4,4 pts, 2,8 rbds, 0,3 pd, 4,6 d’éval

Marko Pecarski – FMP Belgrade (Photo : FIBA)

Le natif de Gijon en Espagne, où son père jouait professionnellement au basket, est quelque part une énigme. Un garçon à l’indéniable talent offensif, capable de tout dévaster dans les compétitions de jeunes (24,7 pts et 11,0 rebonds à l’Euro U18 2018, 22,1 pts et 8,6 rbs au Mondial U19 2019, 18,0 pts et 8,2 rbds à l’Euro U20 2019), mais aussi un pivot pas très athlétique et manquant de concentration en défense qui peine à passer le cap du basket adulte. Formé à Zemun puis passé par le Mega Bemax, le Bayern Munich et le Partizan Belgrade, il a quitté à la dernière intersaison ce dernier club en se plaignant du peu de temps de jeu qu’on lui accordait (6,8 mn en Ligue Adriatique). Mais, passé au club voisin du FMP, a priori d’un standing un peu moindre, on ne peut pas dire qu’il ait pour autant fait beaucoup mieux, ne grappillant que 2 mn de jeu supplémentaires. Il semblerait que le problème se situe dans la tête, le joueur ayant du mal à se faire violence quand les choses ne se passent pas comme prévu. S’il passe un cap à ce niveau, Marko Pecarski dispose d’un potentiel lui permettant d’envisager une belle carrière en Europe. À voir s’il y parviendra.

Filip Petrusev (2,11 m, ailier-fort/pivot, Serbie, Gonzaga – NCAA)

Ses stats 2019-20 :

NCAA : 33 matchs, 25,9 mn, 17,5 pts, 8,0 rbds, 1,5 pd

Filip Petrusev – Gonzaga (Photo : Gonzaga)

Passé dans ses jeunes années – jusqu’en 2016 – par les écoles de l’Étoile Rouge et du Partizan, le natif de Belgrade a ensuite pris son baluchon pour d’abord le centre de formation de Vitoria puis les high school d’Avon Old Farms (Connecticut) et de Montverde (Floride) avant de signer en NCAA pour la fac de Gonzaga, où il a joué cette saison avec Joël Ayayi et Killian Tillie. Élément majeur de l’équipe universitaire après une première saison moyenne (6,5 points et 2,7 rbds en 11,4 mn), le pivot a aussi marqué de son empreinte les dernières compétitions de jeunes auxquelles il a participé : 21,0 pts et 8,7 rbds à l’Euro U18 2018, 19,3 pts et 10,1 rbds au Mondial U19 2019. À ces occasions, il formait un duo d’intérieurs inarrêtable avec Marko Pecarski. Mobile mais manquant de vivacité, technique mais parfois dispendieux (2,1 balles perdues cette saison), capable de marquer dans toutes les positions poste bas mais ayant du mal à s’écarter (18,2 % à trois-points cette saison), celui qui a été nommé dans le deuxième cinq « All America » de la saison a présenté son nom à la draft NBA de cette année. Mais les prévisions le placent à la fin du deuxième tour au mieux. Il devrait retirer son nom de la liste des prétendants pour passer une année de plus à Gonzaga et travailler à se forger un véritable point fort lui permettant d’attirer le regard des scouts NBA.

Luka Samanic (2,08 m, ailier-fort, Croatie, San Antonio Spurs)

Ses stats 2019-20 :

NBA : 1 match, 12 mn, 0 pt, 2 rbds, 3 pds

G-League (Austin Spurs) : 33 matchs, 28,4 mn, 15,2 pts, 7,8 rbds, 1,8 pd

Luka Samanic – San Antonio Spurs (Photo : FIBA)

Parti de Zagreb à Barcelone à 16 ans, le fils du basketteur professionnel Marko Samanic a passé deux saisons en Catalogne avant de rejoindre l’Olimpija Ljubljana (Slovénie), où il a montré de belles dispositions, en témoignent ses 8,2 pts et 5,0 rbds en BCL. Drafté en 19e position par les San Antonio Spurs en 2019, le Croate a rejoint le Texas pour une première saison mitigée. S’il a su se montrer convaincant en G-League avec le club satellite des Austin Spurs, cela n’a pas suffi à ce que Greg Popovich lui accorde plus d’une occasion de s’exprimer sur les parquets de NBA, avec une réussite très moyenne (0/4 aux tirs). Le principal problème du joueur semble se situer dans un manque endémique de régularité ainsi que dans un manque de coffre lui rendant la défense d’opposants plus physiques très problématique. À l’opposé, son grand talent offensif, sa mobilité, sa panoplie de mouvements en font un prospect qui reste à modeler mais qui peut devenir un très bon joueur NBA s’il franchit un cap en matière de physique et d’adresse au tir.

Alen Smailagic (2,08 m, ailier-fort, Serbie, Golden State Warriors)

Ses stats 2019-20 :

NBA : 14 matchs, 9,9 mn, 4,2 pts, 1,9 rbd, 0,9 pd

G-League (Santa Cruz Warriors) : 19 matchs, 25,9 mn, 15,2 pts, 6,1 rbds, 1,4 pd

Alen Smailagic – Golden State Warriors (Photo : NBA)

Formé au club de Beko à Belgrade (qui évolue en 3e division serbe), le Serbe est parti à l’intersaison 2018 en G-League, aux Santa Cruz Warriors, afin d’y montrer ses talents et de se faire drafter. Opération réussie après une saison à 9,1 pts et 4,0 rbds, les New Orleans Pelicans le choisissaient en 39e position avant d’immédiatement le transférer aux… Golden State Warriors. Là, il fait ses premiers pas, relativement timides, en NBA tout en démontrant de beaux progrès en G-League. Pari sur l’avenir pour les Warriors, Alen Smailagic est un joueur polyvalent, technique, doté d’une bonne vision du jeu mais manquant de vécu, de physique et de constance défensive. Il aura sans doute encore une saison pour travailler sur ses points faibles, mais il va devoir progresser rapidement.

