Photo d’ouverture : Nikos Chougkas – Ionikos (Photo : Ionikos)
Pour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à la Grèce.
Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.
Depuis que nous nous livrons à notre étude sur la place des U21 dans les grands championnats européens (dont c’est le troisième opus), l’Esake (ou A1 League) grecque figure parmi les parents pauvres, ayant même décroché une piteuse dernière place la saison passée. Cette saison, cela va un tout petit peu mieux pour les jeunes hellènes, qui repassent devant l’Italie et la VTB League, comme il y a deux saisons. Cela étant, les chiffres montrent qu’il n’y a pas de quoi être fier. Déjà parce que, sur les 12 équipes participant au championnat, deux (Charilaos et Larissa) n’ont pas aligné ne serait-ce qu’une seconde un U21 lors des 12 à 14 matchs disputés au moment d’arrêter nos statistiques.
Ensuite, lorsque l’on regarde le nombre total de U21 ayant foulé le parquet au moins une seconde, on ne peut que constater la décrue : de 33 l’an passé, l’Esake passe cette saison à 21, personne ne fait moins en Europe. Petite consolation, le rendement de ces joueurs progresse légèrement : de 1,39 point et 1,15 d’évaluation en 5,11 minutes en 2019-20, on est passé cette année à 1,75 pt et 1,74 d’éval en 6,44 mn. Pas de quoi pavoiser mais cela hisse l’Esake à la 7e place de cette étude en ce qui concerne les points et l’éval.
