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Spécial salaires – Le Mans : Scott Bamforth, Ovie Soko et Williams Narace, les bonnes pioches

Photo d’ouverture : Scott Bamforth (Photo : MSB – Dominique Breugnot) Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du Mans Sarthe Basket. Comme chaque année, ce dossi

Photo d’ouverture : Scott Bamforth (Photo : MSB – Dominique Breugnot)

Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du Mans Sarthe Basket.

Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.

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Bon an mal an, Le Mans Sarthe Basket fait le dos rond, réduisant la voilure pour traverser la crise : de 1 852 000 € en 2019-20, sa masse salariale est descendue à 1 605 500 €, soit la 8e de Jeep Élite. Une place qui est également celle du MSB au classement du championnat, même si le bilan de 3 victoires pour 3 défaites du club n’est guère significatif au vu des reports de matchs et cas positifs.

Si, la saison passée, le MSB avait « cassé sa tirelire » pour un pivot, Cliff Alexander (payé 200 000 €) qui n’a pas emballé les foules sarthoises (11,0 d’évaluation), le club est resté plus « raisonnable » cette saison dans son recrutement, tout en « profitant » de la crise causée par le coronavirus pour réaliser de bonnes affaires. Ainsi, Scott Bamforth n’a pas caché que la sécurité financière en France avait contribué à sa signature dans la Sarthe pour un salaire plutôt modeste au vu de son CV (quatre saisons en Espagne dont une place de 4e marqueur en 2017). De même, Ovie Soko n’est finalement pas bien cher pour un garçon qui a passé lui aussi plusieurs saisons en première division espagnole. En outre, en plus d’avoir signé pour des montants raisonnables, les deux joueurs sont des plus rentables : 15,8 d’évaluation pour l’arrière américano-kosovar, 18,0 pour l’intérieur anglais.

Williams Narace (Photo : MSB – Dominique Breugnot)

De son côté, « KKK », alias le meneur canadien Kaza Kajami-Keane, chargé de remplacer un Brandon Taylor qui aura laissé de bons souvenirs dans la Sarthe (17,8 d’éval la saison passée), ne fait pas oublier son prédécesseur (10,7 d’éval) mais il n’est pas exactement au même tarif : 80 000 € contre 140 000 € pour Taylor. Vitto Brown et « Iggy » Mockevicius montrent par ailleurs, avec « KKK », que le MSB n’a pas investi que sur ses étrangers, misant aussi beaucoup sur son fidèle trident composé de Valentin Bigote, Antoine Eïto et Terry Tarpey, les deux derniers ayant été augmentés de 10 000 €. Sans toucher des sommes folles, ils assurent sur le terrain (14,6 cette saison pour Tarpey !) et dans les vestiaires. Pour le reste, si Alain Koffi n’a pas encore récupéré sa santé et si Mockevicius est toujours en phase d’adaptation au jeu pratiqué en France, Le Mans ne peut que se féliciter d’avoir chipé Williams Narace à Nancy (Pro B). Pour un tout petit salaire (72 000 €), le Franco-Camerounais montre qu’il a toute sa place en Jeep Élite et continue de progresser (10,0 d’éval).

  • Scott BAMFORTH (KOS/USA) : 175 000 €
  • Ovie SOKO (ANG) : 160 000 €
  • Valentin BIGOTE (FRA) : 140 000 €
  • Antoine EITO (FRA) : 130 000 €
  • Terry TARPEY (FRA/USA) : 110 000 €
  • Egidijus MOCKEVICIUS (LTU) : 110 000 €
  • Kaza KAJAMI-KEANE (CAN) : 80 000 €
  • Alain KOFFI (FRA) : 78 000 €
  • Vitto BROWN (USA) : 75 000 €
  • William NARACE (FRA) : 72 000 €
  • Kenny BAPTISTE (FRA) : 30 000 €

Coach / Assistant :

  • Elric DELORD (FRA) : 85 000 €
  • Antoine MATHIEU (FRA) : 26 500 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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Bon an mal an, Le Mans Sarthe Basket fait le dos rond, réduisant la voilure pour traverser la crise : de 1 852 000 € en 2019-20, sa masse salariale est descendue à 1 605 500 €, soit la 8e de Jeep Élite. Une place qui est également celle du MSB au classement du championnat, même si le bilan de 3 victoires pour 3 défaites du club n’est guère significatif au vu des reports de matchs et cas positifs.

Si, la saison passée, le MSB avait « cassé sa tirelire » pour un pivot, Cliff Alexander (payé 200 000 €) qui n’a pas emballé les foules sarthoises (11,0 d’évaluation), le club est resté plus « raisonnable » cette saison dans son recrutement,

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