Aller au contenu

Retour sur – Le Top 60 français 1998-2004 – 2e partie : 2001-2002, la confirmation Théo Maledon

Photo d’ouverture : Théo Maledon – Oklahoma City Thunder (Photo : NBA) En juin dernier, nous avions publié un Top 60 des meilleurs prospects français nés entre 1998 et 2004 (à retrouver ICI pour le dernier article de la série, avec le lien pour tous les autres articles du dossier en fin de texte). P

Photo d’ouverture : Théo Maledon – Oklahoma City Thunder (Photo : NBA)

En juin dernier, nous avions publié un Top 60 des meilleurs prospects français nés entre 1998 et 2004 (à retrouver ICI pour le dernier article de la série, avec le lien pour tous les autres articles du dossier en fin de texte). Pratiquement un an plus tard, où en sont tous ces jeunes joueurs ? Ont-ils justifié les espoirs placés en eux ? Ont-ils continué leur progression ? C’est ce que ce dossier, en trois parties (la première hier, à retrouver ICI, la dernière demain), va vous permettre de découvrir.

[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]

Si les joueurs nés entre 1998 et 2000 ne provoquent pas forcément d’immenses attentes, de par leur potentiel ou parce qu’ils ne concrétisent pas pour le moment tous les espoirs placés en eux -il y a bien sûr des exceptions-, les plus jeunes générations – à commencer par les 2001 et 2002 – paraissent bien plus prometteuses, avec un nombre conséquent de joueurs déjà très haut ou en passe de l’être.

En outre, nous allons le voir, une bonne partie d’entre-eux a connu une progression sensible depuis la saison passée.

2001 : entre espoirs et confirmations

La classe d’âge des 2001 (des joueurs qui ont donc 19 ou 20 ans aujourd’hui) figure parmi les plus prometteuses. Certains joueurs évoluent très positivement dans les deux premières divisions du championnat français, s’y taillant d’ores et déjà une place de choix. D’autres sont partis chercher fortune de l’autre côté de l’Atlantique et s’y montrent à leur avantage. D’autres encore sont pour le moment en retrait. Avec encore un peu de temps, de travail et de progrès, il n’est pas impensable de les voir émerger à haut niveau dans les années qui viennent.

Milan Barbitch (1,96 m, Paris Basket (Pro B), meneur)

Ses stats 2019-20 : 11,5 minutes, 3,6 points, 1,8 rebond, 1,5 passe, 4,1 d’évaluation

Il n’était pas forcément le plus attendu de la jeune garde du Paris Basket, mais il a connu cette saison une belle progression, doublant ou triplant la plupart de ses statistiques. Capable de mener le jeu avec rigueur, de plus en plus adroit (48,0 % aux tirs, 35,3 % à trois-points), il devient une menace offensive crédible tout en apportant son écot en défense. Lui reste à continuer à se renforcer physiquement.

Milan Barbitch – Paris Basket (Photo : Paris Basket)

Hugo Benitez (1,87 m, Bourg-en-Bresse, meneur)

Ses stats 2019-20 : 10,0 mn, 2,7 pts, 0,7 rbd, 2,0 pds, 4,3 d’éval

Il avait bluffé son monde la saison passée en prenant en main les rênes de l’équipe lorsque les autres meneurs de la JL Bourg étaient blessés. Cette année, il reproduit un peu le même schéma. Il reste peut-être un peu dans l’ombre lorsque tout l’effectif burgien est au complet mais comme c’est rarement le cas, il a l’occasion de s’exprimer. Statistiquement, son évolution n’est pas ébouriffante, mais il a gagné en régularité. Il doit encore travailler pour plus peser sur le jeu de son équipe, mais il est sur la bonne voie.

Hugo Benitez – Bourg-en-Bresse (Photo : JL Bourg – Stéphane Laurencin)

Malcolm Cazalon (1,98 m, Mega Soccerbet (Serbie), ailier)

Ses stats 2019-20 (à Louvain, Belgique) : 10 matchs, 17,4 mn, 6,0 pts, 2,6 rbds, 1,4 pd

L’ailier formé en partie à l’Asvel semble se stabiliser, lui qui avait quelque peu erré entre divers clubs depuis son départ de Villeurbanne. En Serbie, avec la « pouponnière » du Mega Soccerbet, il n’a pas démérité dans une équipe quelque peu vampirisée par ses énormes prospects de la raquette, Filip Petrusev et Marko Simonovic. S’il ne s’y est pas encore installé comme un joueur majeur de l’effectif, il a montré par séquences qu’il pouvait être une arme redoutable dans l’aile. Comme de nombreux joueurs de son âge, lui reste à gagner en régularité.

