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Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – Les dix plus hauts salaires non-JFL : Vitalis Chikoko en pleine embellie

Photo d’ouverture : Vitalis Chikoko – Boulogne-Levallois (Photo : Metropolitans 92) À partir d’aujourd’hui, équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Après le Top10 des salaires « all around », voici le Top10 des salaires

Photo d’ouverture : Vitalis Chikoko – Boulogne-Levallois (Photo : Metropolitans 92)

À partir d’aujourd’hui, équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Après le Top10 des salaires « all around », voici le Top10 des salaires des joueurs français.

Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.

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C’est un fort renversement de tendance : les plus hauts salaires de la Jeep Élite sont désormais versés à des joueurs français plutôt qu’à des non-JFL. Il faut remonter à 2014-15, époque où des Léo Westermann, Amara Sy, Antoine Diot, Charles Kahudi, Edwin Jackson, Adrien Moerman brillaient de mille feux en France avant, pour certains (Westermann, Diot, Moerman, Jackson), d’aller exporter leur talent dans des championnats plus rémunérateurs, pour retrouver pareille balance en faveur des Français. Ainsi, Vitalis Chikoko ne figure cette saison qu’en 4e position dans le Top10 des salaires toutes nationalités confondues alors qu’il est le mieux payé des non-JFL avec ses 270 000 € (rappelons qu’il a démarré en France à 100 000 € à Pau-Lacq-Orthez en 2016-17 !).

En outre, l’on s’aperçoit que peu de clubs misent beaucoup d’argent sur des non-JFL, les salaires semblant plutôt s’orienter à la baisse. Ainsi, le 10e non-JFL le mieux payé de Jeep Élite touche cette saison 180 000 €, contre 200 000 € la saison passée et 230 000 € la précédente ! Il faut en fait remonter à 2014-15 pour retrouver un dixième moins bien rémunéré (150 000 € pour 8 joueurs ex-aequo). En moyenne, le Top10 non-JFL de cette saison est payé 205 000 €.

Alen Omic – JL Bourg (Photo : JL Bourg – Jacky Cormarèche)

Si Lyon-Villeurbanne truste les premières places du Top10 des salaires accordés à des joueurs français, il n’en va pas de même pour les non-JFL, « seuls » trois joueurs de l’Asvel apparaissant dans notre liste. En revanche, la JL Bourg est bien représentée, avec quatre de ses joueurs. Et il aurait dû y figurer un cinquième si Kadeem Allen (signé pour 200 000 € la saison) n’avait décidé de rester aux États-Unis lors des fêtes de fin d’année.

Sept clubs (huit si l’on inclut Cholet pour Chris Horton) figurent dans notre Top10 des non-JFL, signe qu’une bonne part d’entre eux ont massivement investi dans un joueur de niveau supérieur pour booster leur effectif. On pense par exemple à Bonzie Colson à Strasbourg ou à Chris Horton à Gravelines-Dunkerque, même si le résultat n’a pas été à la hauteur des espérances du staff du BCM (Chris Horton est reparti à Cholet fin 2020).

  • Vitalis CHIKOKO (Boulogne-Levallois, Zimbabwe) : 270 000 €
  • Norris COLE (Lyon-Villeurbanne, USA) : 250 000 €
  • Dee BOST (Monaco, USA-Bulgarie) : 210 000 €
  • Alen OMIC (Bourg-en-Bresse, Slovénie) : 200 000 €
  • Zachery PEACOCK (Bourg-en-Bresse, USA) : 200 000 €
  • David HOLSTON (Dijon, USA) : 190 000 €
  • Chris HORTON (Gravelines-Dunkerque/Cholet, USA) : 190 000 €
  • Bonzie COLSON (Strasbourg, USA) : 180 000 €
  • Allerik FREEMAN (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €
  • David LIGHTY (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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C’est un fort renversement de tendance : les plus hauts salaires de la Jeep Élite sont désormais versés à des joueurs français plutôt qu’à des non-JFL. Il faut remonter à 2014-15, époque où des Léo Westermann, Amara Sy, Antoine Diot, Charles Kahudi, Edwin Jackson, Adrien Moerman brillaient de mille feux en France avant, pour certains (Westermann, Diot, Moerman, Jackson), d’aller exporter leur talent dans des championnats plus rémunérateurs, pour retrouver pareille balance en faveur des Français. Ainsi, Vitalis Chikoko ne figure cette saison qu’en 4e position dans le Top10 des salaires toutes nationalités confondues alors qu’il est le mieux payé des non-JFL avec ses 270 000 € (rappelons qu’il a démarré en France à 100 000 € à Pau-Lacq-Orthez en 2016-17 !).

En outre, l’on s’aperçoit que peu de clubs misent beaucoup d’argent sur des non-JFL, les salaires semblant plutôt s’orienter à la baisse. Ainsi, le 10e non-JFL le mieux payé de Jeep Élite touche cette saison

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