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EuroBasket féminin : La Belge Emma Meesseman toujours aussi royale : « Toutes les équipes jouent de plus en plus physiques contre moi »

Emma Meesseman (1,93m, 28 ans) réalise une fois encore un tournoi épatant, et ses chiffres démontrent combien elle a été fondamentale dans la victoire de la Belgique sur la Russie (85-83), en quart de finale : 33 points (16/25 aux tirs), 11 rebonds, 4 passes, 2 interceptions le tout pour 40 d’évalua

Emma Meesseman (1,93m, 28 ans) réalise une fois encore un tournoi épatant, et ses chiffres démontrent combien elle a été fondamentale dans la victoire de la Belgique sur la Russie (85-83), en quart de finale : 33 points (16/25 aux tirs), 11 rebonds, 4 passes, 2 interceptions le tout pour 40 d’évaluation.

Pourtant la Flamande n’a pas été épargnée par les coups comme elle l’a confirmé à La Dernière Heure :

“C’est ainsi à chaque grand tournoi. Toutes les équipes jouent de plus en plus physiques contre moi.  Face à la Turquie, on a trouvé des solutions collectives pour contrer cela. Tant qu’on gagne, ça ne me touche pas trop.”

La Belgique va se retrouver ce soir, à 21h, à Valence, face à la Serbie, en demi-finale, et les joueuses de Marina Maljkovic ne sont pas des tendres:

“Oui, et en plus elles sont bourrées d’expérience. Elles connaissent tous les petits trucs qui font que les arbitres se laissent abuser. Elles sont vives, collectives et rapides. Ça ne sera donc vraiment pas facile samedi. Encore une fois, c’est ensemble qu’on devra trouver la solution »

C’est sur un cinq majeur (Emma Meesseman, Julie Allemand, Kim Mestdagh, Antonia Delaere et Kyara Linkens, les quatre premières citées jouant en moyenne entre 29 et 34 minutes par match) que les Belgian Cats compteront pour beaucoup pour faire plier la Serbie, et poursuivre l’aventure :

“Une médaille ? Bien sûr que c’est possible », estime la néo-Lyonnaise Julie Allemand. « On a deux rencontres pour aller la chercher cette médaille. Comme à chaque fois, on va prendre les choses dans l’ordre, match après match. Ce serait vraiment un exploit de gagner notre place en finale, sans doute contre la France qui a quand même un chemin plus facile. On joue sans pression désormais, et ça, ça ne peut que nous profiter.”

Photo: FIBA

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