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Guide Ligue Féminine 2021-22 – Basket Landes : un coeur de championnes

Pour la première fois de son histoire, Basket Landes aborde une saison de Ligue Féminine avec un titre à défendre. Le secteur intérieur a été modifié de toutes pièces à l’intersaison mais les ambitions des championnes de France restent intactes. Comme chaque saison, Basket Europe offre à ses abonnés

Pour la première fois de son histoire, Basket Landes aborde une saison de Ligue Féminine avec un titre à défendre. Le secteur intérieur a été modifié de toutes pièces à l’intersaison mais les ambitions des championnes de France restent intactes.

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Basket Landes est entré dans la période la plus faste de son histoire. Après un premier titre en Ligue Féminine à l’issue d’une saison régulière maîtrisée et d’une phase finale épique, le club rêve désormais de doubler la mise. Ce ne sera pas chose aisée puisque le champion de France en titre a perdu ni plus ni moins ses six meilleures scoreuses de la saison dernière en Euroleague : la loyale Miranda Ayim, les internationales tricolores Aby Gaye et Valériane Vukosavljevic (maternité), mais aussi sa meneuse titulaire Ana Suarez, son éternel joker Nevena Jovanovic et l’internationale canadienne Katherine Plouffe.

La der des ders de Dumerc

Seules quatre joueuses professionnelles – plus Valériane Vukosavljevic, indisponible le temps de sa grossesse – sont toujours sous contrat : Marie-Eve Paget, Lidija Turcinovic, Kendra Chery et… Céline Dumerc. A 39 ans, l’icône du basket féminin a décidé de s’offre un ultime défi, en bonne capitaine de route. La présidente Marie-Laure Lafargue a dû reconstruire une équipe compétitive sur cette base et a réussi de très jolis coups sur le marché des transferts pour bâtir un roster entre fraîcheur et expérience.

Une raquette de niveau international

Une flopée d’internationales débarquent ainsi dans les Landes. L’Australienne Marianna Tolo, MVP étrangère de LFB en 2013, la Suédoise Megan Magarity, meilleure évaluation de la saison dernière avec Tarbes et la Brésilienne Clarissa Dos Santos, médaillée de bonze à l’Americup cet été, composeront une raquette complète et d’expérience.

A la mène, la médaillée de bronze olympique Marine Fauthoux revient dans le sud-ouest pour gagner des responsabilités tandis que Sophie Cunningham assurera à l’aile après sa saison WNBA. Ajoutez à cette armada le retour de la jeune Sara Roumy après son passage à l’INSEP et quelques espoirs promises à un futur professionnel et vous obtenez une profondeur de banc dont rêveraient tous les coachs de Ligue Féminine.

Un effectif taillé pour l’Euroleague

Pour sa deuxième saison consécutive en Euroleague, Julie Barennes pourra donc compter sur 13 joueuses, dont trois jeunes. Basket Landes a été placé dans un groupe relevé (Fenerbahçe, Koursk, Sopron, Gérone, Galatasaray, Gdynia et le vainqueur du tour qualificatif entre Bourges, Schio et Valence) mais dispose des armes pour créer la surprise.

Attention au retard à l’allumage car les joueuses arrivent au compte-goutte pendant la préparation. Marine Fauthoux a dû regarder ses coéquipières depuis le banc à cause d’un genou qui grince, Marie-Eve Paget a quitté ses partenaires le temps de la Coupe d’Europe 3×3, Marianna Tolo a eu des vacances prolongées après les JO et Sophie Cunningham pourrait manquer le début du championnat. Autant de joueuses – sauf « MEP » qui peuvent déjà être indisponibles lors du match des champions face au BLMA, le 25 septembre à l’AccorHotels Arena (Paris) ou encore la rentrée en LFB à Tarbes le 2 octobre.

Les changements de l’intersaison

Elles restent : Céline Dumerc, Marie-Eve Paget, Lidija Turcinovic, Valériane Vukosavljevic (congé maternité), Julie Barennes (coach).

