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Le coach Sergio Hernández à nouveau à la tête de l’équipe d’Argentine

Lorsqu’il avait rejoint Saragosse, l’entraîneur de l’équipe d’Argentine, vice-championne du monde, Sergio Hernández, avait démissionné de son poste. Comme il a quitté l’Espagne à la mi-avril, il a été reconduit officiellement à la tête de l’Albiceleste, qui sera à la recherche d’un nouveau podium au

Lorsqu’il avait rejoint Saragosse, l’entraîneur de l’équipe d’Argentine, vice-championne du monde, Sergio Hernández, avait démissionné de son poste. Comme il a quitté l’Espagne à la mi-avril, il a été reconduit officiellement à la tête de l’Albiceleste, qui sera à la recherche d’un nouveau podium aux Jeux Olympiques de Tokyo. Il vient d’expliquer pourquoi ce revirement après quelques mois seulement dans l’Aragon.

« Je n’ai aucun problème de santé, mais à l’époque plusieurs cas de Covid-19 ont été enregistrés chez mes proches et j’ai senti que je devais revenir. Ce sont des temps pour être ensemble, pas loin et seul. À quoi sert d’être bien si les autres n’ont pas la même chose ? Saragosse est un club ambitieux, qui peut se projeter sur le long terme, et les deux parties étaient heureuses, mais je n’avais pas assez de force pour continuer et je voulais être le plus honnête possible. Maintenant je suis plus calme et déjà concentré sur Tokyo et la préparation. »

Sur son retour en équipe d’Argentine, il commente :

« Il était déjà de notoriété publique que, pour signer dans la ligue ACB, je ne pouvais pas avoir deux contrats et c’est pourquoi j’ai dû démissionner du mien à la fédération (CAB). A partir du moment où j’ai été libéré en Espagne, nous avons repris le dialogue et nous nous sommes rapidement mis d’accord sur ce que nous avions en tête, qui devait se poursuivre jusqu’aux Jeux Olympiques. Nous sommes très proches des Jeux Olympiques, mais nous attendons tous encore de voir ce qui se passe au jour le jour, de la confirmation de la compétition à la mise en place de celle-ci, car le contexte change ou se complique chaque jour dans cette seconde vague de la pandémie. Ce n’est pas comme avant quand on pouvait décider à 100% des choses. «

Photo: FIBA

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