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Retour sur – Le Top 60 français 1998-2005 – 3e partie : 2003-2005, Victor Wembanyama toujours plus haut

Photo d’ouverture : Victor Wembanyama – Nanterre (Photo :Euroleague – Justinas Gedvilas) En juin dernier, nous avions publié un Top 60 des meilleurs prospects français nés entre 1998 et 2004 (à retrouver ICI pour le dernier article de la série, avec le lien pour tous les autres articles du dossier e

Photo d’ouverture : Victor Wembanyama – Nanterre (Photo :Euroleague – Justinas Gedvilas)

En juin dernier, nous avions publié un Top 60 des meilleurs prospects français nés entre 1998 et 2004 (à retrouver ICI pour le dernier article de la série, avec le lien pour tous les autres articles du dossier en fin de texte). Pratiquement un an plus tard, où en sont tous ces jeunes joueurs ? Ont-ils justifié les espoirs placés en eux ? Ont-ils continué leur progression ? C’est ce que ce dossier, en trois parties (la première avant-hier, à retrouver ICI, la deuxième hier, à voir ICI), vous permet de découvrir.

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Pour la dernière partie de ce « retour sur le Top 60 français 1998-2004 », auquel nous avons ajouté deux joueurs nés en 2005, place donc aux joueurs nés entre 2003 et 2005. Pour la plupart, ces joueurs de 18 ans et moins font encore leurs armes au Pôle France ou dans des centres de formation d’équipes professionnelles. Mais l’un d’entre-eux, Victor Wembanyama pour ne pas le nommer, fait déjà, quand il est en état, les beaux jours de Nanterre, se montrant épatant en Jeep Élite comme en Eurocup. Le tout à 17 ans !

Voyons donc comment en un an ont évolué ces joueurs qui formeront pour certains l’ossature de l’équipe de France.

2003 : que de talents !

La génération 2003 est, pour les plus prometteurs des joueurs la composant, couvée par le Pôle France, même si certains évoluent déjà au sein de centres de formation ou aux États-Unis. La caractéristique commune à tous, en tout cas, est qu’ils sont très prometteurs. À eux de confirmer ces espoirs dans les saisons qui viennent !

Adama-Alpha Bal – Pôle France (Photo : FFBB)

Adama-Alpha Bal (1,95 m, Pôle France (NM1), meneur-arrière)

Ses stats 2019-20 : 16,4 mn, 4,8 points, 1,1 rebond, 0,9 passe, 1,0 d’évaluation

Considéré comme un joueur très prometteur devant se concentrer sur le poste de meneur, Adama Bal a gagné en consistance cette saison, avec des stats qui ont plus que doublé dans tous les secteurs. Il va la saison prochaine poursuivre sa progression outre-Atlantique, ayant signé pour l’université d’Arizona.

Naoll Balfourier (2,16 m, Pôle France (NM1), pivot)

Ses stats 2019-20 : 18,5 mn, 4,1 pts, 3,6 rbds, 0,5 pd, 3,2 d’éval

À l’examen de ses statistiques, on pourrait penser que le grand pivot n’a pas vraiment progressé, d’autant que son temps de jeu a peu augmenté, pour des moyennes de points et de rebonds identiques. Mais si sa progression ne se traduit pas dans les chiffres, elle est réelle, dans la consistance, l’intensité. Cela dit, et le joueur en est conscient, il a encore beaucoup de travail devant lui pour atteindre le niveau professionnel, dans la mobilité, la dureté, le renforcement physique, la technique… Cela va être à lui de bien choisir sa future destination pour continuer sur la voie du professionnalisme.

Naoll Balfourier – Pôle France (Photo : Bellanger/IS – FFBB)

Nathan De Sousa (1,87 m, Cholet (Espoirs), meneur)

Ses stats 2019-20 : 18,4 mn, 6,2 pts, 2,8 rbds, 2,3 pds, 6,3 d’éval

Meneur « à l’ancienne », très à l’aise dans son rôle de chef d’orchestre de l’actuelle meilleure équipe du championnat Espoirs, il a gagné en temps de jeu cette saison. Et il a su le rentabiliser, doublant ses stats aux points et aux passes décisives comme à l’évaluation. Un joueur qui bénéficie d’un environnement idéal pour continuer à progresser et à se rapprocher de l’équipe professionnelle.