Elles arrivent : Sophie Cunningham (Phoenix Mercury, WNBA), Regan Magarity (Tarbes), Marine Fauthoux (ASVEL, prêt), Clarissa Dos Santos (Villeneuve d’Ascq), Marianna Tolo (Canberra, Australie), Sara Roumy (INSEP).

Elles partent : Aby Gaye (Sopron, Hongrie), Nevena Jovanovic (Sopron, Hongrie), Ana Suarez (La Roche), Miranda Ayim (retraite), Katherine Plouffe.

Effectif 2021-22 (complet) :
Meneuses : Marine Fauthoux (1,74 m, 20 ans), Marie-Eve Paget (1,70 m, 26 ans), Célia Cardenal (1,76 m, 19 ans)
Arrières : Céline Dumerc (1,69 m, 39 ans), Lidija Turcinovic (1,76 m, 27 ans), Shan-Marie Mason (1,77 m, 19 ans)
Ailières : Sophie Cunningham (1,85 m, 25 ans), Sara Roumy (1,81 m, 17 ans), Valériane Vukosavljevic (1,84 m, 27 ans, maternité)
Intérieures : Regan Magarity (1,92 m, 25 ans), Kendra Chery (1,88 m, 20 ans), Seehia Sida Abega (1,88 m, 19 ans)
Pivots : Marianna Tolo (1,96 m, 32 ans), Clarissa Dos Santos (1,88 m, 33 ans)

Staff 2021-22 :
Entraîneuse : Julie Barennes (35 ans)
Assistante : Shona Thorburn (39 ans, Canadienne)
Présidente : Marie-Laure Lafargue

Salle : Espace François-Mitterrand (2 500 places)

Céline Dumerc va avoir droit à une tournée d’adieu… devant les supporters (c) Euroleague

Les joueuses

Le cinq majeur

Marine Fauthoux
Née le 23 janvier 2001 (20 ans) – 1,74 m – Poste 1 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 5,2 points à 35,8 % aux tirs, 2,4 rebonds, 1,9 passe et 0,7 interception pour 5,0 d’évaluation en 17 minutes (22 matches)

Après une saison sans titre et en sortie de banc à l’ASVEL (conclue par une non-sélection pour l’EuroBasket), la jeune meneuse a cassé la baraque lors de la phase finale des Jeux Olympiques à Tokyo, prouvant qu’elle avait les épaules pour mener les Bleues dans les prochaines échéances internationales. A Basket Landes, où la Paloise est prêtée deux ans, ses responsabilités devraient grandir malgré la concurrence à son poste. Une blessure au tendon rotulien a retardé sa préparation.

Céline Dumerc
Née le 9 juillet 1982 (39 ans) – 1,69 m – Poste 2-1 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 9,1 points à 40,7 % aux tirs (dont 35,6 % à 3-points), 4,0 passes, 3,5 rebonds et 1,2 interception pour 11,0 d’évaluation en 26 minutes (22 matches)

Un baroud d’honneur, vraiment ? La saison dernière, Caps avait annoncé sa retraite avant d’accepter une ultime proposition de prolongation, au plus grand plaisir des supporters. L’icône du basket féminin français (262 sélections en Bleues, plus de 500 matches en LFB), qui a remporté son 7e titre de championne de France l’an dernier, va disputer sa 22e saison professionnelle. Probablement la dernière, avec de grandes ambitions, comme toujours.

