“On a été très faibles en termes d’adresse, ça nous arrive pas souvent. On a abusé des tirs à trois-points en 2e mi-temps. On a peut-être crû que le match était gagné avant la fin. On s’est peut-être laissé griser par nos quinze points d’avance. On a mal géré les moments où on avait un avantage relativement conséquent.”
C’est le commentaire du coach du CSP, Mehdy Mary, à la fin du match, propos repris par L’Union. Cela fait toujours très mal de perdre quand vous menez de 15 points (20-35) au milieu du 2e quart-temps, que le meilleur joueur d’en face (Dominic Waters) est sorti pour cinq fautes dans le money time et que vous avez encore l’occasion d’égaliser au buzzer par Phil Scrubb.
Mais, de fait, les Limougeauds ont fait preuve d’une gabegie à trois-points (6/28), à l’image du trio Invernizzi-Lang-Scrubb (2/18 !), et d’un manque de caractère à l’inverse du Champagne Basket.
Avec leur trois victoires d’affilée, les Marnais ont quitté la zone rouge alors que les Limougeauds ont perdu une belle occasion de solidifier leur place dans le top 8.
Photo: Hugo Invernizzi (CSP)
Équipe plus que moyenne, un coach au jeu très ( trop ) stéréotypé, joueurs avec peu ou pas d’envie, pas de pilote dans l’avion pour redresser la barre, que dire d’autre, malheureusement un club qui s’éteint à petit feu , quelle tristesse !
Exactement, Céline FORTE est en train de détruire lentement, mais surement le LIMOGES CSP. Nous avons un président totalement inexistant (MARTINEZ), une ancienne idole totalement absente (DACOURY), un ancien joueur qui marche sur les plates-bandes du directeur sportif (BOLOTNY), un directeur sportif dépassé (PALMER) et un entraîneur en grande difficulté (MARY). Difficile d’être optimiste dans ces conditions.
J’avoue avoir beaucoup de mal à retrouver la passion qui m’animait pour soutenir ce club légendaire. Yann BONATO peut-il être la solution ?