Nathan De Sousa – Cholet (Photo : Cholet Basket – Simon Godet)

Brice Dessert (2,07 m, Pôle France (NM1), pivot)

Ses stats 2019-20 : 18,1 mn, 5,7 pts, 4,2 rbds, 0,6 pd, 6,7 d’éval

Bien qu’il ait manqué plusieurs matchs pour blessure, le physique pivot attiré par le rebond a fait preuve d’une belle progression, à la fois statistiquement et dans la connaissance du jeu, lui qui a commencé le basket sur le tard. Considéré comme ayant une grosse marge de progression et travailleur, il a tout en magasin pour franchir les prochaines étapes de sa carrière.

Ousmane Dieng (2,03 m, Pôle France (NM1), meneur-arrière)

Ses stats 2019-20 : 24,5 mn, 10,2 pts, 3,0 rbds, 1,5 pd, 7,2 d’éval

Il fait partie de ces grands espoirs qui font saliver les recruteurs d’Europe et des États-Unis. Leader de l’équipe de NM1 du Pôle France, il a fait progresser toutes ses stats cette saison, devenant de plus en plus complet, lui dont la polyvalence figurait déjà dans les points forts. Le choix qu’il va effectuer pour la suite de sa carrière va être scruté avec attention.

Hugo Mienandi (2,00 m, Le Mans (Espoirs), ailier-fort/ailier)

Ses stats 2019-20 : 15,8 mn, 6,1 pts, 3,2 rbds, 1,0 pd, 7,3 d’éval

Encore un qui progresse à grands pas. En Espoirs, il a doublé son temps de jeu et toutes ses stats. Au point qu’il est désormais régulièrement intégré au groupe pro du MSB (7 entrées en jeu pour 8,4 mn de moyenne et 2,0 pts, 1,0 rbd, 2,7 d’éval). Reste pour lui, en fonction de sa taille (qui ne devrait plus évoluer), à arriver à s’installer sur le poste 3, avec tout le travail d’adaptation que cela implique.

Hugo Mienandi – Le Mans (Photo : FIBA)

Maxime Raynaud (2,14 m, Nanterre (Espoirs), pivot)

Ses stats (Euro U16 2019) : 7,5 mn, 2,2 pts, 2,3 rbds, 1,0 pd, 3,0 d’éval

Encore jeune dans le basket, partagé entre des études brillantes et le basket, le pivot a décidé à la dernière intersaison de quitter son cocon de Saint-Charles Charenton (U18 France) pour le centre de formation de Nanterre. Une transition réussie haut la main, l’ancien nageur de compétition ayant réussi de très belles prestations en championnat de France Espoirs. Il va poursuivre sa carrière à la prestigieuse université de Stanford, plus réputée pour la qualité de son enseignement que pour son équipe de basket (tout de même 60e en NCAA cette saison). Un bon moyen de progresser sur son basket tout en poursuivant ses études. À terme, il aura sans doute à choisir entre le professionnalisme dans le basket et ses ambitions académiques.

Maxime Raynaud – Nanterre (Photo : Euroleague – Miguel Angel Polo)

Armel Traoré (2,02 m, Pôle France (NM1), arrière-ailier)

Ses stats 2019-20 : 21,4 mn, 7,5 pts, 2,9 rbds, 0,9 pd, 7,3 d’éval

Même s’il n’a pu jouer qu’un nombre très réduit de matchs (5 en NM1) avec le Pôle France du fait de diverses blessures, le grand arrière-ailier a confirmé ses qualités de scoreur, faisant plus que doubler sa moyenne de points en à peine 3 mn de jeu de plus que la saison passée. Va lui rester à travailler notamment sur son adresse de loin (26,7 % à trois-points cette saison). Un temps courtisé par de grandes universités américaines, il aurait plutôt opté pour une carrière en Europe ces prochaines saisons. On attend avec impatience de voir quel sera son choix.