Sophie Cunningham
Née le 16 août 1996 (25 ans) – 1,85 m – Poste 3-2 – Américaine

Stats WNBA 2021 (au 1er septembre) : 5,0 points à 43,9 % aux tirs (dont 41,5 % à 3-points), 1,9 rebond et 1,2 passe en 17 minutes

Sophie Cunningham remplace Valériane Vukosavljevic. Actuellement en WNBA avec le Phoenix Mercury aux côtés de Diana Taurasi ou Brittney Griner, l’ailière US n’arrivera qu’en toute fin de préparation, au plus tôt la dernière semaine de septembre. Une joueuse de gros calibre, qui compte 80 matches de WNBA, reconnue pour sa mentalité hors-pair. En dehors des Etats-Unis, la native du Missouri évoluait depuis deux saisons en Australie avec les Melbourne Boomers (11,6 points, 3,6 rebonds et 2,3 passes décisives en 2020).

Regan Magarity
Née le 30 avril 1996 (25 ans) – 1,92 m – Poste 4 – Suédoise

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 14,7 points à 56,3 % aux tirs (dont 83 % aux lancers), 9,4 rebonds, 1,2 interception et 0,5 contre pour 20,2 d’évaluation en 33 minutes (21 matches)

Le voyage ne sera pas long pour Regan Magarity, qui débarque en provenance de Tarbes. La saison dernière, la n°33 de la draft WNBA 2019 était tout simplement la meilleure évaluation de la Ligue Féminine. Auparavant, l’internationale suédoise, née d’un père basketteur américain, a réalisé l’ensemble de son cursus universitaire aux États-Unis (Virginia Tech) avant de lancer sa carrière professionnelle en 2019-2020 entre la Turquie et Villeneuve d’Ascq.

Marianna Tolo
Née le 2 juillet 1989 (32 ans) – 1,96 m – Poste 5 – Australienne

Stats Jeux Olympiques 2021 : 11,3 points à 50,0 % aux tirs, 5,0 rebonds et 0,5 interception pour 13,3 d’évaluation en 19 minutes (4 matches)

MVP étrangère de Ligue Féminine en 2013 avec Aix-en-Provence alors qu’elle n’avait que 24 ans, Marianna Tolo apportera son expérience du très-haut niveau à l’effectif landais. Depuis son départ de Bourges en 2015 où elle avait remporté le championnat aux côtés de Céline Dumerc, l’ancienne joueuse de WNBA (Los Angeles Sparks) n’a connu que les Canberra Capitals, dans son pays natal, où elle a été deux fois championne nationale (2019 et 2020). A 32 ans, l’internationale australienne sort d’une campagne olympique de très haut niveau.

Les remplaçantes

Marie-Eve Paget
Née le 29 novembre 1994 (26 ans) – 1,70 m – Poste 1 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 7,3 points à 41,3 % aux tirs (dont 37,6 % à 3-points), 3,5 passes, 2,1 rebonds et 0,5 interception pour 7,7 d’évaluation en 22 minutes (22 matches)

A 26 ans, « MEP » entame sans faire de bruit sa huitième saison en LFB. Joueuse de devoir, capable de mettre la pression tout terrain sur les meneuses adverses, la native d’Annecy sort de la saison la plus aboutie de sa carrière en sortie de banc. L’internationale française de 3×3 a aussi mené les Bleues à la 4e place à Tokyo. Son rôle pourrait encore grandir cette année dans les Landes.

Célia Cardenal
Née le 23 mai 2002 (19 ans) – 1,76 m – Poste 1-2 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 4,8 minutes (4 matches)

Formée au club et intégrée au groupe professionnel depuis la saison 2018-2019, des blessures ont freiné sa progression jusqu’ici. Célia Cardenal tentera de gagner des minutes et d’engranger un maximum d’expérience au contact de joueuses référencées.

Lidija Turcinovic
Née le 27 août 1994 (27 ans) – 1,76 m – Poste 2-3 – Franco-Serbe

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 7,7 points à 39,3 % aux tirs (dont 36,8 % à 3-points), 2,1 rebonds et 0,9 passe pour 5,4 d’évaluation en 16 minutes (17 matches)

Ailière ultra-complète capable de scorer ou de faire jouer les autres. Formée à l’INSEP, Lidija Turcinovic a déjà connu sept clubs de Ligue Féminine (Montpellier, Arras, Toulouse, Charleville-Mézière, Nantes-Rezé, l’ASVEL et Basket Landes) avec une certaine réussite. Multi-médaillée en équipe de France jeunes (championne d’Europe U18 et U20, vice-championne du Monde U19), la Franco-serbe s’est imposée dans le jeu landais depuis une saison et demi.