Malcolm Cazalon – Mega Soccerbet (Photo : Mega Soccerbet – Ivica Veselinov)

Thimoté Crusol (1,92 m, Limoges, meneur)

Ses stats 2019-20 : 23 matchs, 10,0 mn, 1,6 pt, 0,6 rbd, 0,8 pd, 1,8 d’éval

Resté à Limoges plutôt que d’aller tenter sa chance en Pro B, le meneur est barré sur son spote par Speedy Smith et Ludovic Beyhurst. Il entre assez régulièrement sur le parquet, mais pour de courtes séquences, d’où une production statistique en baisse par rapport à la saison passée. Le CSP croît en lui, mais il va devoir passer un cap pour s’imposer en Haute-Vienne.

Thimoté Crusol – Limoges (Photo : BCL)

Matthieu Gauzin (1,91 m, Champagne Basket, meneur)

Ses stats 2019-20 : 16 matchs, 6,8 mn, 1,4 pt, 0,3 rbd, 0,5 pd, 0,4 d’éval

Il a eu à l’intersaison la bonne idée de se faire prêter par son club formateur du Mans à une formation de Jeep Élite moins huppée, le Champagne Basket. Le résultat : un temps de jeu en forte hausse et un rendement suivant la même courbe. Ces derniers temps, il devient même la première option sur le poste de meneur, dans une équipe qui lutte pour son maintien. Il prouve qu’il a déjà toute sa place en Jeep Élite. Le MSB va le récupérer pour la prochaine saison.

Matthieu Gauzin – Champagne Basket (Photo : CCRB – Teddy Picaudé)

Killian Hayes (1,96 m, Detroit Pistons, meneur-arrière)

Ses stats 2019-20 : 25,0 mn, 11,6 pts, 3,1 rbds, 5,3 pds

Drafté en 7e position par les Detroit Pistons, le fils de Deron connaît une première saison en NBA plutôt mouvementée. Alors qu’il montait en puissance, il s’est retrouvé arrêté pour blessure au bout de 7 matchs, passant de longues semaines à l’infirmerie. De retour pour une fin de saison sans enjeu pour le club, il a pu s’installer dans la rotation et montrer son talent, s’illustrant à la marque et à la passe. Une bonne saison rookie malgré la blessure.

https://www.youtube.com/watch?v=717sH_RvaQI

Ismaël Kamagaté (2,11 m, Paris Basket (Pro B), ailier-fort/pivot)

Ses stats 2019-20 : 14,9 mn, 6,1 pts, 3,7 rbds, 0,5 pd, 9,2 d’éval

Il continue d’épater son monde. Lui qui était pratiquement inconnu il y a deux-trois ans est devenu un pivot qui compte en Pro B, se montrant extrêmement dissuasif sous son panier (1,9 contre), adroit en attaque (70,0 % aux tirs) et très précieux au rebond. Encore très fin physiquement, il doit bien sûr se renforcer et améliorer sa connaissance du jeu. Mais l’expérience s’acquiert avec le temps. Et il a déjà le talent…

Ismaël Kamagaté – Paris Basket (Photo : Paris Basket)

Théo Maledon (1,91 m, Oklahoma City Thunder, meneur)