Armel Traoré – Pôle France (Photo : FFBB)

Yohan Traoré (2,06 m, Napa Prolific Prep (JuCo), ailier/ailier-fort)

Ses stats 2019-20 : 28,7 mn, 8,1 pts, 3,3 rbds, 0,8 pd, 7,3 d’éval

Il a quitté le Pôle France à l’intersaison pour les États-Unis et un institut préparant aux universités NCAA. Pour ses premiers pas outre-Atlantique, la transition s’est révélée douloureuse, avec un temps de jeu très réduit et une production forcément tout aussi frugale. Mais son potentiel reste entier. Il faudra voir comment il va digérer cette saison peu fructueuse et reprendre sa progression.

Les statistiques 2020-21 des 2003
NomClubMinutesPointsRebondsPassesEval
Adama-Alpha BalPôle France27,39,82,42,15,9
Naoll BalfourierPôle France21,24,33,60,74,6
Nathan de SousaCholet (Espoirs)27,514,14,04,914,5
Brice DessertPôle France23,27,96,90,711,6
Ousmane DiengPôle France29,212,65,52,711,0
Hugo MienandiLe Mans (Espoirs)30,913,28,21,515,8
Maxime RaynaudNanterre (Espoirs)24,210,76,70,511
Armel TraoréPôle France24,315,23,50,514,8
Yohan TraoréNapa Prolific Prep (JuCo)1,52,71,00,7 
2004 : d’immenses espoirs mais aussi des questions en suspens

Bien sûr, 2004 est avant tout l’année de naissance de Victor Wembanyama. Mais, même si son immense stature fait de l’ombre à toute une classe d’âge, d’autres jeunes gens nés la même année (et donc âgés à l’heure actuelle de 16-17 ans) montrent bien des promesses. Tous n’en sont bien évidemment pas au même stade de leur évolution, mais l’ensemble est très prometteur, même si, ce qui est logique vu leur âge, certains génèrent plus de questions que de réponses à l’heure actuelle. En tout cas, ces très jeunes joueurs, qui pour beaucoup n’ont pas achevé leur croissance, laissent espérer de beaux jours dans les années à venir.

Melvin Ajinça (1,95 m, Pôle France (NM1), arrière-ailier)

Ses stats 2019-20 : 17,3 minutes, 5,6 points, 2,2 rebonds, 0,7 passe, 3,6 d’évaluation

Le cousin d’Alexis Ajinca n’a pas les mêmes caractéristiques que son aîné, notamment parce qu’il est bien moins grand, évoluant à l’arrière et non sous les panneaux. Mais il montre déjà un talent certain, se révélant de plus en plus présent sur le parquet et dans toutes les catégories statistiques. Comme tous les joueurs de sa génération, il doit bien sûr progresser sur tous les aspects techniques et tactiques du jeu ainsi que physiquement. Avec un axe de travail tout trouvé : l’adresse aux tirs (35,1 % à deux-points, 25,6 % à trois-points cette saison).

Aurèle Brena-Chemille (1,86 m, Pôle France (NM1), meneur)

Ses stats 2019-20 : 2 matchs, 16,2 mn, 2,0 pts, 0,5 rbd, 1,0 pd, 1,0 d’éval

Ce pur meneur s’est bien installé dans la rotation du Pôle France en NM1, lui qui avait surtout fréquenté les U16 la saison passée. Présent des deux côtés du parquet, il arrive de mieux en mieux à peser sur l’organisation du jeu. Comme Melvin Ajinca, il doit progresser aux tirs de loin : s’il tourne à 44,6 % à deux-points, il n’en est qu’à 15,9 % à trois-points.

Aurèle Brena-Chemille – Pôle France (Photo : FFBB)

Daryl Doualla (1,92 m, LDLC Asvel (Espoirs), arrière)

Ses stats 2019-20 (Espoirs) : 4 matchs, 16,5 mn, 6,0 pts, 2,5 rbds, 1,3 pd, 7,8 d’éval

Capable de belles performances, l’arrière des Espoirs de LDLC Asvel laissait planer des doutes sur ses qualités techniques et notamment sur son tir. Alors qu’il jouait surtout avec les U18 de Villeurbanne, il a pleinement basculé cette saison avec les Espoirs, se montrant intéressant à la marque. Mais les interrogations sur son adresse demeurent : 24,5 % à trois-points, c’est faible. Il va devoir beaucoup travailler sur cet aspect du jeu pour se faire une place au niveau professionnel.