Ils méritent aussi l’attention

Henri Drell (2,04 m, arrière/ailier, Estonie, Pesaro)

Ses stats 2019-20 :

Serie A (Italie) : 19 matchs, 17,1 mn, 4,8 pts, 2,1 rbds, 1,1 pd, 3,5 d’éval

Euro 2021 (qualifications) : 2 matchs, 12,9 mn, 5,5 pts, 2,0 rbds, 0,5 pd, 5,0 d’éval

Kenan Kamenjas (2,08 m, pivot, Bosnie-Herzégovine, Sarajevo)

Ses stats 2019-20 :

ABA 2 : 22 matchs, 29,3 mn, 13,5 pts, 9,4 rbds, 1,7 pd, 19,0 d’éval

BIH Liga (Bosnie) : 18 matchs, 23,8 mn, 11,4 pts, 7,3 rbds, 0,9 pd

Kenan Kamenjas – Sarajevo (Photo : ABA)

Arturs Kurucs (1,91 m, arrière, Lettonie, VEF Riga)

Ses stats 2019-20 :

ELBL (Estonie/Lettonie) : 25 m, 26,2 mn, 14,4 pts, 3,1 rbds, 3,0 pds, 13,9 d’éval

BCL : 14 matchs, 30,3 mn, 10,6 pts, 3,2 rbds, 1,6 pd, 7,9 d’éval

ACB (Espagne, Vitoria) : 1 match, 15,2 mn, 6 pts, 0 rbd, 2 pds, 8 d’éval

Yam Madar (1,90 m, meneur, Israël, Hapoel Tel-Aviv)

Ses stats 2019-20 :

Winner League (Israël) : 25 matchs, 22,4 mn, 8,2 pts, 2,4 rbds, 3,2 pds, 8,5 d’éval

Yam Madar – Hapoel Tel-Aviv (Photo : FIBA)

Jonas Mattisseck (1,92 m, meneur, Allemagne, Alba Berlin)

Ses stats 2019-20 :

BBL (Allemagne) : 29 matchs, 16,3 mn, 4,8 pts, 0,9 rbd, 1,2 pd, 5,9 d’éval

Euroleague : 28 matchs, 13,4 mn, 2,7 pts, 1,0 rbd, 0,8 pd, 1,8 d’éval

Nikita Mikhailovskii (2,01 m, arrière, Russie, Avtador Saratov)

Ses stats 2019-20 :

VTB League : 18 matchs, 18,4 mn, 6,4 pts, 2,0 rbds, 1,4 pd, 6,1 d’éval

Ville Tahvanainen (1,93 m, arrière, Finlande, Bradley – NCAA)

Ses stats 2019-20 :

NCAA : 33 matchs, 20,0 mn, 6,6 pts, 2,5 rbds, 1,0 pd

Euro U18 2018 : 6 matchs, 30,4 mn, 22,3 pts, 4,3 rbds, 4,3 pds

Uros Trifunovic (2,01 m, ailier, Serbie, Partizan/Mega Bemax)

Ses stats 2019-20 :

ABA (Partizan et Mega Bemax) : 10 matchs, 14,5 mn, 4,6 pts, 1,5 rbd, 0,4 pd, 1,1 d’éval

Eurocup (Partizan) : 9 matchs, 13,1 mn, 5,4 pts, 1,7 rbd, 0,8 pd, 5,6 d’éval

Uros Trifunovic – Partizan/Mega Bemax (Photo : Eurocup)

Demain, la génération 2001

Pour retrouver l’introduction de ce dossier, c’est ICI

Pour retrouver les 1998, c’est ICI

Pour retrouver les 1999, c’est ICI

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Contrairement à la génération 1999, la classe d’âge de 2000 ne comporte pas d’immense star du calibre de Luka Doncic. Ce qui n’empêche pas que la sélection que nous vous présentons ci-dessous ne manque pas de sel. Et surtout de basketteurs de grand talent. Avec, cocorico, un talent qui s’affirme déjà en NBA sous les couleurs de notre pays, Sekou Doumbouya. Deux autres joueurs, le Croate Luka Samanic et le Serbe Alen Smailagic, ont également fait leurs débuts – quelque peu hésitants – dans la grande ligue nord-américaine cette saison.

Ils sont accompagnés par des joueurs à différents niveaux de leur carrière, entre un Carlos Alocen déjà joueur important en Espagne à un Marko Pecarski qui bataille pour s’imposer en ligue serbe, en passant par des Joël Ayayi ou des Filip Petrusev qui dominent en NCAA. Rien de plus logique, à ces âges, que d’en être à des stades hétérogènes de son développement. Mais il semble évident que, sauf accident, tous ces joueurs figureront dans le haut du panier (facile…) du basket européen des années à venir.

Mert Akay (1,98 m, meneur, Turquie, Dynamic Belgrade)

Ses stats 2019-20 :

ABA 2 : 13 matchs, 18,3 minutes, 5,1 points, 2,6 rebonds, 4,2 passes, 4,2 d’évaluation

KLS (ligue serbe) : 17 matchs, 20,4 mn, 8,5 pts, 3,4 rbds, 5,5 pds, 11,4 d’éval

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