Dusko Ivanovic, 63 ans, est le coach de Baskonia Vitoria, un club qu’il avait déjà fréquenté deux fois avant d’en reprendre le coaching en 2019. La première fois, c’était après son triplé avec Limoges en 2000 et jusqu’en 2005, et la deuxième fois de 2008 à 2012. Sous sa direction, Baskonia a été deux fois finaliste de l’Euroleague et a remporté le championnat national à trois reprises et quatre fois la Copa del Rey.
Situé au Pays Basque, Vitoria-Gasteiz n’est pas l’une des plus grandes ou des plus célèbres villes d’Espagne et c’est ce qui convient parfaitement au Monténégrin.
« Je me suis adapté à Vitoria rapidement, mais simplement parce que je m’adapte rapidement à toutes les situations. J’ai changé beaucoup de villes et de pays quand j’ai joué et nous tous, professionnels, sommes obligés de nous adapter rapidement aux changements », a-t-il déclaré au site de l’Euroleague. « Mais pour vous dire la vérité, à Vitoria, c’était beaucoup plus facile que dans de nombreux autres endroits. Le club avait une excellente organisation, prenait soin de tous ceux qui venaient de l’extérieur de la ville, et les gens de Vitoria vivent pour le sport, vivent pour le basket-ball.Vitoria compte environ 250 000 habitants et pour moi, cela en fait la taille idéale pour les personnes mariées, pour les sportifs qui n’ont peut-être pas beaucoup de temps pour les loisirs. Il y a de nombreux bons restaurants, de nombreux endroits à visiter. Il existe de nombreux endroits où vous pouvez simplement vous promener. Vitoria est la capitale verte de l’Europe et je pense vraiment qu’elle le mérite. »
Et bien sûr, les habitants de Vitoria se sont habitués à voir Dusko Ivanovic dans les rues de leur ville. Ivanovic ne parle d’eux qu’avec respect.
« Pour vous dire la vérité, Vitoria est une ville qui vit pour le basket-ball, mais les gens ici sont très respectueux. Ils vous connaissent, ils vous saluent. Mais ils ne vous arrêtent pas dans la rue. Les gens ici sont gentils et aimants et c’est très important pour nous les professionnels, non seulement lorsque vous gagnez, mais aussi lorsque vous perdez. »
Photo: Euroleague
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