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Nayo Raincock-Ekunwe opérée, l’ASVEL féminin à la recherche d’une remplaçante

Opérée du genou gauche (arthroscopie) ce mardi, Nayo Raincock-Ekunwe sera éloignée des terrains plusieurs mois, probablement jusqu’à fin février. Le club étudie plusieurs pistes afin d’engager un joker médical.

Opérée du genou gauche (arthroscopie) ce mardi, Nayo Raincock-Ekunwe sera éloignée des terrains plusieurs mois, probablement jusqu’à fin février. Le club étudie plusieurs pistes afin d’engager un joker médical.

Arrivée à Lyon en 2020, l’internationale canadienne Nayo Raincock-Ekunwe (1,89 m, 30 ans) traînait une blessure depuis plusieurs mois, après avoir joué cet été avec sa sélection nationale lors de l’Americup puis lors des Jeux Olympiques à Tokyo. Après trois matches de Ligue Féminine (3,0 points, 3,0 rebonds en 15 minutes) et un seul d’Eurocup (2 points, 2 rebonds en 6 minutes), l’intérieure a décidé de passer sur la table d’opération pour une arthroscopie du genou gauche ce mardi.

Son indisponibilité est envisagée jusqu’à fin février. Le club a d’ores et déjà lancé plusieurs pistes afin d’engager une pigiste médicale. Une initiative bienvenue tandis que Pierre Vincent ne pourra compter que sur trois joueuses (Chevaugeon, Tanqueray et Badiane) pendant la trêve internationale la semaine prochaine (six internationales absentes : Jocyte avec la Lituanie, Allemand avec la Belgique, Crvendakic avec la Serbie et le trio Johannès – Chartereau – Ciak avec les Bleues), la jeune intérieure Dominique Malonga (1,98 m, 15 ans) ayant ressenti une douleur au psoas-iliaque (cuisse) qui pourrait aussi l’écarter des terrains quelques jours.

« Jusqu’à maintenant, on a tout bien géré avec Dominique. Peut-être qu’on aurait dû ralentir le corps avant, c’est une jeune joueuse, confiait Pierre Vincent après la victoire contre l’Estudiantes où la jeune française n’est par conséquent pas entrée en jeu. On a commencé à regarder éventuellement si quelqu’un pouvait nous renforcer parce qu’on est quand même très légers à l’intérieur. On a trois bonnes joueuses mais seulement trois. Je peux faire jouer Aleksandra (Crvendakic, utilisée majoritairement sur le poste 3) mais c’est conditionné par l’utilisation de Juste (Jocyte). Elle a fait des bonnes choses mais il faut qu’elle élève son niveau défensif pour que je puisse la rentrer un peu plus dans les rotations et pouvoir plus s’appuyer sur elle pour partager le temps. Parce que l’énergie qu’on met, ça coûte. »

A Lyon.

Photo : Nayo Raincock-Ekunwe (Euroleague)

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