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Euroleague Féminine : Adversaire de l’ASVEL en quart-de-finale, Sopron est toujours invaincu cette saison

Les joueuses de l’ASVEL sont arrivées hier à Sopron où l’attendent mercredi et vendredi deux matches contre l’équipe locale, qui décideront de sa qualification ou non pour le Final Four. Elles seront privées à cette occasion de leur double championne WNBA, l’Américano-Israélienne Alysha Clark, bless

Les joueuses de l’ASVEL sont arrivées hier à Sopron où l’attendent mercredi et vendredi deux matches contre l’équipe locale, qui décideront de sa qualification ou non pour le Final Four. Elles seront privées à cette occasion de leur double championne WNBA, l’Américano-Israélienne Alysha Clark, blessée.

Alors que les Lionnes doivent batailler chaque week-end dans le championnat de France (10 victoires, 5 défaites), le Sopron Basket n’est pas placé dans les mêmes conditions dans le championnat hongrois puisqu’il a remporté ses 22 matches. Plus significatif encore de son omnipotence, il possède la meilleure attaque du championnat (88,0) et la meilleure défense (56,0). Ca ne doit pas être très drôle à suivre, le championnat hongrois.

Plus significatives sont ses performances en Euroleague. Les Hongroises ont remporté leurs 6 premiers matches. Soit deux fois contre Bourges, deux fois contre Basket Landes et deux fois contre Galarasaray. Ce fut plus serré qu’en championnat avec tout de même une marge moyenne de 12,1 points gonflée par la victoire sur Basket Landes de 30 points.

A la lecture des statistiques, on s’aperçoit qu’il y a trois joueuses à surveiller plus particulièrement. La première, c’est la Franco-Américaine Gabby Williams (ex-Montpellier), toujours aussi éclectique puisqu’elle tourne à 16,5 points, 4,2 rebonds, 3,2 passes et 2,2 interceptions. Il y a aussi les deux Serbes Jelena Brooks (15,2 points et 5,3 rebonds) et Tina Krajisnik (11,2 points et 8,2 rebonds). Ajoutons à ce trio la Hongroise Berdanett Hatar (6,5 points et 3,5 rebonds) qui a la particularité de mesurer 2,08m, et qui n’a joué pour l’instant que deux matches.

Bref, ça ne sera pas de la tarte pour Marine Johannes and Co.

Photo: Gabby Williams (FIBA)

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