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Doron Jamchi : « Yannakis et Galis sont mes deux joueurs préférés de tous les temps »

A l’occasion de l’entrée de Panayotis Yannakis au Hall of fame de la FIBA, Gazzetta a interrogé l’Israélien Doron Jamchi, qui fut son adversaire sur le terrain à travers notamment les matches Aris Salonique-Maccabi Tel Aviv, mais qui est son ami en dehors.

A l’occasion de l’entrée de Panayotis Yannakis au Hall of fame de la FIBA, Gazzetta a interrogé l’Israélien Doron Jamchi, qui fut son adversaire sur le terrain à travers notamment les matches Aris Salonique-Maccabi Tel Aviv, mais qui est son ami en dehors.

« Panayotis est le joueur pour lequel je mourrais sur le terrain. Yannakis et Galis sont mes deux joueurs préférés de tous les temps. Ils sont comme des dieux pour moi ! « n’hésite t-il pas à dire. « Panayotis est l’une des plus grandes légendes de l’histoire du basket-ball européen. Pour sa personnalité, pour son dévouement au jeu. Il donne également son cœur au basket. Il l’a toujours donné. Soit à l’époque où il était joueur, soit lorsqu’il était entraîneur. Je le répète. Une des plus grandes légendes que j’aie jamais rencontrées ! Ce que je sais de lui, c’est ce que je connais Panagiotis depuis de nombreuses années qui est venu de nos discussions pendant des heures. Il m’a parlé de sa philosophie et de son dévouement au basketball. C’était un adversaire très difficile sur le terrain, mais en même temps un merveilleux ami à moi. Lui, sa famille, sa femme. Il mérite cette récompense ! »

Doron Jamchi raconte une anecdote à propos de Yannakis :

« Quand j’étais dans une école de Tel Aviv, j’avais invité Panayotis à y assister et à m’honorer de sa présence. Il était venu avec sa femme et le soir nous étions allés manger dans un restaurant où nous mangions chaque fois qu’il était ici. Après le repas, nous avons joué de la musique grecque et je lui ai dit de danser. Eh bien, nous ne nous sommes pas arrêtés ! Nous avons dansé continuellement pendant une heure et quand je l’ai emmené à l’hôtel, il m’a dit que c’était l’une des meilleures soirées qu’il ait jamais eues. Et vous savez, Panayotis n’est pas très expressif. Je dirais que c’est un homme discret. Comme moi. Mais ce fut un grand honneur pour moi qu’il dise cela. »

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