Ses stats 2019-20 : 16,2 mn, 6,7 pts, 1,9 rbd, 2,0 pds, 6,5 d’éval

Sa draft en 34e position aurait pu être vécue comme une déception. Mais il en faut bien plus pour déstabiliser le garçon à sang-froid qu’est Théo Maledon. Et il prouve une nouvelle fois ses capacités d’adaptation : Jeep Élite à 17 ans ? Euroleague à 18 ? NBA à 19 ? Pas de problème, il s’installe au niveau comme si de rien n’était. Et, même si son adresse est fluctuante, même si Memphis perd des matchs par brouettes entières, Théo Maledon trace son bonhomme de chemin. Oh ! Petit « détail » : il a été meilleur marqueur pour sa saison rookie qu’un certain Tony Parker. Certes dans un contexte différent (San Antonio visait le titre à l’époque), mais ce n’est pas rien…

https://www.youtube.com/watch?v=_wYrppzMTUk

Essomé Miyem (2,10 m, Strasbourg/Souffelweyersheim (Pro B), ailier-fort/pivot)

Ses stats 2019-20 : 10 matchs, 6,0 mn, 2,3 pts, 0,8 rbd, 0,1 pd, 2,3 d’éval

Afin de s’aguerrir, le « petit » frère d’Endy -capitaine de l’équipe de France féminine- a signé une licence AS, lui permettant d’évoluer parallèlement avec Strasbourg en Jeep Élite et Souffelweyersheim en Pro B. Une bonne initiative : s’il n’a été utilisé qu’à 3 reprises et pour un temps de jeu anecdotique (2,7 mn) par la SIG, il a un peu plus de responsabilités en Pro B. Cela étant, il ne s’est pas encore imposé à l’étage inférieur, peinant à dépasser les 10 mn de jeu par match, pour un rendement moyen. Il doit encore progresser dans tous les aspects du jeu pour se voir offrir plus.

Lorenzo Thirouard-Samson (1,97 m, Lille (Pro B), arrière)

Ses stats 2019-20 (Espoirs) : 31,9 mn, 17,0 pts, 4,7 rbds, 3,1 pds, 13,3 d’éval

Venu en Pro B chercher un temps de jeu qu’il n’arrivait pas à obtenir en Jeep Élite aux Metropolitans 92, l’arrière-shooteur a visiblement fait le bon choix. Il joue une quinzaine de minutes par match. Cela étant, son point fort, l’adresse, n’est pas au rendez-vous : 35,8 % aux tirs, dont 26,0 % à trois-points. Mais il dispose de tous les atouts pour percer, si tant est qu’il arrive à progresser dans tous les domaines. Avec du travail, il a tout ce qu’il faut pour réussir.

Lorenzo Thirouard-Samson – Lille (Photo : LMBC – Christophe Delrue)
Les statistiques 2020-21 des 2001
NomClubMinutesPointsRebondsPassesEval
Milan BarbitchParis (Pro B)21,38,22,72,39,1
Hugo BenitezBourg12,73,41,62,35,1
Malcolm CazalonMega Soccerbet20,07,01,51,94,6
Thimoté CrusolLimoges7,40,50,50,50,0
Matthieu GauzinChampagne Basket19,16,71,81,65,6
Killian HayesDetroit Pistons22,55,92,34,35,0
Ismaël KamagatéParis (Pro B)22,28,77,10,714,4
Théo MaledonOklahoma City Thunder27,59,73,53,46,2
Essomé MiyemSouffelweyersheim  (Pro B)10,85,61,90,14,7
Lorenzo Thirouard-SamsonLille (Pro B)15,25,31,50,74,7
2002 : le plein de promesses

Des profils intrigants, d’autres très prometteurs, quelques joueurs montrant déjà de très belles choses à haut niveau, la génération 2002 est alléchante. Et elle évolue dans le bon sens, même si certains sont très embêtés par les blessures.

Daniel Batcho (2,07 m, Arizona (NCAA), ailier-fort)

Ses stats 2019-20 : 24,3 minutes, 9,0 points, 6,3 rebonds, 1,0 passe, 11,5 d’évaluation

L’un des espoirs les plus scrutés de la génération 2002 connaît un début de carrière gâché par les blessures. Alors qu’il s’est envolé pour les États-Unis et la NCAA pour poursuivre sa progression, il a été freiné par un énième problème physique qui lui a fait rater l’intégralité de la saison 2020-21. Rétabli depuis déjà plusieurs semaines, il a été « gardé au chaud » par son université afin de ne pas « griller » l’une des quatre saisons universitaires auxquelles il peut prétendre. On a hâte de le voir enfin s’exprimer en pleine santé sur un parquet et montrer que les espoirs placés en lui après ses excellentes prestations avec le Pôle France étaient justifiés.