Sara Roumy
Née le 7 novembre 2003 (17 ans) – 1,81 m – Poste 3-2 – Française

Stats LF2 2020-21 : 10,6 points, 3,0 rebonds et 1,2 passe en 26 minutes

Trois ans après avoir quitté le centre de formation pour rejoindre l’INSEP, Sara Roumy fait son retour au club. L’ailière originaire de Laloubère – comme Céline Dumerc – fut particulièrement remarquée en 2019 lors de l’EuroBasket U16 où la gauchère avait terminé meilleure marqueuse française. Une jeune joueuse avec un QI basket au-dessus de la moyenne en recherche d’expérience.

Seehia Sida Abega
Née le 9 août 2002 (19 ans) – 1,88 m – Poste 4-3 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 3,5 points à 37,8 % aux tirs, 2,5 rebonds et 0,3 contres pour 2,9 d’évaluation en 13 minutes (11 matches)

Un talent à polir. Prêtée à Nantes-Rezé en cours de saison dernière, l’ancienne joueuse du Centre Fédéral a sauté dans le grand bain. La Réunionnaise dispose d’un grand gabarit pour une ailière et du potentiel pour gagner quelques minutes dans la rotation landaise.

Kendra Chéry
Née le 16 juillet 2001 (20 ans) – 1,88 m – Poste 4-3 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 4,5 points à 32,5 % aux tirs, 3,4 rebonds, 1,0 passe, 0,6 interception et 0,6 contre pour 5,0 d’évaluation en 19 minutes (22 matches)

Joueuse majeure de la génération 2001 (avec Marine Fauthoux), la multi-médaillée en équipe de France jeunes dispose de grandes qualités athlétiques. Capable d’évoluer sur les postes 3 et 4, l’ancienne joueuse de la Roche doit développer ses qualités extérieures, notamment son shoot (adresse très faible depuis ses débuts en Ligue Féminine), pour être plus efficace à l’aile. A seulement 20 ans, elle a déjà connu trois saisons européennes et conserve une grande marge de progression.

Clarissa Dos Santos
Née le 10 mars 1988 (33 ans) – 1,88 m – Poste 5-4 – Brésilienne

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 8,0 points à 36,7 % aux tirs, 9,6 rebonds, 2,2 passes et 1,4 interception pour 12,4 d’évaluation en 26 minutes (5 matches)

« Une boule de muscles », comme décrit sa coach Julie Barennes. Après Bourges, Charleville, Lyon et Villeneuve d’Ascq, Clarissa Dos Santos va connaître son cinquième club français en six saisons. L’internationale brésilienne, médaillée de bronze à l’Americup en juin dernier tout en ayant été désignée dans le meilleur cinq et habituée de l’Euroleague, devrait avoir un rôle prépondérant dans la rotation intérieure du champion de France, l’une des plus complètes de l’élite.

Shan-Marie Mason
Née le 6 mars 2002 (19 ans) – 1,77 m – Poste 2-1 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 0,5 point en 2 minutes (2 matches)

Combo-guard de grande taille, Shan-Marie Mason a intégré le groupe professionnel lors de la saison dernière. Disposant d’une licence AS, elle évoluera également avec l’US Orthez en NF1.

Mais aussi…

Valériane Vukosavljevic
Née le 29 avril 1994 (27 ans) – 1,84 m – Poste 3 – Française

Stats Ligue Féminine 2020-21 : 12,3 points à 45,4 % aux tirs, 5,8 rebonds, 2,6 passes et 1,4 interception pour 13,8 d’évaluation en 29 minutes (17 matches)

Championne de France, vice-championne d’Europe, médaillée de bronze aux Jeux Olympiques… Valériane Vukosavljevic, nom de jeune fille Ayayi, a vécu une année 2021 de rêve. Mais son plus grand secret était bien gardé : elle attend un heureux événement dans quelques mois. Pas de reprise donc à l’automne, mais un retour espéré dès 2022.

