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Spécial Salaires – Les 15 «meilleures affaires» de Jeep Élite : Hugo Benitez, Boubacar Toure et Yoan Makoundou, le trio gagnant

Photo d’ouverture : Yoan Makoundou – Cholet (Photo : BCL) Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a proposé son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. À partir d’aujourd’hui, la rédaction analyse les « bonnes » et « mauvaises » affaires du championnat. Pour comm

Photo d’ouverture : Yoan Makoundou – Cholet (Photo : BCL)

Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a proposé son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. À partir d’aujourd’hui, la rédaction analyse les « bonnes » et « mauvaises » affaires du championnat. Pour commencer, voici les « meilleures affaires » de Jeep Élite, toutes nationalités et tous postes confondus – les prochains articles détailleront les meilleures (et les moins bonnes) affaires par poste et par nationalité (JFL ou non-JFL).

Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.

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Maintenant que nous avons dévoilé l’ensemble des salaires des joueurs et coachs de Jeep Élite pour cette saison 2020-21, une petite synthèse s’impose, permettant de déterminer quelles sont les « meilleures » et « moins bonnes » affaires du championnat. Pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. À l’inverse, il est plus facile pour un Espoir responsabilisé de proposer un ratio flamboyant, alors qu’il est rétribué sur de toutes petites bases.

Hugo Benitez – JL Bourg (Photo : JL Bourg – Jacques Cormarèche)

Ceci étant dit, quels sont les 15 « meilleures affaires » de Jeep Élite, les joueurs qui, schématiquement, justifient le plus leur salaire (et pourraient même réclamer une augmentation) ? Voici leur liste, suivie de quelques commentaires sur ces noms :

NomClubSalaire annuelEvalRatio
1- Hugo BenitezBourg20 000,00 €8,040,00
2- Boubacar ToureRoanne45 000,00 €12,026,67
3- Yoan MakoundouCholet30 000,00 €7,023,33
4- Chima MonekeOrléans80 000,00 €18,423,00
5- Sylvain FranciscoRoanne75 000,00 €14,619,47
6- Dominique ArchieChamp. B.85 000,00 €16,118,94
7- Arnas VelickaChamp. B.65 000,00 €12,118,62
8- Travis LeslieChamp. B. 90 000,00 €16,218,00
9- Charles-Noé AbouoLe Portel60 000,00 €10,717,83
10- Johan Passave-DucteilLe Portel60 000,00 €10,417,33
11- Brandon JeffersonStrasbourg100 000,00 €16,916,90
12-Hans VanwijnDijon90 000,00 €15,216,89
13- Michaël StocktonCholet130 000,00 €21,516,54
14- Steeve Ho You FatRoanne75 000,00 €12,416,53
15- Gregor HrovatCholet60 000,00 €9,515,83

Il n’est guère surprenant, au vu du mode de calcul retenu, de trouver deux Espoirs parmi les trois « meilleures affaires », puisqu’ils émargent à un très faible salaire annuel. Ce qui, par ailleurs, ne retire rien à la qualité de leurs performances, le meneur de Bourg Hugo Benitez comme l’intérieur choletais Yoan Makoundou figurant parmi les principales révélations de la saison (même si Benitez avait déjà montré de belles choses la saison passée).

Boubacar Touré – Roanne (Photo : Chorale de Roanne)

Hors Espoirs, la surprise de la saison s’appelle Boubacar Touré : le pivot sénégalais, fraîchement émoulu de l’université, a été signé à un tout petit prix pour servir de doublure à un intérieur bien plus expérimenté, Juvonte Reddic. Au final, il s’avère plus rentable, ce qui a bien sûr incité Roanne à le resigner pour la saison prochaine. Seul bémol – de taille : le joueur risque une grosse sanction après avoir cassé la mâchoire de Miralem Halilovic d’un coup de poing. Une longue suspension pourrait mettre fin à son aventure roannaise.

Les deux autres belles surprises de la saison sont le fait de joueurs connus en Pro B et qui prouvent qu’ils peuvent faire aussi bien sinon mieux en Jeep Élite. Chima Moneke s’éclate dans le jeu orléanais alors que Sylvain Francisco a les clés du camion roannais.

Derrière eux, le trio du Champagne Basket se retrouve haut dans ce classement à la fois par leur salaire modeste (Travis Leslie a gagné jusqu’à 140 000 € l’année dans les saisons précédentes) et par leur impeccable rendement : les deux « vieux routiers » que sont Dominique Archie et Travis Leslie encadrent fièrement le jeune meneur lituanien Arnas Velicka.

Sylvain Francisco – Roanne (Photo : Chorale de Roanne)

On notera que la plupart des joueurs cités dans ce classement sont peu payés : ils ne sont que deux à toucher 100 000 € ou plus, les meneurs Brandon Jefferson et Michael Stockton – ce qui au passage ne fait que revaloriser leurs performances (respectivement 16,9 et 21,5 d’éval). Près de cette barrière, le Belge Hans Vanwijn est la bonne pioche de la JDA Dijon, l’ailier réalisant des prestations de tout premier plan.

Pour finir, on relèvera le fait que faire de bonnes affaires n’implique pas forcément obtenir de bons résultats. Sur les quinze membres de ce classement, ils ne sont que cinq à évoluer dans une équipe figurant parmi les huit premières : Hans Vanwijn à Dijon (2e), Hugo Benitez à Bourg (4e), Charles-Noé Abouo et Johan Passave-Ducteil au Portel (6e) et Brandon Jefferson à Strasbourg (8e). À l’opposé, les 16e et 17e du classement, Roanne et Champagne Basket, font jouer six joueurs de ce classement.

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Maintenant que nous avons dévoilé l’ensemble des salaires des joueurs et coachs de Jeep Élite pour cette saison 2020-21, une petite synthèse s’impose, permettant de déterminer quelles sont les « meilleures » et « moins bonnes » affaires du championnat. Pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. À l’inverse, il est plus facile pour un Espoir responsabilisé de proposer un ratio flamboyant, alors qu’il est rétribué sur de toutes petites bases.

Hugo Benitez – JL Bourg (Photo : JL Bourg – Jacques Cormarèche)

Ceci étant dit, quels sont les 15 « meilleures affaires » de Jeep Élite, les joueurs qui, schématiquement, justifient le plus leur salaire (et pourraient même réclamer une augmentation) ? Voici leur liste, suivie de quelques commentaires sur ces noms :

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