Daniel Batcho – Arizona (Photo : Arizona Wildcats)

Juhann Begarin (1,96 m, Paris Basket (Pro B), arrière)

Ses stats 2019-20 : 16,7 mn, 4,8 pts, 2,1 rbds, 1,2 pd, 5,3 d’éval

Comme ses copains du Paris Basket, Juhann Bégarin profite à fond de la confiance que lui accorde le staff technique du Paris Basket. Devenu un joueur majeur de son équipe, il montre qu’il peut déjà être dominant en Pro B par sa vivacité et ses qualités athlétiques. Il lui reste à soigner sa sélection de tirs et à éliminer certaines scories de son jeu (2,3 balles perdues), mais il a tout en magasin pour percer à très haut niveau.

Juhann Bégarin – Paris Basket (Photo : Paris Basket)

Rudy Demahis-Ballou (1,88 m, Monaco, meneur)

Ses stats 2019-20 : 30,8 mn, 11,9 pts, 2,6 rbds, 3,9 pds, 8,7 d’éval

Si son potentiel ne faisait pas débat, peu de monde s’attendait à ce que l’ancien du Pôle France réussisse aussi vite à se faire une place en Jeep Élite, qui plus est dans un effectif aussi dense que celui de Monaco. Mais, on le sait, le coach Zvezdan Mitrovic n’a jamais hésité à envoyer des jeunes au feu si ceux-ci appliquaient les consignes et défendaient. Comme c’est l’un des points forts de Rudy Demahis-Ballou, on a pu le voir démarrer des matchs en Jeep Élite comme en Eurocup et s’y montrer rentable. Il doit bien sûr gagner en densité physique et en expérience, mais c’est là l’apanage de tous les joueurs de son âge.

Rudy Demahis-Ballou – Monaco (Photo : AS Monaco)

Moussa Diabaté (2,07 m, IMG Academy Bradenton (high school), ailier-fort)

Ses stats 2019-20 (Euro U18 2019) : 11,2 pts, 11,5 rbds, 1,2 pd, 18,2 d’éval

Difficile de savoir ce que vaut réellement aujourd’hui Moussa Diabaté, hormis par le biais de quelques vidéos de « highlights ». À en croire les statistiques que l’on arrive péniblement à trouver, il se montre très rentable, à la fois en attaque et au rebond. Et il a fait saliver pas mal d’universités huppées de NCAA, ce qui prouve que son potentiel est pris en considération. Il s’est du reste engagé pour Michigan, fac NCAA de haut de tableau, pour la saison prochaine. On est impatient de voir ce qu’il pourra y produire.

Louis Lesmond (1,95 m, Notre Dame College Prep, arrière)

Ses stats 2019-20 : 16,5 pts, 5,3 rbds, 2,3 pds

Comme Moussa Diabaté, il s’est exilé aux États-Unis depuis plusieurs années. Après un bel exercice 2019-20, le fils de David et de Vanessa Dumas, une ancienne joueuse de haut niveau, a encore fait mieux pour sa dernière saison pré-universitaire, étant même classé dans le meilleur cinq lycéen de l’Illinois. La saison prochaine, il évoluera à Harvard, université surtout réputée pour son niveau académique plus que pour ses résultats sportifs.

Ibrahim Magassa (1,98 m, Real Betis Séville (Espagne), arrière)

Ses stats 2019-20 : 14,6 pts, 3,7 rbds, 1,5 pd, 10,4 d’éval

Jouant depuis plusieurs saisons déjà en Espagne, Ibrahim Magassa a cette saison eu quelques occasions de s’exprimer avec le Real Betis en Liga ACB. Sans réaliser de prestations fracassantes, il a tout de même montré quelques productions prometteuses. Il a encore du travail devant lui dans tous les secteurs, mais il peut rêver de jouer à haut niveau. Il a toutefois été victime cette semaine d’une sérieuse blessure au genou.