Halvine Dzellat-Diakeno (2,04 m, Pôle France (U16), ailier-fort/pivot)

Ses stats 2019-20 : nc

Difficile de se faire une opinion sur l’intérieur qui évoluait avec les U16 la saison passée et continue à le faire cette saison, lui qui n’a pas joué un seul match en NM1 avec le Pôle France. N’ayant pas encore fini sa croissance, ayant peu d’années de basket derrière lui, il reste un projet à long terme.

Maël Hamon-Crespin (2,05 m, Pôle France (NM1), ailier-fort)

Ses stats 2019-20 : 1 match, 11,1 mn, 0 pt, 3 rbds, 1 pd, -4 d’éval

Principalement utilisé avec les U16 la saison passée, il a très rapidement trouvé sa place à l’étage supérieur, avec les U18 évoluant en NM1. Et il s’y est montré plutôt rentable, avec un temps de jeu intéressant. Physique, combatif, il s’affirme au rebond. Mais il doit travailler sur son tir extérieur, pas encore au point : 25,0 % à trois-points.

Maël Hamon-Crespin – Pôle France (Photo : FFBB)

Kymany Houinsou (1,91 m, LDLC Asvel (Espoirs), meneur/arrière)

Ses stats 2019-20 : 17 matchs, 14,3 mn, 3,5 pts, 1,9 rbd, 1,8 pd, 4,1 d’éval

On peut dire qu’il est « l’autre star » de cette classe d’âge. Déjà très performant avec les Espoirs de Villeurbanne, dont il est le meneur titulaire, il s’est même vu intégré au groupe professionnel, avec trois entrées en jeu en Jeep Élite, pour 3,0 pts (59,9 % aux tirs), 0,3 pd et 2,0 d’éval en 7,0 mn de moyenne. Vu l’effectif villeurbannais, avoir ne serait-ce que pu y glisser un orteil donne une idée du potentiel du joueur. Lui reste à voir sur quel poste il va se fixer, entre la mène et l’arrière.

Kymany Houinsou – LDLC Asvel (Photo : Euroleague – Miguel Angel Polo)

Rayan Rupert (1,90 m, Pôle France (NM1), meneur/arrière)

Ses stats 2019-20 : 13 matchs, 12,9 mn, 2,6 pts, 1,4 rbd, 1,1 pd, 2,2 d’éval

Considéré comme un « late bloomer », ayant encore tout à construire, dans son jeu comme dans son physique, le petit frère d’Ilona (internationale française) a démontré cette saison qu’il progressait à pas de géant, se révélant très consistant à la marque et très présent au rebond pour un joueur de sa taille. Bien sûr, il lui reste encore beaucoup à intégrer pour viser le plus haut niveau, mais tous les espoirs lui sont permis.

Rayan Rupert – Pôle France (Photo : FFBB)

Victor Wembanyama (2,20 m, Nanterre, ailier-fort/pivot)

Ses stats 2019-20 (Espoirs) : 13 matchs, 20,1 mn, 10,2 pts, 4,8 rbds, 0,9 pd, 13,8 d’éval

En début de saison, il était prévu qu’il alterne entre Espoirs nanterriens et Pôle France en NM1. Mais il a vite démontré que ces deux terrains de jeu étaient trop petits pour lui : 11,8 pts, 6,8 rbds, 3,0 ctrs et 12,5 d’éval en 4 matchs de NM1, 13,4 pts, 8,6 rbds, 3,2 ctrs et 16,4 d’éval en 5 matchs avec les Espoirs. Il a donc vite intégré l’effectif professionnel, levant tous les doutes sur son adaptation liés à son physique très fluet (pas sûr qu’il dépasse les 100 kg…). En 9 matchs de Jeep Élite, il dépasse déjà la barrière des 10 d’éval (et 13,3 sur les 7 rencontres où il a eu un temps de jeu significatif !). Et il s’est également montré en Eurocup, avec notamment un match à 12 d’éval (5 pts, 6 rbds, 2 pds, 4 ctrs en 17,3 mn !). Il est donc désormais sûr qu’il a sa place à l’échelon professionnel. Lui reste à prendre du muscle, lui qui n’a pas fini de grandir. Mais c’est impératif afin d’éviter les blessures, lui qui a déjà dû s’arrêter par deux fois cette saison pour des problèmes de genou. En tout cas, il fait saliver toutes les grandes écuries européennes, à juste titre.