La coach

En deux saisons en tant que coach principale, Julie Barennes est devenue la magicienne de Basket Landes, son club de coeur (elle y fut joueuse de 2009 à 2012 et de 2013 à 2017). La Layracaise est seulement la deuxième femme à inscrire son nom au palmarès en tant que coach principale après Valérie Garnier avec Bourges (2012, 2013 et 2015). Cette année, elle sera également l’unique femme aux commandes d’un club de Ligue Féminine. Sa marque de fabrique ? Les valeurs du collectif. Une philosophie qui va si bien à Basket Landes.

Julie Barennes (c) Euroleague

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Basket Landes est entré dans la période la plus faste de son histoire. Après un premier titre en Ligue Féminine à l’issue d’une saison régulière maîtrisée et d’une phase finale épique, le club rêve désormais de doubler la mise. Ce ne sera pas chose aisée puisque le champion de France en titre a perdu ni plus ni moins ses six meilleures scoreuses de la saison dernière en Euroleague : la loyale Miranda Ayim, les internationales tricolores Aby Gaye et Valériane Vukosavljevic (maternité), mais aussi sa meneuse titulaire Ana Suarez, son éternel joker Nevena Jovanovic et l’internationale canadienne Katherine Plouffe.

La der des ders de Dumerc

Seules quatre joueuses professionnelles – plus Valériane Vukosavljevic, indisponible le temps de sa grossesse – sont toujours sous contrat : Marie-Eve Paget, Lidija Turcinovic, Kendra Chery et… Céline Dumerc. A 39 ans, l’icône du basket féminin a décidé de s’offre un ultime défi, en bonne capitaine de route. La présidente Marie-Laure Lafargue a dû reconstruire une équipe compétitive sur cette base et a réussi de très jolis coups sur le marché des transferts pour bâtir un roster entre fraîcheur et expérience.

Une raquette de niveau international

Une flopée d’internationales débarquent ainsi dans les Landes. L’Australienne Marianna Tolo, MVP étrangère de LFB en 2013, la Suédoise Megan Magarity, meilleure évaluation de la saison dernière avec Tarbes et la Brésilienne Clarissa Dos Santos, médaillée de bonze à l’Americup cet été, composeront une raquette complète et d’expérience.

A la mène, la médaillée de bronze olympique Marine Fauthoux revient dans le sud-ouest pour gagner des responsabilités tandis que Sophie Cunningham assurera à l’aile après sa saison WNBA. Ajoutez à cette armada le retour de la jeune Sara Roumy après son passage à l’INSEP et quelques espoirs promises à un futur professionnel et vous obtenez une profondeur de banc dont rêveraient tous les coachs de Ligue Féminine.

Un effectif taillé pour l’Euroleague

Pour sa deuxième saison consécutive en Euroleague, Julie Barennes pourra donc compter sur 13 joueuses, dont trois jeunes. Basket Landes a été placé dans un groupe relevé (Fenerbahçe, Koursk, Sopron, Gérone, Galatasaray, Gdynia et le vainqueur du tour qualificatif entre Bourges, Schio et Valence) mais dispose des armes pour créer la surprise.

Attention au retard à l’allumage car les joueuses arrivent au compte-goutte pendant la préparation. Marine Fauthoux a dû regarder ses coéquipières depuis le banc à cause d’un genou qui grince, Marie-Eve Paget a quitté ses partenaires le temps de la Coupe d’Europe 3×3, Marianna Tolo a eu des vacances prolongées après les JO et Sophie Cunningham pourrait manquer le début du championnat…

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Photo : Basket Landes

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