Yvan Ouedraogo (2,03 m, Nebraska (NCAA), pivot)

Ses stats 2019-20 : 21,4 mn, 5,7 pts, 6,3 rbds, 0,5 pd

Dans une université classée 91e en NCAA, Yvan Ouedraogo a vu ses stats et son temps de jeu régresser d’une saison sur l’autre. Ce qui l’a poussé à changer d’université : il jouera la saison prochaine à Grand Canyon University. Peut-être l’occasion d’inverser la tendance…

Yvan Ouedraogo – Nebraska (Photo : Nebraska Huskers)

Matthew Strazel (1,82 m, LDLC Asvel, meneur)

Ses stats 2019-20 : 11,4 mn, 3,1 pts, 0,6 rbd, 2,0 pds, 3,3 d’éval

2020-21 a été pour lui l’année de la confirmation : surprenant pour ses premiers pas en Jeep Élite et en Euroleague la saison passée, il a juste progressé dans tous les domaines cette année, s’affirmant comme une rotation « normale » dans le riche effectif villeurbannais, malgré la présence de coéquipiers de très haut niveau. Discipliné, actif en défense, adroit de loin (par séquences), il fait preuve d’une belle maturité. Et il semble disposer d’une belle marge de progression.

Matthew Strazel – LDLC Asvel (Photo : LDLC Asvel – Infinity Nine Media – Alexia Leduc)

Jayson Tchicamboud (1,95 m, Strasbourg, meneur)

Ses stats 2019-20 (Espoirs) : 25,3 mn, 10,3 pts, 4,2 rbds, 4,8 pds, 10,7 d’éval

S’il avait réalisé quelques prestations intéressantes en Jeep Élite la saison passée, peu de monde s’attendait à ce que le fils de Steed entre aussi régulièrement en jeu avec l’équipe professionnelle de la SIG cette saison. Bien sûr, il n’y fait que des apparitions fugaces, à peine plus de 4 mn à chaque fois. Mais Lassi Tuovi a fait appel à lui à 19 reprises en championnat, preuve qu’il est considéré. Pour avoir droit à plus de temps de jeu, il va devoir progresser dans tous les domaines, et notamment dans l’adresse : 24,3 % aux tirs dont 17,5 % à trois-points, c’est très faible…

Jayson Tchicamboud – Strasbourg (Photo : BCL)
Les statistiques 2020-21 des 2002
NomClubMinutesPointsRebondsPassesEval 
Daniel BatchoArizona (NCAA)Saison blanche   
Juhann BegarinParis (Pro B)26,912,13,92,712,1
Rudy Demahis-BallouMonaco7,61,60,50,40,8
Moussa DiabatéIMG Academy (JuCo) 14,57,02,0 
Louis LesmondNotre Dame Prep (JuCo) 17,35,72,0 
Ibrahim MagassaSéville (Espagne)6,11,60,50,00,2
Yvan OuedraogoNebraska (NCAA)14,93,43,70,4 
Matthew StrazelAsvel15,75,30,81,85,0
Jayson TchicamboudStrasbourg4,40,70,50,4-0,1

Demain, les 2003-2004-2005

x

[armelse]

Si les joueurs nés entre 1998 et 2000 ne provoquent pas forcément d’immenses attentes, de par leur potentiel ou parce qu’ils ne concrétisent pas pour le moment tous les espoirs placés en eux -il y a bien sûr des exceptions-, les plus jeunes générations – à commencer par les 2001 et 2002 – paraissent bien plus prometteuses, avec un nombre conséquent de joueurs déjà très haut ou en passe de l’être.

En outre, nous allons le voir, une bonne partie d’entre-eux a connu une progression sensible depuis la saison passée.

2001 : entre espoirs et confirmations

La classe d’âge des 2001 (des joueurs qui ont donc 19 ou 20 ans aujourd’hui) figure parmi les plus prometteuses. Certains joueurs évoluent très positivement dans les deux premières divisions du championnat français, s’y taillant d’ores et déjà une place de choix. D’autres sont partis chercher fortune de l’autre côté de l’Atlantique et s’y montrent à leur avantage. D’autres encore sont pour le moment en retrait. Avec encore un peu de temps, de travail et de progrès, il n’est pas impensable de les voir émerger à haut niveau dans les années qui viennent.

Milan Barbitch (1,96 m, Paris Basket (Pro B), meneur)

[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]

Commentaires

Fil d'actualité