Victor Wembanyama – Nanterre (Photo : Nanterre 92)
Les statistiques 2020-21 des 2004
NomClubMinutesPointsRebondsPassesEval
Melvin AjinçaPôle France28,89,13,80,85,0
Aurèle Brena-ChemillePôle France19,24,61,51,53,2
Daryl DouallaAsvel (Espoirs)18,58,11,51,16,0
Halvine Dzellat-DiakenoPFBB U16     
Maël Hamon-CrespinPôle France22,35,74,50,97,0
Kymany HouinsouAsvel (Espoirs)28,210,94,26,014,2
Rayan RupertPôle France25,48,13,41,96,8
Victor WembanyamaNanterre (Espoirs)25,613,48,61,416,4
2005 : ils poussent leurs premiers feux

À l’occasion de notre dossier sur les prospects 1998-2004 de la saison passée, Stanislas Hacquard, entraîneur de l’équipe de France U15 et U16, avait aussi mis l’accent sur deux joueurs nés en 2005. Voici où ils en sont aujourd’hui.

Killian Malwaya – LDLC Asvel (Photo : Euroleague – Miguel Angel Polo)

Killian Malwaya (1,92 m, LDLC Asvel (Espoirs), arrière/ailier)

Ses stats 2019-20 (NM1) : 1 match, 20,2 mn, 2 pts, 3 rbds, 0 pd, 0 d’éval

Alors qu’il avait joué un unique match en NM1 avec le Pôle France la saison passée, il est parti pour le centre de formation de LDLC Asvel, où il s’est très vite fait remarquer. Déjà capable de scorer (malgré un gros déchet à trois-points, 14,2 %), il prouve également ses compétences au rebond et en défense. L’un des prospects les plus prometteurs des jeunes joueurs français.

Wilson Jacques (2,04 m, Pôle France (NM1), ailier-fort)

Ses stats : nc

Présenté comme un intérieur physique devant devenir le leader de sa génération, il a quitté les U16 de Denain pour le Pôle France, où il a eu droit à 8 matchs avec les U18 en NM1. Il y a logiquement souffert, mais sa marge de progression semble importante. À voir dans les saisons qui viennent.

Wilson Jacques – Pôle France (Photo : FFBB)
Les statistiques 2020-21 des 2005
NomClubMinutesPointsRebondsPassesEval
Killian MalwayaAsvel17,46,84,10,67,1
Wilson JacquesPôle France10,50,510,31,1

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Pour la dernière partie de ce « retour sur le Top 60 français 1998-2004 », auquel nous avons ajouté deux joueurs nés en 2005, place donc aux joueurs nés entre 2003 et 2005. Pour la plupart, ces joueurs de 18 ans et moins font encore leurs armes au Pôle France ou dans des centres de formation d’équipes professionnelles. Mais l’un d’entre-eux, Victor Wembanyama pour ne pas le nommer, fait déjà, quand il est en état, les beaux jours de Nanterre, se montrant épatant en Jeep Élite comme en Eurocup. Le tout à 17 ans !

Voyons donc comment en un an ont évolué ces joueurs qui formeront pour certains l’ossature de l’équipe de France.

2003 : que de talents !

La génération 2003 est, pour les plus prometteurs des joueurs la composant, couvée par le Pôle France, même si certains évoluent déjà au sein de centres de formation ou aux États-Unis. La caractéristique commune à tous, en tout cas, est qu’ils sont très prometteurs. À eux de confirmer ces espoirs dans les saisons qui viennent !

Adama-Alpha Bal – Pôle France (Photo : FFBB)

Adama-Alpha Bal (1,95 m, Pôle France (NM1), meneur-arrière)

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